Bras d'honneur

tant de jours en un jour effacée ! » (v.10), « Que pour voir en un jour flétrir tant de lauriers ? » (v.4). Corneille utilise des métaphores : « Que pour voir en un jour flétrir tant de lauriers », des synecdoques « Mon bras, qu'avec respect toute l'Espagne admire, Mon bras, qui tant de fois a sauvé cet empire » et différents champs lexicaux comme celui de l’honneur : « lauriers », « respect », « admire », « gloire », « dignité », « triompher », « exploits glorieux » ou du désespoir : « rage

vainqueurs. Les deux adversaires scellent alors leur amitié pour toujours en appréciant leur force et leurs puissances respectives. Ils sont devenus plus que des frères et des amis, ils sont devenus des jumeaux identiques, des passionnés de conquête et d'honneur posthume, des héros dont on proclamera éternellement la gloire. Ensemble ils se lancent dans l'assaut d'une foret de cèdres au Liban, gardée par un monstre redoutable. Enkidu fait montre de sa prudence et manifeste sa réticence: «Humbaba, lorsqu'il

retour, en 1899, injurié, radié de l’ordre de la Légion d’honneur, abandonné par une grande partie de ses lecteurs, il meurt asphyxié par le poêle de son bureau. Une foule rendit hommage pendant ses obsèques. Les cendres de Zola sont transférées au Panthéon de Paris le 4 juin 1908. À la fin de la cérémonie au Panthéon, un journaliste antidreyfusard, Louis Grégori, ouvre le feu avec un révolver sur Alfred Dreyfus, qui n'est que légèrement blessé au bras.

Soldat - Soldat - Soldat - Soldat - Soldat- Soldat - Soldat - Soldat - Soldat – Soldat La famille mafieuse de la Cosa Nostra se compose toujours de trois cercles humains concentriques : Au centre, le noyau dur, composé des cadres et des hommes d'honneurs Autour du noyau, un cercle composé des proches des initiés Second cercle, celui qui est composé des alliés tactiques : les associés Les chefs de familles sont appelés "Parrain". Celui-ci agit comme gardien des valeurs. Il prône la hiérarchie

posait, s’arrêtait, repartait, volait au-dessus du tumulte et del’effort, sautait de ceux-ci à ceux-là, murmurait, bourdonnait, et harcelait tout l’attelage ; mouche de l’immense Coche révolutionnaire.Le mouvement perpétuel était dans ses petits bras et la clameur perpétuelle dans sespetits poumons Hardi ! encore des pavés ! encore des tonneaux ! encore des machins ! où y en a-t-il ?Une hottée de plâtras pour me boucher ce trou-là. C’est tout petit votre barricade. Il faut que ça monte. Mettez-y

plaintes d'Emma. Elle est enceinte. Deuxième partie: Arrivée à Yonville-l'Abbaye, bourg situé à huit lieues de Rouen. Il n'y a pas grand chose à voir à Yonville, si ce n'est la pharmacie de M. Homais, qui rêve de recevoir la croix d'honneur. En face de l'auberge du Lion d'Or, tenue par la veuve Mme Lefrançois. Binet est la capitaine des pompiers d'Yonville, il fait tout le temps des tours en rond. M. Lheureux est le marchand d'étoffes, qui se trouvait avec les Bovary dans

décontracté. Elle portait une chemise déchirée et un short en lambeaux. L'orchestre joua "Yes, Sir, that's my Baby" et Josephine se mit à danser le charleston. Elle grimaçait, louchait et gonflait les joues. Elle fit le grand écart, le mouvant des bras et jambes comme s'ils étaient désarticulés. Elle quitta la scène à quatre pattes, les jambes raides, le derrière plus haut que la tête. La scène qui succéda à ce numéro, délirant donna aux spectateurs l'occasion de se calmer. Sur un fond de

lui « faire justice », mais veut que l’affaire soit jugée en assemblée. 8. Pourquoi Rodrigue se rend-il chez Chimène après la mort du Comte ? / 2 points Rodrigue se rend chez Chimène pour se justifier d’avoir tué le père de celle-ci (raison d’honneur) et pour lui offrir sa vie en « réparation » (III, 4, vers 850, 857, 870, 899, 934, 939, 950…). Le Cid est prêt à mourir par amour, par désespoir, et pour que Chimène lave à son tour son honneur. 9. Qui est Don Fernand ? / 1 point Don Fernand

d'affranchir le lieu de ma naissance, N'ont point assez d'appas pour flatter ma raison, S'il les faut acquérir par une trahison, S'il faut percer le flanc d'un prince magnanime Qui du peu que je suis fait une telle esti me, Qui me comble d'honneurs, qui m'accable de biens, Qui ne prend pour régner de conseils que les miens. Ô coup, ô trahison trop indigne d'un homme ! Dure, dure à jamais l'esclavage de Rome ! Périsse mon amour, périsse mon espoir, Plutôt que de ma main parte un crime si noir

femmes et d'hommes, en noir et blanc, sur le campus, dans la ville de Macon, en Géorgie et qui a étendu à me véritable chaleur, la gentillesse et la dignité. «Je me souviens d'un moment émouvant à mon diplôme en 1967. Un ami, un pauvre dame, a mis ses bras autour de moi, me féliciter et a ajouté: «Sam, après tout vous avez vécu en Géorgie, toujours et homme de bien hais toute personne de race blanche, ton jamais rencontré." Elle s'arrêta et avant que je ne prononcer un mot, elle a ajouté: «Mais la chose