Bourgeois Chanel

comme le souligne la comédie classique dont sa devise était de « plaire et toucher » ce qui explique l’apogée de Molière dans ces écritures. Ce dernier à écrit plusieurs pièces de théâtres comme L’Avare en 1668, Tartuffe ou l’Imposteur en 1669 et Le Bourgeois gentilhomme en 1970 qui est une comédie-ballet au service de plaire les spectateurs d’une part en les faisant rire a l’aide du comique d’autre part en les divertissant par le ballet, d’où son genre théâtral. En fait, la comédie varie les sources

scène risque de lasser le public à force de répétition ( en spécifiant bien la mort de l'auteur ). C'est pourquoi il est parfois préférable d'apporter plus de fraîcheur à la pièce. Par exemple , la mise mise en scène d'Ariane Mouchekine , du le Bourgeois Gentilhomme de Molière , avec des décors beaucoup plus moderne et avec des acteurs orientaux , a réussi a donner un souffle novateur à la pièce . Pour autre exemple nous pouvons citer Phèdre de Racine remise en scène par un autre metteur en scène

parcoure la France. C’est à partir de là qu’il commence à se faire connaître et que ses pièces rencontre un franc succès. Il est notamment connu pour avoir écrit L’Ecole des Femmes, Tartuffe, L’Avare, Le Misanthrope, Les Fourberies de Scapin, Le Bourgeois Gentilhomme ou encore Dom Juan et le Festin de Pierre. Il meurt chez lui en 1673 suite à un malaise alors qu’il interprétait Le Malade Imaginaire. C’est son grand-père maternel, Louis Cressé, qui emmenait Molière encore enfant aux représentations

s'exprimer, d'exposer ses idées pour dénoncer, par des caricatures, les défauts de la société ou de certains type d'individu. Dans le Bourgeois gentilhomme, Molière se moque d'un riche bourgeois qui veut se faire passer pour un noble. Ici, Monsieur Jourdain, qui est assez naïf, est rendu ridicule par Molière. Il lui permet de dénoncer le comportement de certains bourgeois de cette époque. Certaines pièces dénoncent plus les travers de la société dans laquelle vivait l'auteur. Dans le but de

augmentation rapidement. Hier soir, Madeleine m'a fait visité la ville. Je ne sais pas pourquoi mais je l'imaginai beaucoup plus grande. Disneyland n'a rien de si extraordinaire, ni l'opéra d'ailleurs. Nous avons assisté à la représentation du « Bourgeois Gentilhomme ». Une belle pièce, malgré des acteurs si peu talentueux. Les quelques journaux que j'ai lu sont fades. Il était temps que j'arrive! L'agence dans laquelle je travaille à présent est en concurrence avec le journal « Le Monde », mais

unités. * Refus de la règle de bienséance : par souci de réalisme, les romantiques veulent montrer sur scène ce qui existe * Le mélange des genres, la diversité  * Rejet du drame bourgeois  * Rejet du moralisme et du théâtre manichéenConception dualiste du bien et du mal. : le drame bourgeois est, pour les romantiques, un théâtre moralisateur (le dénouement est toujours moral). * Des héros singuliers remplacent les personnages stéréotypés des XVIIe et XVIIIe siècles : le héros

que le Ciel… envieux de mon bien… m’eût accordé… l’avantage de me voir digne… des… DORANTE. Monsieur Jourdain, en voilà assez : Madame n’aime pas les grands compliments, et elle sait que vous êtes homme d’esprit. ( Bas, à Dorimène. ) C’est un bon bourgeois assez ridicule, comme vous voyez, dans toutes ses manières. DORIMÈNE. Il n’est pas malaisé de s’en apercevoir. DORANTE. Madame, voilà le meilleur de mes amis. M. JOURDAIN. C’est trop d’honneur que vous me faites. DORANTE. Galant homme tout à fait

échanger, on invente des blagues et des mots d'esprit dans une connivence joyeuse, on fait rire pour séduire. Le rire est souvent un rire contre autrui il peut être moqueur « Battez-moi plutôt, et me laissez rire tout mon soûl ! » (Molière, Le Bourgeois gentilhomme) : rire peut servir de moyen de défense contre les atteintes et l'oppression il offre un refuge salutaire à l'individu qui un jour a besoin de mettre une barrière entre le monde et lui. Savoir rire de soi, accepter qu'on rie de soi

écrit à présent des pièces sur mesure pour sa troupe, avec laquelle il joue bien sûr toujours, et dénonce de cette manière un certain nombre de défauts de son époque (citons, entre autres, Le Médecin malgré lui en 1666, George Dandin en 1668, Le Bourgeois Gentilhomme en 1670, Le Malade imaginaire en 1673...) Il épouse, en 1662, Armande Béjart, la sœur de Madeleine Béjart, l’un des comédiens de l’Illustre Théâtre, et celle-ci est sa cadette de vingt-ans. Molière devient alors le fournisseur des divertissements

chance de jouer devant le roi Louis XIV. En 1665, ses comédiens et lui forment la « Troupe du roi ». Il a écrit une trentaine de pièces, parmi lesquelles : Les Précieuses ridicules (1659), Tartuffe (1664), Don Juan (1665), Le Misanthrope (1666), Le Bourgeois gentilhomme (1670), Le Malade imaginaire (1673). Il meurt le 17 février 1673, à la quatrième représentation du Malade imaginaire, alors qu’il en était l’acteur principal. Acte I 7 Pour comprendre l’Acte I . . . . . . . . . . . . . . . . .