Boucherie

chez La Bruyère. Néanmoins, les deux auteurs recourent à des procédés similaires pour étayer leur thèse commune : la guerre est une abomination. Ils utilisent tous deux un vocabulaire extrêmement cru, violent : chez Voltaire, on relève "boucherie", "filles éventrées" , "mamelles sanglantes, "brulées" et "bras et jambes coupés" ; chez La bruyère, on note l gradation "se dépouiller, se bruler, se tuer, s'égorger les uns les autres". L'usage de ce vocabulaire montre que la guerre réveille les

qu'elle est en nombre suffisant : bon flux de passants, bonne visibilité de la boutique, parkings à proximité· connaitre les attentes des clients en termes de produits et de services : livraison, service traiteur, boucherie simple, boucherie-charcuterie, boucherie bio, ou encore boucherie halal· fixer le prix que les clients sont prêts à payer : en fonction des prix pratiqués par la concurrence mais aussi de vos objectifs de rentabilité· choisir les moyens de communication adaptés pour toucher votre

guerre courte que chacun attendait. Elle s'avère être une guerre de quatre ans de combats au prix des terribles sacrifices des soldats; Ces derniers côtoient la mort au quotidien dans l'enfer des tranchées, ce qui vaudra à cette guerre le surnom de "boucherie" Mais l'épreuve est aussi douloureuse pour les civils restés à l'arrière, confrontés à d'importantes difficultés matérielles et à la crainte permanente de perdre un cher. C'est donc bien l'ensemble de la population française que connaît, entre 1914

soulignant le fait que personne ne sait pourquoi on se bat (on observe de nombreuses hyperboles). L'emploi de nombreux pluriels marque la perte de l'identité. Le ton est de plus en plus dénonciateur au fil de notre extrait. À relever l'oxymore "boucherie héroïque" teintée d'ironie. • L’ironie voltairienne o À travers l'attitude de son héros naïf, Voltaire critique la pensée du philosophe optimiste, lequel nie le mal. o Cette critique se fait au moyen de la réutilisation d'expressions

optimiste de Leibniz (L9à la fin) 2) Ils dénoncent la violence et dans le texte B que la guerre ne sert a rien et qu'elle fait plus de mal que de bien. Voltaire regrette la notion d’héroïsme l’associant à l’horreur avec l’oxymore "boucherie héroïque", en effet une boucherie n’a rien d’héroïque c’est parce qu’elle n’est pas héroïque et bien au contraire lâche que voltaire utilise cette oxymore pour marquer son indignation. Le terme héroïque est donc le terme qui prouve l’ironie de l’auteur car il crée

paradis ou le meilleur des mondes possible 1) Les illusions 2) Contre l’artifice social III) Le meilleur des philosophes possibles 1) Pangloss 2) La théorie 3) L’ironie Une boucherie héroïque : I) La plus belle des batailles 1) Quel beau spectacle ! 2) L’ombre de Pangloss 3) Une fausse harmonie II) Une boucherie héroïque 1) L’envers du décor 2) Les faux héros 3) Les vrais coupables L’utopie d’eldorado : I) Le paradis d’eldorado 1) Un monde féerique 2) Un monde inversé II) Une

1ere ligne + utilisation de l'intensif « si » Oxymore : boucherie héroïque justifie la guerre, ceux qui meurent sont des coquins (valeurs) Candide fait référence à un philosophe Leibniz « la raison suffisante » « raisonner des effets et des causes » Candide est assimiler à un philosophe. Justification religieuse, les rois se cachent derrière des justifications religieuses. II)Un discours en réalité accusateur → Clins d’œil oxymore « boucherie héroïque » n'a pas de sons. Le début du texte = antiphrase

arrive dans un village bulgare que « les héros abares avaient traité de même ». En dernier lieu, il aborde, par l’emploi d’oxymore la stupidité des troupes qui ont à cœur des actes purement barbares : pour elles, la guerre est une boucherie certes, mais une « boucherie héroïque ». C) Candide une œuvre constructive Candide est une œuvre constructive car il y a enseignement en matière de religion grâce a plusieurs exemples comme le vieil homme qui vivait dans le pays de l’Eldorado qui dit que

Ce poème se structure en plusieurs parties. Dans la première, Rimbaud dévoile au lecteur la guerre qui oppose les Français aux Prussiens. Pour cela, il nous peint l’horreur et la boucherie de ce conflit. EN effet, dans la première strophe, le poète étale une palette de couleurs avec « le rouge de la mitraille », le « ciel bleu » et les soldats « écarlates ou verts ». Ces deux dernières couleurs désignent la déshumanisation des soldats et donc leurs pertes d’identité. Les troupes françaises sont représentées

guerre courte que chacun attendait. Elle s'avère être une guerre de quatre ans de combats au prix des terribles sacrifices des soldats; Ces derniers côtoient la mort au quotidien dans l'enfer des tranchée, ce qui vaudra à cette guerre le surnom de "boucherie" Mais l'épreuve est aussi douloureuse pour les civils restés à l'arrière, confrontés à d'importantes difficultées matérielles et à la crainte permanente de perdre un etre cher. C'est donc bien l'ensemble de la population française que connaît, entre