Bon Sauvage Mauvais Civilisé

Doc finalLes logiques de l’exclusion Norbert ELIAS Anaëlle Orveau - Juliette Paradis - Claire Potin - Léa Renoux Chouteau - Aubin Patrix - Hugo Pautrieux DOSSIER ÉCRIT POUR DIMANCHE 06 MARS DERNIER DÉLAIS Questions débat : 1. Identifiez-la ou les bonnes réponses représentant un processus de décivilisationINTRODUCTION Présentation de l’auteur Norbert ELIAS est un écrivain et sociologue allemand. L’extrait du livre “Logiques de l’exclusion” Dans ce chapitre introductif

effet, la partie de loin la plus importante de cette vie se déroule encore en nous sans cette réflexion –, y compris notre vie pensante, sentante, voulante, si offensant que cela puisse paraître aux oreilles d’un philosophe des temps passés. A quoi bon la conscience en général, si elle est pour l’essentiel superflue ? – Eh bien, si l’on veut bien prêter l’oreille à ma réponse à cette question et à sa conjecture peut-être extravagante, il me semble que la finesse et la force de la conscience sont toujours

qu’il aura fallu tout au long de l’Histoire et du long processus de civilisation, pour établir une justice par la « moralité des mœurs » et forger une mémoire sociale et corporelle de l’obligation. Car, « qu’est-ce que l’homme ? Un nœud de serpents sauvages qui rarement, entre eux, connaissent le repos – alors qu’ils s’en vont chacun de leur côté, cherchant leur proie dans le monde ». Chacun, il me semble, connaît assez bien la force de ces démons et de leur violence pour sentir que si l’ignominie

serait-ce pas l’image de Montesquieu, qu’il faudrait aujourd’hui placer dans le temple de la paix, pu dans le sénat des rois qui l’ont jurée ? Avant de considérer Montesquieu sous ce noble aspect, avant d’admirer en lui le publiciste des peuples civilisés, nous devons chercher dans ses premiers ouvrages par quels degrés il s’est élevé si haut. Il sied mal, je ne l’ignore pas, de vouloir diviser en plusieurs parties le génie d’un homme supérieur. Le fond de ce génie, c’est toujours l’originalité, attribut

blend of civilized behavior and savageryMelville décrit Queequeg comme un mélange de comportement civilisé et de barbarie. Certainly in his appearance and upbringing he is uncivilized by the standards of the main characters of the novel, yet Melville (through his narrator Ishmael) finds Queequeg to be incredibly noble, courteous and brave. Certes, dans son apparence et son éducation, il est civilisé par les normes des principaux personnages du roman, (par l'intermédiaire de son narrateur Ismaël)

été bien pires que la colonisation en soit. Un grand nombre des dirigeants qui ont pris le relais des anciens pays colonisateurs étaient tyranniques et corrompus. Ces tyrans ne peuvent pas prétendre que le colonialisme est l' unique fautif. Les mauvais rapports entre anciens colonisateurs et anciens colonisés proviennent de l'échec de l'occident dans la transmission de ses valeurs. Ils prétendent que c’est parce que ces pays « n’étaient juste pas prêts », ces dires ne sont que preuve de leur mauvaise

Amérindiens, on leur cède une petite maison qui leur sert de couvent provisoire. Il s’agit d’une chambre de 16 pieds carré qui servait de parloir, de dortoir et de réfectoire et une autre qui servait de classe pour les petites élèves françaises et sauvages. Mais heureusement, en 1641 on commence la construction du couvent qui aura 92 pieds de long sur 28 pieds de large. En 1643, les religieuses y emménagent. Il s’avère que cette grande maison fut construite trop vite, le bois utilisé était non

l’on considérait valable pour tout le monde. Il fallait donc exporter ce modèle. C’était une bonne chose. Pour les américains, c’était de leur devoir que d’exporter leur modèle et ses valeurs. L’exporter c’est créer une prospérité économique, créer un bon régime démocratique. Cette vision des choses peut être qualifiée d’innocence, de naïveté de la part du peuple américain. Cette première théorie porte le nom de Wilsonisme, du président américain Wilson qui a cherché à théoriser cet idéalisme

et de malpropre et les font au contraire en une sorte de solution vaporeuse que nous nommons tabou » (II p. 23 in  Spirit of the corn and of the wild ) « Les tabous relatifs au sacré s’accordent avec les tabous relatifs à l’impureté parce que le sauvage ne fait pas la différence entre le sacré et l’impur » (p. 224 in Taboo and the perils of the soul) Frazer fait écho à Robertson Smith qui donne une définition du tabou : « usage arbitraire que peut faire l’H de la nature. Restriction renforcée par

d’événements et l’apparent parallélisme entre ce qui s’était passé sur Nibiru et ce qui s’était produit sur Terre, Enki et Enlil entamèrent une réflexion philosophique sur ce qui était écrit et ne pouvait être évité, et ce qui n’était qu’une conséquence de bonnes ou mauvaises décisions et du libre arbitre. Le second ne pouvait être prédit, mais le premier pouvait être prévu, en particulier si tout, comme les orbites des planètes, était cyclique, si ce qui s’était produit devait se produire à nouveau, si les