Bourgeois Et Prolétaires

fiduciaire en circulation  la richesse ne réside plus dans les terres donc le roi va récupérer ses terres contre de l’argent  Des raisons sociales : apparition de la bourgeoisie  Louis XVI accordent des titres et des rentes aux nobles et aux bourgeois  reconstitution de l’hégémonie  Naissance de la loi du monopole « On ne peut appliquer au roi de France une remarque faite un jour à un pionnier américain : »il ne voulait pas tout le terrain, il voulait seulement le terrain à côté du sien

savoir. L’illusion est un grand ennemi du philosophe Socrate Pourquoi? Ce n’est pas parce qu’on a une langue qu’on sait forcement parler, ce n’est pas parce qu’on a des jambes qu’on s’est forcement marcher, tout s’apprend. On retrouve Molière avec le Bourgeois gentilhomme qui fait de la prose sans le savoir. la seconde raison qui explique qu’on ne pense pas vraiment est que la majorité d’entre nous s’arrête aux premières évidence (une évidence : ce que je vois). Pour nous, la connaissance sensible (ce

bien introduite dans les Conseils du roi, mais pauvre d'autorité politique directe. L'évolution n'est guère différente dans les autres pays européens marqués par les révolutions commerciales et industrielles de l'époque dite moderne. Les termes « bourgeois » et « bourgeoisie » bourgeonnent alors dans la langue française, donnant naissance à plusieurs adjectifs et adverbes, dont l'usage est de plus en plus généralisé. Mais la notion de « bourgeoisie » n'est pas encore un concept explicatif. 1. De

Ensuite on a rencontré Ionesco, témoin du théatre de l’absurde, où le non-sens domine. Ce que Ionesco voulait denoncer dans “Rhinocéros” à travers un escamotage litteraire, c’ était le manque de communication et l’automatisme linguistique des gens bourgeois de l’époque. En plus, en simbolisant la massification des humaines avec leur commun transformation en rhinoceros, il voulait aussi denoncer sa bataille contre le totalitarisme qui avait caractérisé l’Europe après la seconde guerre mondiale. Finalement

plus la société. (minorités riches détentrice des industries et banques). la classe ouvrière. Les ouvriers, de plus en plus nombreux, passent du travail à domicile au travail à l’usine, prennent conscience d’appartenir à une classe, celle des prolétaires.  Ces ouvriers effectuent des taches difficiles, vivent dans des ghettos et sont souvent mal payés et exploités. les classes moyennes. Cette classe très diversifiée: artisans, employés, fonctionnaires, professions libérales se regroupe autour de

système politico-économique qui a entraîné un automatisme de cette relation entre dominant/dominé. Ce lien est crédibilisé par les intérêts communs de chacun, autant aux yeux de la classe dominante qu’aux yeux de la classe dominée. Par exemple : un bourgeois qui emploie un paysan pour travailler ces terres dans le but d’avoir du profit offre à ce dernier d’avoir un salaire qui lui permet d’assouvir ces besoins. Ici chacun trouve dans ce rapport domination politique /domination économique un avantage

gouvernement communiste en Russie. Théorie de Marx: Février et Octobre 1917: vague de révolutions bolchéviques par Lénine et Trotski --> abolition du Tsarisme de Nicolas II . Bourgeois veulent une égalité --> révolution --> dictature du prolétariat (régime né dans la violence) Les prolétaires deviennent supérieurs aux bourgeois --> toujours pas d'égalité --> Lutte des classes (d'après Marx) 1924: mort de Lénine (il refuse Staline comme successeur) --> lutte pour le pouvoir --> Staline s'impose,

qui constituèrent sa force et son danger : les autres s'enrôlèrent dans le socialisme. »2 Ainsi, à Paris, le boulangisme a percé dans les quartiers populaires et non bourgeois. Goguel évoque aussi : « Les troupes du boulangisme parisien, journalistes faméliques, camelots, ouvriers, épaves sociales, dressées contre les gros bourgeois du parlement et de la finance. » (François Goguel, La Politique des partis sous la Troisième République). En province, le boulangisme pénètre très peu dans les fiefs

début de la révolution industrielle et évoque déjà l’existence d’une classe qui ne possède que sa force de travail pour vivre : le prolétariat. Dans cet ouvrage et dans ce passage plus précisément Engels s'indigne du sort réservé aux pauvres , aux prolétaires qui se distinguent de plus en plus de la bourgeoisie. Il compare ces deux groupes sociaux à deux nations qui se tournent le dos, à deux races devenues étrangères l'une à l'autre. Il décrit les grandes cités industriellesdans lesquelles il voit

effet, selon lui, il y a deux classes qui s’opposent, les prolétaires qui ne disposent que de leur force de travail et les bourgeois, qui eux disposent des moyens de productions et surtout, qu’ils peuvent acheter la force de travail. Le salaire versé aux prolétaires ne relève que d’une fraction du produit du travail qu’ils ont accomplis. Cela Marx l’appelle la plus-value, qui n’est rien d’autre que le bénéfice du travail. Le salaire des prolétaires leur permet juste le minimum vital, ils n'ont pas de