Bras d'honneur

rester avec ta chambrière, la vermine ! Oh ! c'est ici que je veux fixer mon éternelle demeure et soustraire au joug des étoiles ennemies cette chair lasse du monde... (Tenant le corps embrassé. ) Un dernier regard, mes yeux ! une dernière étreinte, mes bras ! et vous, lèvres, vous, portes de l'haleine, scellez par un baiser légitime un contrat illimité avec la Mort ! (Saisissant la fiole. ) Viens, amer conducteur, viens, guide amer. Pilote désespéré, vite ! lance sur les brisants ma barque épuisée par

dont l’heure qui pressait A tranché ce discours qu’à peine il commençait ; Mais à ce peu de mots je crois que sa pensée Entre vos deux amants n’est pas fort balancée. Le roi doit à son fils élire un gouverneur, Et c’est lui que regarde un tel degré d’honneur ; Ce choix n’est pas douteux, et sa rare vaillance Ne peut souffrir qu’on craigne aucune concurrence. Comme ses hauts exploits le rendent sans égal, Dans un espoir si juste il sera sans rival ; Et puisque don Rodrigue a résolu son père Au sortir

l’heure qui pressait A tranché ce discours qu’à peine il commençait ; Mais à ce peu de mots je crois que sa pensée Entre vos deux amants n’est pas fort balancée. Le roi doit à son fils élire un gouverneur, Et c’est lui que regarde un tel degré d’honneur ; Ce choix n’est pas douteux, et sa rare vaillance Ne peut souffrir qu’on craigne aucune concurrence. Comme ses hauts exploits le rendent sans égal, Dans un espoir si juste il sera sans rival ; Et puisque don Rodrigue a résolu son père Au sortir

l'heure qui pressait 40 A tranché ce discours qu'à peine il commençait ; Mais à ce peu de mots je crois que sa pensée Entre vos deux amants n'est pas fort balancée. Le roi doit à son fils élire un gouverneur, Et c'est lui que regarde un tel degré d'honneur : 45 Ce choix n'est pas douteux, et sa rare vaillance Ne peut souffrir qu'on craigne aucune concurrence. Comme ses hauts exploits le rendent sans égal, Dans un espoir si juste il sera sans rival ; Et puisque don Rodrigue a résolu son père 50 Au sortir

du tableau on voit la jeune Dona Margarita Maria d’Autriche (infante d’Espagne, seul héritière en 1656 ) elle est entourée de deux dames d’honneur ( Dona Maria Augustina et Dona Isabel de Valesco). Elles sont en mouvement, haut degrés de réalisme. - Une femme avec un voile sur les cheveux, il s’agit de dona Marcella de Ulloa qui éduquait les dames d'honneur, à ses côtés un garde du corps a les mains jointes. - Une naine, son emplacement fait d’elle un élément central dans le tableau. Elle

lumiere, c'est une lampe. Puis au bord à gauche, le premier personnage n'à pas de bras, mais une prothese qui sort de sa manche gauche, il tient ses cartes avec les orteils de sa jambe droite. Il à qu'une parti de ses cheveux. Le personnage de droite n'à que le buste. Il porte sur sa veste une croix de fer, qui est une decoration d'honneur de millitaire.Le troisieme personnage au centre du tableau est amputé des bras et des jambes. Il à un oeil de verre, des bequilles, une machoire metallique avec

dont l'heure qui pressait A tranché ce discours qu'à peine il commençait ; Mais à ce peu de mots je crois que sa pensée Entre vos deux amants n'est pas fort balancée. Le roi doit à son fils élire un gouverneur, Et c'est lui que regarde un tel degré d'honneur ; Ce choix n'est pas douteux, et sa rare vaillance Ne peut souffrir qu'on craigne aucune concurrence. Comme ses hauts exploits le rendent sans égal, Dans un espoir si juste il sera sans rival ; Et puisque don Rodrigue a résolu son père Au sortir

est exhibé en camion, parfois durant des heures, devant la population de la ville. Le cortège s'arrête devant les grilles du stade où l'exécution aura lieu et dans lequel tout le monde pourra suivre la cérémonie comme un bon match. Des tribunes d'honneurs sont même réservées aux officiels. La foule hurle pendant que des haut-parleurs diffusent de la musique et énumèrent les crimes du ou des condamnés. Le criminel porte une pancarte avec son nom barré autour du cou; avant même l'exécution on le raye

lumiere, c'est une lampe. Puis au bord à gauche, le premier personnage n'à pas de bras, mais une prothese qui sort de sa manche gauche, il tient ses cartes avec les orteils de sa jambe droite. Il à qu'une parti de ses cheveux. Le personnage de droite n'à que le buste. Il porte sur sa veste une croix de fer, qui est une decoration d'honneur de millitaire.Le troisieme personnage au centre du tableau est amputé des bras et des jambes. Il à un oeil de verre, des bequilles, une machoire metallique avec

se faire reconnaître des critiques car on lui reprochait la trop grande simplicité de sa poésie. A présent, il est considéré comme un des plus grands poètes du XXème siècle et il est publié dans la collection de La Pléiade, c'est une place d’honneur pour un écrivain. La poésie Barbara est extraite de Paroles, paru en 1946. C’est un texte qui se réfère aux 165 bombardements de la ville de Brest entre le 19 juin 1940 et le 18 septembre 1944. La destruction complète de la ville inspire une