Brassard

hitlérienne, Joseph Goebbels, pour être diffusée parmi la population allemande, afin de valoriser le message nazi et son promoteur. ( L’affiche se compose de trois plans. Au premier, un homme à la taille démesurée, portant une chemise brune avec le brassard et le drapeau nazis, tous deux avec le svastika, la croix gammée rune germanique reprise par les nazis. Il s’avance le regard dur, le poing serré, signe de détermination, l’allure volontaire et fière. Elle montre l’absence de crainte de la part du

plans …utilisation de l’affiche … Au 1er plan : Hitler, au centre / taille démesurée / chemise brune, uniforme des SA ….Poings serrés … visage dur, déterminé … Brandit le drapeau nazi avec la croix gammée, croix gammée que l’on retrouve sur son brassard sur le bras gauche. Il porte la Croix de fer, distinction reçue pendant la Première Guerre mondiale. Hitler donne l’impression qu’il va de l’avant, illuminé par les rayons du soleil 2nd plan Derrière Hitler, le peuple (ein volk/un peuple), en

exercent une politique raciste. A leurs yeux, les juifs sont une race impure et ils décident alors de les exterminer. Ce génocide est appelé « Shoah ». En 1939, l’armée allemande attaque puis occupe la Pologne. Les Nazis obligent les juifs à porter un brassard blanc avec l’étoile de David bleue, puis les rassemblent dans des ghettos. Celui de Varsovie, qui est évoqué dans le film Le Pianiste, a été créé le 12 octobre 1940 et pratiquement détruit en mai 1943 après la révolte de ses occupants contre les

ruban), ce qui crée un contraste avec sa peau noire / elle tient dans sa main gauche ses affaires d'école (règle, cahiers dont un qui symbolise les USA avec son drapeau en couverture). Elle paraît minuscule. Hommes : ils portent un costume avec un brassard jaune, le signe de la police sur lesquelles sont écrits «Deputy US Marshals». / Ils sont anonymes, n'ont pas de visage. Ils semblent forts comparé à la petite fille d'apparence fragile. ¤ Le mur : il y a deux graffitis inscrits sur le mur : KKK

tenue militaire kaki, portant une arme, qui semblent être là dans l’objectif du plan vigipirate Quatre agents de sécurité en tenue militaire noire, portant une arme aussi Des agents de sécurité en tenue bleu foncé ne portant pas d’arme et ayant un brassard orange avec inscrit sécurité Un agent ne portant pas de tenue de fonction comme les autres mais on peut deviner que c’est un agent de sécurité du fait qu'il a un talkie-walkie et qu'il regarde et s’installa pendant un bout de temps dans des points

cœur on peut voir que son rythme cardiaque et beaucoup moins rapide et beaucoup moins fort que celui d’une personne en bonne santé. Ensuite je dois lui prendre la tension je place donc son bras sur une table je prends le tensiomètre et je place le brassard autour de son bras. Je lui prends ensuite sa température. Si ça avait été un enfant j’aurais aussi dû lui prendre son poids et sa taille. Après avoir fini Mme Bahrez lui prescrit ces médicaments habituels vu aucune anomalie a été détecté pendant

objets sont portés puis à la fin de cette partie il fera une comparaison entre les bijoux de famille en Europe et les vaygu’a (chose précieuse) trobriandais. Dans un premier temps (p 144 et p145), Malinowski nous décrit les confections des brassards (mwali) et des colliers. Les bracelets sont extraits d’un grand coquillage de forme conique tandis que les colliers sont composés de disques de spondyle (mollusque ou ancien nom de vertèbres) rouge, avec un ou plusieurs pendentifs. Ces deux articles

aussi le style du télégramme. Mais ce sont ces mots qui enclenchent la suite des actions, qui ébranlent la mise en route du narrateur. Le décès entraîne l’enterrement qui nécessite de prendre l’autobus, de demander un congé, d’emprunter cravate et brassard pour jouer le deuil, de se fatiguer dans l’affaire. Meursault ne montre pas plus d’émotion que le ton du télégramme qui dicte son d’action à suivre. S’il court pour prendre le bus, c’est bien « pour ne pas manquer le départ », le début de l’histoire

légende de la littérature : dans la vie réel, il possède même, à son effigie, une rue à son nom. Lorsque l'auteur annonçait l'arrêt de la rédaction des enquête de Sherlock Holmes, des milliers de Londoniens arpentaient les rues, avec à leurs bras un brassard noir, comme s'il s'agissait d'un décès. Ce personnage fictif est parvenu a dépasser le réel, mais surtout l'être humain : sa "mort" fut doté d'un plus grand retentissement que celle du commun des mortels. Ouvertures : -“Tout ce qu’on invente est

m’approchant de lui et en le saluant, je remarque que Mr G essaye de me dire quelque chose et que je n'arrive pas à comprendre ce qu’il essaye de me dire il commence à s’agiter.Je lui explique la raison de ma venue en essayant de le calmer, je lui mets le brassard pour lui prendre la Tension ainsi que le saturomètre, au moment de le retirer il refuse en poussant mon bras en essayant de me donner des coups avec ces pieds. J’essaye de le rassurer du mieux que je peux, il finit par se calmer, donc j’essaye de