Boule De Suif Conclusion

le 6 juillet 1893 à Paris. Comme ses collègues Gustave Flaubert et à Émile Zola, il a marqué la littérature française par ses six romans, dont Une vie en 1883, Bel-Ami en 1885, Pierre et Jean en 1887-1888, mais surtout par ses nouvelles comme Boule de suif en 1880, les Contes de la bécasse (1883) ou Le Horla (1887). Ces œuvres retiennent l’attention par leur force réaliste, la présence importante du fantastique et par le pessimisme qui s’en dégage le plus souvent mais aussi par la maîtrise stylistique

1. Descriptif : la description des voyageurs occupe tout le premier paragraphe (« L’une était vieille », « L’autre, très chétive, avait une tête jolie »). À partir du troisième paragraphe, le discours descriptif se poursuit par le portrait de Boule de Suif : « Petite, ronde de partout, grasse à lard, avec des doigts bouffis ». La description physique convoque de nombreux adjectifs et s’intéresse aux détails : « de grands cils épais », « une bouche charmante, étroite, humide », « quenottes luisantes

qu’il a trouvé ce sac dans son placard et qu’il a regardé de quoi il s’agissait. — Elles sont à sa taille ? — Oui. Du 43. — Ça ne veut rien dire. C’est la taille moyenne pour les hommes. Adamsberg passa à nouveau sa main sur la nuque pour attraper la boule d’électricité qui s’y promenait. 83 — Pire, enchaîna Danglard. Le vieil homme ne s’est pas affaissé en dormant dans la voiture. Il était bien assis sur le siège quand le feu a pris. Donc l’incendiaire l’a forcément vu. On s’éloigne de l’homicide

a ici un indéniable plaisir à « voir » et à « entendre », plaisir qui nous entraîne loin de la forteresse, de la « prison » ou des « geôliers ». Comme ces oiseaux, le personnage salue lui aussi la beauté du monde et chante les charmes de la vie. Conclusion Stendhal nous livre donc un texte singulier. Même emprisonné, son personnage semble s’évader par l’imagination et par les sens. Tout en proposant une description ayant certains aspects réalistes, Stendhal crée donc un « héros » singulier, qui conserve

faits y est telle que l’exige le déterminisme des phénomènes mis à l’étude » 1880 Zola s’impose comme le chef d’école naturaliste et patronne le recueil collectif de nouvelles Les soirées de Médan, sur la guerre de 70 IN : Boule de Suif ; Constitue l’apogée du mouvement naturaliste Le naturalisme au théâtre, les romanciers naturalistes 1882 Pot-bouille 1883 Au bonheur des dames tous les deux avec Octave Mouret le 2eme est le seul à finir bien

vue de contenu 29 2.5. Le motif général de La mère aux monstres. 31 2. 5. 1. Le projet d´analyse du conte La mère aux monstres 32 2.5.2. L´analyse du conte La mère aux monstres 33 3. Comparaison de tous les trois contes 36 Conclusion 41 Bibliographie et webographie 45 Résumé 47 Introduction Le conte est un récit court mais relativement rapide dans laquelle les actions sont racontées et qui évite de longues descriptions. Le conte existe en deux

trompe par se femme, problèmes spirituels. Religion bénédiction de Dieu. Oberman c’est quelqu’un qui a écrit mais il est convaincu que tout ce qu’il fait est mauvais. Il écrit de cet écrit une espèce d’introspection psychanalytique. On arrive à la conclusion que sa vie est vide → description du mal du siècle. Passivité. Analyse de l’échec (fracaso). Vie aphasique. 1804 → personnage moderne. Quelque chose de négative. Toujours défauts. Oberman c’est le personnage plus dépressif de toute la littérature

la voix anonyme de la mémoire populaire : « On raconte qu’autrefois ». Soudain privé du compagnonnage complice de l’auteur, le lecteur, livré à lui-même et à la rudesse du récit, ne peut manquer d’être étreint par un sentiment de vertige. ■ Conclusion On le voit, Maupassant joue diversement de l’encha ˆssement des récits. Tantôt il s’en sert comme d’un fusil à double détente, qui ne laisse aucun espoir à la cible satirique visée, tantôt il l’insère dans son récit à la façon d’un contrepoint

avant d'occuper un poste de fonctionnaire à Paris. Son éducation littéraire se fait auprès de Flaubert, auquel sa famille était liée. Son tout premier récit, qu'il avait écrit pour le recueil des Soirées de Medan, a été une nouvelle naturaliste, Boule-de-Suif (1880), qui l’a fait connaître aux milieux (ambiente) littéraires parisiens. L'héroïne de cette nouvelle cynique est une prostituée candide; celle-ci, à l'occasion d'un épisode scabreux, y apparaît bien plus respectable que les honnêtes bourgeois

l’une des raisons principales des différences entre le Nord et le Sud. Le climat, la religion, les mœurs, les lois d’un pays sont étroitement liés à la littérature de ce pays ; une fois que ces conditions sont changées, la littérature change aussi. Conclusion : la société française, changée par la Révolution, exige une littérature nouvelle, il n’est pas possible de reprendre les vieux règles. En 1803, exilée de Paris, elle entreprend un voyage en Allemagne. Même avant ce voyage, les Allemands passaient