Boucherie

ans (1756). Il peut donc être intéressant de voir par quels procédés l'auteur dénonce la guerre. La première partie de notre commentaire sera d'abord consacrée à la vision ironique de la bataille, puis la seconde à la vision pathétique de la “ boucherie ”, et enfin nous verrons dans la troisième partie l'argumentation de Voltaire. On distingue clairement deux parties dans ce texte. Dans la première, l'auteur adopte une vision ironique de la bataille. Il commence par assimiler le combat à un

arrive dans un village bulgare que « les héros abares [avaient] traité de même ». En dernier lieu, il aborde, par l’emploi d’oxymores, la stupidité des troupes qui ont à cœur des actes purement barbares : pour elles, la guerre est une boucherie certes, mais une « boucherie héroïque ».
Enfin, Voltaire veut, une fois de plus dans son œuvre, montrer les limites de l’optimisme. Ainsi, lorsqu’il décrit avec précision des villages en flammes, emplis de filles « éventrées après avoir assouvi les besoins naturels

combattants est soulignée par le terme « héros » l. 13, l. 24 et l. 29. Toutefois, deux termes dissonants permettent de desceller l’ironie omniprésente dans ce texte et son véritable enjeu : un constat amer de la barbarie des hommes « enfer » l. 4 et « boucherie » l. 13. II. Une critique acerbe Dans un deuxième temps, cet extrait sous couvert du regard de Candide est d’une ironie mordante propose une véritable critique de la barbarie des hommes, de l’absurdité de la guerre. 1. Les réactions de Candide

arrive dans un village bulgare que « les héros abares [avaient] traité de même ». En dernier lieu, il aborde, par l’emploi d’oxymores, la stupidité des troupes qui ont à cœur des actes purement barbares : pour elles, la guerre est une boucherie certes, mais une « boucherie héroïque ». Enfin, Voltaire veut, une fois de plus dans son œuvre, montrer les limites de l’optimisme. Ainsi, lorsqu’il décrit avec précision des villages en flammes, emplis de filles « éventrées après avoir assouvi les besoins naturels

(+ « théâtre ») Effet positif de la guerre : « coquin » → justification métaphore de la maladie « infectait » (=épidémie) Minimisation de la guerre : « quelques » → approximativement II. Réalité de la guerre (Voltaire) Carnage humain : «boucherie » « cervelles/bras/jambes » C.L des armes (« canons » « mousqueteries » « baïonnettes ») C.L de la mort « tas de morts et de mourants ») Destruction : « cendres » « ruines » « brûlés » Scène violentes, barbarie (femmes égorgées, hommes brûlés

dénonce les horreurs de la guerre et son inutilité, pour cela il emploi un oxymore “boucherie héroïque” (l.7) cette expression rapproche deux termes totalement contraires, d’un côté nous avons le courage et de l’autre l’horreur, elle montre qu’il y a deux points de vues dans ce texte, celui de Candide (“héroïque”) et celui de l’auteur (“boucherie”). Cet oxymore compare les soldats à des héros mais le terme “boucherie” dévalorise le terme “héroïque”. Il s’agit aussi d’une antiphrse qui critique satiriquement

Le rire dans Gargantua est un élément central de l’œuvre, on le trouve presque partout et sous de nombreuses formes, il est utilisé pour rendre des éléments plus « doux » pour le lecteur (par exemple la bataille de frère Jean serai une véritable boucherie sans comique). En témoigne même Rabelais selon ses paroles : « Il vaut mieux écrire du rire que des larmes parce que le rire est le propre de l'homme ». Mais quel est le type d’humour utilisé dans Gargantua et pourquoi ? L’humour utilisé à chaque

la surface. La ba�onnette fut aussi la raison suffisante de la mort de quelques milliers d'hommes. Le tout pouvait bien se monter � une trentaine de mille �mes. Candide, qui tremblait comme un philosophe, se cacha du mieux qu'il put pendant cette boucherie h�ro�que. Enfin, tandis que les deux rois faisaient chanter des Te Deum chacun dans son camp, il prit le parti d'aller raisonner ailleurs des effets et des causes. Il passa par-dessus des tas de morts et de mourants, et gagna d'abord un village

Retracez le parcours de P. Martinet. Quelles sont ses motivations ? Pierre MARTINET, bourguignon d’origine, après avoir eu son CAP de charcutier, à travaillé pour un patron, en boucherie charcuterie, à 21 ans il a voulu réussir par lui-même. Grâce à l’aide de sa marraine qui lui à prêté le fond, il achète sa première boucherie-charcuterie et a fait des marchés. En 1976, il fait un carton avec ses salades de museau sauce moutarde, il arrête donc les marchés et fonde en 1977 l’entreprise Pierre Martinet

Voltaire par rapport à la guerre : celle-ci est une forme du mal qui existe belle est bien et peut nuire à beaucoup d’Hommes. La phrase est donc à prendre dans le sens contraire. L’oxymore présente à la ligne 10 « boucherie héroïque » nous montre d’une part la vision de Voltaire :  « boucherie » et d’une autre part la vision de Candide « héroïque ». On peut trouver d’autres exemples du même type : Aux lignes 3 et 4 par exemple, il y a le mot « harmonie », qui nous rappelle l’aveuglement de Candide face