Bourgeois Gentilhomme La Lecon

la catharsis, la purgation des passions: en vivant par procuration des émotions fortes, comme la terreur ou la pitié, le spectateur apprivoise et maîtrise les passions dangereuses. De plus, les dénouements châtiant les méchants sont de véritables leçons morales. Ex: Molière, dans le Placet sur Tartuffe, défend la portée morale de son œuvre qui invite à se méfier de l'hypocrisie. ~ Maîtriser son art Les classiques sont persuadés que la beauté ne peut être le fruit du désordre ou du libre

jardin secret ⎝ Il faut travailler à l'amélioration du monde ⎝ Il ne faut pas s'occuper des affaires des autre (égoïsme ?) Autres personnages : n'ont plus de malheurs et travaillent. "devint honnête homme" Voltaire veut que le lecteur tire une leçon de son conte : il vaut mieux cultiver son jardin et trouver sa propre harmonie plutôt que de s’occuper de celle du monde et de philosopher sur celle-ci. Pour Voltaire il ne faut pas se poser de questions métaphysiques car il n'y a pas de réponse.

Mariage de Figaro de Beaumarchais * L’Avare de Molière * Une Vie de Maupassant * Le Tartuffe de Molière * Un Secret de Philippe Grimbert * Rhinocéros de Ionesco * La Leçon de Ionesco * Ruy Blas de Victor Hugo * Vipère au Poing de Hervé Bazin * Le Bourgeois Gentilhomme de Molière * Le Jeu de l’Amour et du Hasard de Marivaux * Les Fourberies de Scapin de Molière * Les Caprices de Marianne de Musset * Le Malade Imaginaire de Molière * Hernani

utiliser une grande variété de formes. Les farces (les Précieuses ridicules, Sganarelle, l’Amour médecin, Le Médecin malgré lui, George Dandin…). Les comédies d’intrigue (L’École des maris, les Fourberies de Scapin…). Les comédies-ballets (le Bourgeois gentilhomme, Le Malade imaginaire…). Les « grandes comédies » en 5 actes et en vers (celles en prose ont eu moins de succès, l’Avare, Dom Juan) qui répondent à l’attente d’un public plus élevé. Tartuffe… le personnage central se déplace vers le personnage

ses méthodes d’éducation. Critique à l’éducation médiévale. Gargantua sera à la fois humaniste initié à fond aux sciences les plus diverses et un gentilhomme rompu au métier des armes. Rabelais insiste beaucoup sur « l’art de la chevalerie » car il n’oublie pas que son élève sera un jour roi et chef militaire. On notera aussi la place réservée aux leçons des choses et à la connaissance de la vie pratique. C’est dans les chapitres de Gargantua consacrés à la guerre que Rabelais a exprimé l’essentiel

éléments comiques. En effet, une cérémonie burlesque à la gloire d’Argan est organisée, composée de récits, de chants et de danses avec des tirades en faux latin. C’est en fait Argan qu’on fait médecin selon un rituel qui fait référence au Bourgeois Gentilhomme. S’ajoute à cela un nombre disproportionné de personnes qui participent à la cérémonie dont six apothicaires, vingt-deux médecins, huit chirurgiens qui dansent et deux qui chantent. Tous ces éléments témoignent de l'extravagance de la scène

Le rire naît de la comparaison entre un hypotexte et l’hypertexte. Molière La représentation du réel sous un angle comique implique une nécessaire déformation de l’objet : un grossissement de certains traits d’où la grimace comique. Le Bourgeois Gentilhomme. C’est une « grimace » de l’âme et une « grimace » du corps (comique visuel). La Vigne (auteur de farce) Le comique de la farce est un comique du corps et du laid, de la dégradation. En psychanalyse, le plaisir repose sur une régression

 il faut s ’arrêter pour faire réparer cette roue par le charron. A partir de ce moment-là, une nouvelle histoire s ’enchâsse dans la première. Le vicomte reconnaît une fenêtre au rideau cramoisi. Elle éveille ses souvenirs. Il logeait chez des bourgeois dans une petite ville de garnison trente-cinq ans auparavant. Il prenait ses repas avec ses hôtes, braves gens de médiocre compagnie. Il s ’ennuyait ferme, étant peu occupé par ses supérieurs. Alberte, charmante fille de ses hôtes, revint de pension

Nobles, bourgeois, serviteurs, paysans, forment un ensemble bizarre mais étrangement cohérent. Don Juan est avant tout un aristocrate ; tout, dans son attitude, révèle le grand seigneur peut-être brisé par le pouvoir, tel le prince de Condé qui a été exclu pour avoir voulu fronder. À ce seigneur qui n'est politiquement plus rien, tout est dû : il exige, prend ce qui lui plaît et ne doit rien en retour. La pièce montre bien la domination de l’aristocratie sur les autres classes. Le bourgeois auquel

jalousie de ses confrères qui forcent notamment les élèves à boycotter ses leçons de musique. Il mène une vie riche en connaissances, constituant une bibliothèque spécialisée en bibliologie, théologie et mystique. Sa femme l'aide beaucoup dans sa fonction de Cantor en recopiant toutes ses partitions. Sa fonction de Director Musices lui permet d'assister à des réunions musicales organisées au Café Zimmermann pour des bourgeois amateurs de musique, et de participer aux débats à l'Université. Il ne manque