Bon Sauvage Mauvais Civilisé

cruelle et stupide de cette forêt-continent qu’est l’Amazonie et, à travers elle, des équilibres fragiles et vitaux qui lient l’homme et son environnement naturel.   Le goût des images  Sepúlveda n’entonne pas la vieille antienne du bon sauvage qui s’oppose au méchant civilisé, son vieux héros n’a rien d’un innocent primitif – il dévore des romans d’amour, c’est tout dire – et le monde dans lequel il vit ne s’appelle El Idilio que par ironie et antiphrase. Rien de moins idyllique que ce bord de fleuve

que la science est une entreprise objective qui est menée à bien que lorsque les savants peuvent se débarrasser des contraintes de leur culture et regarder le monde tel qu’il est réellement. Les tenants du déterminisme biologique n’étaient pas des mauvais savants, mais il aurait fallut appréhender la science comme un phénomène social dynamique et non comme le travail de robots programmés pour recueillir des pures informations. Cette thèse est une vision optimiste de la science. La science plonge

des appréhensions. Quelle est la réponse apportée par Sénèque ? 1) Après les épreuves, on ressort plus fort : la Providence les « éduque », elle peut attendre qqch que des hommes de bien, cela ne sert à rien qu’elle éduque les mauvais hommes. Elle cherche à perfectionner les hommes en les astreignant à des épreuves . Ces épreuves représentent donc des cadeaux . Comme le modèle père/fils  : il faut endurcir son

1 CIVILISER LES ETATS-UNIS *** Première partie – La dérive économique du monde (Analyse économico-politique du capitalisme planétaire) (1) - Un capitalisme hétéroclite. (2) - La prépondérance des firmes multinationales (3) - Les fronts et les frontières du marché (4) - Les Etats perdent prise sur le marché (5) - Des pouvoirs internationaux sans grande prise sur le marché (6) - Le développement inégal, mais de quoi ? (7) – La dérive économique du monde Deuxième partie – Un monde en désarroi (Analyse

Afrique. Ce souci français « d'obtenir un jour l'égalité absolue de toutes les races » serait lui-même attesté par l'exemple des abolitions françaises de l'esclavage et de la traite. 12En utilisant le passé abolitionniste français pour prouver les bonnes intentions contenues dans l'œuvre coloniale, Trautmann rappelle deux histoires de l'esclavage : l'une touchant personnellement Maran et l'autre dévoilant une certaine représentation de l'histoire de la traite transatlantique. Dans un premier temps

de toutes les émotions (ou passions, sentiments, affections, affects). En effet, tous les sentiments n’existent que parce que nous désirons certaines choses : le désir divise le monde en choses à rechercher et choses à fuir, c’est-à-dire en bon et en mauvais. Toutes les émotions découlent de ce partage primitif : si nous sommes tristes, c’est que nous obtenons une chose que nous ne désirons pas ou que nous n’obtenons pas une chose que nous désirons ; si nous sommes joyeux, c’est pour les raisons

un récit La sotte vanité jointe avecque l’envie, Deux pivots sur qui roule aujourd’hui notre vie : Tel est ce chétif animal Qui voulut en grosseur au bœuf se rendre égal. J’oppose quelquefois, par une double image, Le vice à la vertu, la sottise au bon sens, Les agneaux aux loups ravissants, La mouche à la fourmi, faisant de cet ouvrage Une ample comédie à cent actes divers, Et dont la scène est l’Univers. Hommes, dieux, animaux, tout y fait quelque rôle, Jupiter comme un autre. Introduisons celui

de toutes les émotions (ou passions, sentiments, affections, affects). En effet, tous les sentiments n’existent que parce que nous désirons certaines choses : le désir divise le monde en choses à rechercher et choses à fuir, c’est-à-dire en bon et en mauvais. Toutes les émotions découlent de ce partage primitif : si nous sommes tristes, c’est que nous obtenons une chose que nous ne désirons pas ou que nous n’obtenons pas une chose que nous désirons ; si nous sommes joyeux, c’est pour les raisons

de toutes les émotions (ou passions, sentiments, affections, affects). En effet, tous les sentiments n’existent que parce que nous désirons certaines choses : le désir divise le monde en choses à rechercher et choses à fuir, c’est-à-dire en bon et en mauvais. Toutes les émotions découlent de ce partage primitif : si nous sommes tristes, c’est que nous obtenons une chose que nous ne désirons pas ou que nous n’obtenons pas une chose que nous désirons ; si nous sommes joyeux, c’est pour les raisons

James Leuba, Psychologie du Mysticisme Religieux, p. 16.La crise de possession dans le vaudou. Essais de psychiatrie comparée. (1946) 25 chantent de toutes les forces de leurs poumons ; le feu dont le flam- boiement s'exaspère, projette sur la scène sauvage une pluie d'étin- celles rouges ; alors, l'homme qui dirige la danse dresse ses bras très haut au-dessus de sa tête ; un claquement violent déchire le tumulte, et, le moment d'après les danseurs sont partis. » « Point n'est besoin d'aller chercher