Boulevard Montmartre

connu de sinistres majeurs au cours de son histoire. Ainsi, on retrouve un héritage de l'Antiquité (cf page 59-61), du MA (Notre Dame de Paris et la Sainte Chapelle → art chrétien médiéval gothique), de l'époque moderne (LeVau), du second empire (boulevard Haussmann.), du XX siècle (modifications liées aux mandats des Présidents.) A) Le Patrimoine construit du Roi au Président. L'Histoire de Paris est inséparable de sa Géographie puisque sans la Seine, Paris serait pas grand chose. (source de richesses

190016. Picasso voit sa toile Les Derniers Moments représenter l'Espagne à l'Exposition universelle de 1900 à Paris17 . Il part, avec Casagemas dont il est très proche, pour la capitale française où il s'installe dans l'atelier du peintre Nonell à Montmartre. Picasso s'y imprègne de l'atmosphère du Moulin de la Galette et rencontre le marchand Pedro Mañach ainsi que Berthe Weill qui lui achète trois scènes de tauromachie, les premières toiles qu'il vend à Paris18. Réalisant des œuvres de commande, il

1870 par le préfet Haussmann sous l’égide de Napoléon III. Lorsque ce dernier inaugure le boulevard Malesherbes en 1861, un arc de triomphe porte la formule « Paris assaini, agrandi, embelli ». Tels sont les objectifs du programme de transformation de la capitale. En effet celui-ci recouvre tous les domaines de l’urbanisme aussi bien au cœur de Paris que dans ses quartiers extérieurs : rues et boulevards, réglementation des façades, espace verts, mobiliers urbains, égouts et réseaux d’adductions

peintre Opisso, le sculpteur Julio Gonzalez. Une exposition de ses peintures se tient dans le cabaret le 1er février 1900[13]. Picasso part, avec Casagemas dont il est très proche, pour Paris où il s'installe dans l'atelier du peintre Nonell à Montmartre. Picasso s'y imprègne de l'atmosphère du Moulin de la Galette et rencontre le marchand Pedro Mañach ainsi que Berthe Weill qui lui achète trois scènes de tauromachie, les premières toiles qu'il vend à Paris[14]. Il vend également quelques pastels

de justice. 1.2 Un théâtre servile o Tous ces auteurs doivent leur succès immédiat à l’harmonie préétablie qui existe entre eux et le public… o pas tjrs un théâtre bourgeois, c tjrs un théâtre public : on le définit comme « théâtre de boulevard » ne pas confondre avec le théâtre de la Belle époque. o le public, l’unité d’atmosphère : univers factice ou se mêlent les travailleurs du désir et les fêtards du travail où s’embrouillent le plaisir du jeu, de l’amour et de l’argent, où passent

descendant vers les boulevards, je regardais au-dessus de ma tête le fleuve noir et plein d'étoiles découpé dans le ciel par les toits de la rue qui tournait et faisait onduler comme une vraie rivière ce ruisseau roulant des astres.      Tout était clair dans l'air léger, depuis les planètes jusqu'aux becs de gaz. Tant de feux brillaient là-haut et dans la ville que les ténèbres en semblaient lumineuses. Les nuits luisantes sont plus joyeuses que les grands jours de soleil.      Sur le boulevard, les cafés

(II) et critique une réalité politique et économique (III) I. Une image de Paris au cours de sa transformation Haussmannienne Les lieux Les noms propres sont nombreux et désignent des lieux précis et réels : Paris (l.1) ; Montmartre (l.2) Rue de Rome (l.3) ; boulevard Saint Michel (l.12), parc Monceau (l.18) ect.. Ces lieux sont séparés voir éloignés les uns des autres et montrent l’étendue et l’importance des travaux qui ont été entrepris par la diversité des lieux. En effet, le Paris du

descendant vers les boulevards, je regardais au-dessus de ma tête le fleuve noir et plein d'étoiles découpé dans le ciel par les toits de la rue qui tournait et faisait onduler comme une vraie rivière ce ruisseau roulant des astres. Tout était clair dans l'air léger, depuis les planètes jusqu'aux becs de gaz. Tant de feux brillaient là-haut et dans la ville que les ténèbres en semblaient lumineuses. Les nuits luisantes sont plus joyeuses que les grands jours de soleil. Sur le boulevard, les cafés flamboyaient ;

tenait le music-hall « l'Alcazar ». En 1930, elle quitte son père et chante en duo dans la rue avec Simone Berteaut, qui deviendra son amie, son alter ego. En 1932, elle rencontre son premier grand amour, Louis Dupont. Tous les deux s'installent à Montmartre. Le 11 février 1933, âgée de seulement 17 ans, elle a une fille, Marcelle, de Louis Dupont devenu son amant. Deux ans plus tard, l'enfant meurt, sans doute d'une méningite, le 7 juillet 1935. En 1953, elle entame une cure de désintoxication puis

Alphonse et Léon Daudet, Gustave Geffroy, Roger Marx, Octave Mirbeau, Auguste Rodin et Émile Zola, au 67 boulevard de Montmorency dans le 16e arrondissement de Paris. Carrière a laissé au moins sept portraits d'Edmond, qui lui rendait visite dans son atelier des Batignolles (Pontoise, musée Tavet-Delacour). Edmond de Goncourt est inhumé auprès de son frère Jules, au cimetière de Montmartre à Paris. Biographie de Jules de Goncourt : Jules Huot de Goncourt (Paris, 17 décembre 1830 - id., 20 juin