Bourgeois Et Prolétaires

population en deux groupes : les Bourgois et les prolétaires. Les bourgeois, ayant plus de moyens financier, n’étaient pas en désaccord avec la hausse car, ils avaient, eux, les moyens de payer l’augmentation sans devoir réellement s’endetter pour permettre à leurs enfants d’avoir une meilleur éducation. Cela dit, les enfants de ceux-ci peuvent se fier sur l’aide de leurs parents plus fortunés. Cependant la classe moyenne et la classe pauvre (les prolétaires) devraient s’endetter et même peut-être se

des rapports conflictuels avec d'autres classes. Ainsi, dans le mode de production capitaliste, les bourgeois qui possèdent les moyens de production et les prolétaires qui ne possèdent que leur force de travail, sont en lutte. Marx distingue plusieurs classes sociales (7, voire 8), mais toutes ces classes n'ont pas le même rôle historique. Seule l’opposition entre les bourgeois et les prolétaires suffit à rendre compte de la logique du système capitaliste. Le capitalisme devrait mener à une bipolarisation

faubourgs, puis des banlieues industrielles et populaires (le cas de Belleville) - sur le plan social : naissance de l’ouvrier d’usine (le prolétaire), même si l’artisan, surtout en France, demeure majoritaire (l’ouvrier d’usine constitue une proportion importante de la main d'oeuvre seulement dans les années 30 en France). Contrepoint : figure du bourgeois, propriétaire des moyens de production (grandes familles d’entrepreneurs : de Wendel, famille Motte dans le nord…) Dans les pays industrialisés

contremaître, du bourgeois industriel. » Les auteurs critiquent ici la hiérarchie du capitalisme. L'ouvrier est non seulement soumis au patron et aux petits chefs mais il est également l'esclave de la machine. On retrouve ici l'idée que l'organisation du travail n'a qu'un seul objectif : « son but unique est le profit. » « conquête du pouvoir politique par le prolétariat. » Marx et Engels sont convaincus que les ouvriers doivent s'unir pour prendre le pouvoir, sans quoi les prolétaires resteront exploités

privilèges on acceptants de payer les impôts avant la réunion des états généraux pour le 5 mai 1789, les députés devaient se présenter leurs requêtes. Comme les états généraux ne trouvaient pas de solution a la généralisation des impôt les députés bourgeois des tiers état vont proclamer une assemblé nationale, qui avait exclu les députés de la noblesse. Le 9 juillet 1789, l’assemblé national se déclare une assemblé constituante c’est le premier acte acte politique de la révolution, cette assemblé a

capitaliste, le conflit est au centre. Le conflit a une origine économique. La plus – value, c’est le temps de travail que le bourgeois ne paye pas au prolétaire. Elle permet au bourgeois d’économiser pour investir. Il veut donc l’augmenter. Le chômage est nécessaire au système capitaliste car il baisse les salaires, augmente la plus-value et l’investissement. Mais les prolétaires se rendent compte de cette exploitation et se rebellent grâce aux syndicats et aux partis politique. L’approche de Weber :

naitre une disparité entre ce que l’on appellera des classes sociales. Avec ce mouvement, on cherche à partager ces richesses afin de trouver une réponse aux besoins de tous ; on essaye aussi d’améliorer la capacité de consommation de la classe prolétaire en revendiquant une augmentation de leurs salaires. On tente également d’améliorer leur état en tant qu’individu en défendant leurs droits d’avoir une protection sociale et d’avoir des heures de travail convenables (diminution de la journée).

de coexistence se font visible dans une situation exceptionnelle comme celle de la révolution. En les découvrant, il ne nous paraît pas bizarre le fait que les paysans ont supporté le mouvement prolétaire pendant la révolution en Russie. Comme Merleau-Ponty montre l'homme « existe ouvrier »[10] ou bourgeois et la façon dont il traite la propriété, sa praxis, c'est à la fois le mode de communication avec l'autrui. L'homme ne doit pas être conscient de l'appartenance à une classe. Le fermier, l'ouvrier

militants professionnels. La base : s’appuie sur les ouvriers, principalement l’élite ouvrière (les « compagnons » ceux qui ont une qualification, des niveaux de vie relativement correcte, et sont politisés), mais aussi la masse des ouvriers : les prolétaires, mais ils n’acquièrent une conscience politique que difficilement : une prise de conscience politique difficile et inégale. N’ont pas le temps avant pour s’occuper de la politique (certains s’accommodent de leur sort, une minorité des ouvriers votent

Friedrich Engels, jettent les bases d’une doctrine qui va en quelques années révolutionner la pensée socialiste. L’idée maîtresse est que la lutte des classes constitue le moteur de l’histoire. Cette lutte oppose les bourgeois détenteurs de capitaux et des moyens de production, aux prolétaires de plus en plus nombreux et « aliénés » parce qu’obligés de travailler pour survivre. Etudiant les contradictions du capitalisme Marx montre que pour obtenir les profits nécessaires à leur développement, les capitalistes