Biopolitique

réviser notre rapport à la nature, et à tâcher de rapprocher nos lois politiques et économiques des lois naturelles, pour réduire notre "empreinte écologique". Une rationalité élargie ne s'oppose pas à la nature, mais intègre ses lois vers une "biopolitique". droit : ce qui doit etre, or la nature c’est ce qui est anciens : le cosmos qu’on doit respecter, la anture propose un modele qu’on doit respecter, donc on a une loi en tant que commandement moral exemple aristote la anture a respceter 3

l’Etat, celui d’assurer leurs bien être. En effet, dorénavant l’Etat ne doit plus se contenter de «  faire mourir » ou « laisser vivre » mais il doit « faire vivre ». Michel Foucault dans la volonté de savoir explique qu’il existe maintenant une biopolitique et un biopouvoir. L’Etat s’est vu accordé un biopouvoir avec lequel il devrait entreprendre de « gérer la vie ». Ainsi, il peut agir sur la vie en général ou sur l’Homme dans le but d’assurer le « bonheur » des personnes. Dès lors, il aurait

infirmiers. Acteur invisible : l’opinion publique, très importante pour les autres acteurs. Autre dimension : Q° de la gestion des populations. Engage un nouveau rapport au corps : corps protégé et non plus assujetti. Foucault a proposé la notion de « biopolitique ». Dans ce cas précis, c’est une action publique liée à l’inattendu, qui va saisir l’ensemble des acteurs. Rôle des médias : construisent le problème, les peurs. Tout cela a participé à l’effervescence des acteurs politiques. Brouillage entre

Paul (de), HERMAN Jacques, SCHOUTHEETEet Marc (de), Dynamique de la recherche en sciences sociales, Paris, PUF, 1974 [12] Les « biogéostratégies », usage politique de l’espace en période de crise, font références aux « biopouvoirs » et à la « biopolitique » développés par FOUCAULT Michel (« La naissance de la médecine sociale » Dits et écrits, t. 2, Paris, Gallimard, 2001, p. 207-228). [13] GEERTZ Clifford, Savoir local, savoir global : les lieux du savoir, Paris, PUF, 1986 ; voir notamment le

Histoire de la sexualité. Les deux volumes suivants, L'usage des plaisirs et Le souci de soi ne seront publiés qu'à titre posthume. De 1979 à 1984, Foucault poursuit ses cours au Collège de France, y étudiant les principes de gouvernementalité, et la biopolitique, puis à partir de 1983 Le gouvernement de soi et des autres. Il décède le 25 juin 1984 d'une maladie opportuniste liée au VIH. Ses ouvrages. Maladie mentale et personnelle (1654) Histoire de la folie à l'âge classique (1961)

obligatoires. Mais ils sont « socialement contraints » dans le sens où l’exercice de leurs droits et l’octroi des prestations afférentes en dépendent totalement : pas de fichier, pas de dossier, et donc pas de prestations1. Le traitement « biopolitique » de la posi- tion sociale des populations s’opère donc avec une légitimité intermédiaire lorsqu’il s’agit de les faire accepter aux intéressés. L’État provi- dence doit alors déployer autant d’efforts pour convaincre usagers et agents, les

Labor et ???, Genève, 1996. (4) - M-Th. Meulders-Klein, La production des normes en matière de bioéthique - in Cl. Neirinch (Ed), De la bioéthique au biodroit. (5) - G. Hottois, Droit et société n° 8, LGDJ, p 23, Essais de philosophie bioéthique et biopolitique, Vrin, Paris, 1999. (6) - J-L Baudouin, introduction, p. 5, in J-L Baudouin (Ed), Droits de la personne:“les biodroits” Ed. Y. Bllais, Québec, 1997. (7) - Ce que fait notamment la loi française du 4 mars 2002 relative aux droits des patients, cf

porte sur la vie . La volonté de savoir (1976)  = premier volume d’une vaste histoire de la sexualité Sécurité, territoire, et population (1978) ; Naissance de la biopolitique (1978) Il se produit une mutation au tournant du XVIIIe  : l’ancien droit de vie ou de mort devient le pouvoir de faire vivre L’ancien droit de vie ou de mort

Un nouvel eugénisme serait ainsi tout entier contenu dans les nouvelles possibilités qu’offrent aux couples les nouvelles techniques biomédicales. 1) L’eugénisme d’Etat Le modèle eugéniste classique est celui d’un Etat, qui au nom d’une biopolitique, met en œuvre des pratiques de sélection génétique. Sur ce modèle classique vient se greffer aujourd’hui la perspective d’interventions non thérapeutiques sur le génome humain. L’exemple classique de l’eugénisme étatique est fourni par la politique

formidables enjeux qui ne sont, somme toute, que ceux questionnés inlassablement par le théâtre depuis plus de vingt-cinq siècles. Se tourner vers la construction du futur et non plus se situer dans la déploration du passé en interrogeant les enjeux biopolitiques contemporains, à la croisée de l’éblouissement et de l’effroi ; s’interroger sur notre humanité exhibant ses puissances démultipliées par les technologies mais à l’impuissance métaphysique toujours latente, dans la confiance d’un péril librement