Bertall

sa propre chute, certains éléments du bal laisse présager des conséquences négatives sur la vie d’Emma : la fenêtre cassée est un mauvais présage, les « faces des paysans » sont inquiétantes, le rêve brisé d’une romantique renvoyée à son passé aux Bertaux, bien que ces souvenirs repartent vite. Et ses grelottements de froid en fin de nuits laisse présager sa mort, le froid du cadavre à dire sèchement. Au-delà de la vie d’Emma, cette scène a un rôle clé dans la structure du roman. Cette scène est l’embrayage

mare bourbeuse, père en blouse, activités agricoles. • Tout s'oppose point par point aux deux passages précédents : les lieux : voyage/mer/jeu, sport, tourisme séjour/mare/travail. les noms : noms de rêve (Italie) seul nom grossier des Bertaux. les personnages : - l'habit bleu, le jeune turfiste, la femme pâle, le vicomte - le père et le mari. • Le mari est l'envers de tous les "héros romantiques, romanesques chers à Emma. Il ne comprend rien à cet univers, ET n'a guère envie

Paris. P1 SUJET D’ÉTUDE : 1792 : la chute de la monarchie et le basculement vers une république révolutionnaire Document 1 :P2 SUJET D’ÉTUDE : 1792 : la chute de la monarchie et le basculement vers une république révolutionnaire Document 1 : Jacques Bertaux, La Prise du palais des Tuileries, cour du Carrousel, 10 août 1792, 1793, huile sur toile, 124 x 192 cm, musée national du Château de Versailles, Versailles.P3 SUJET D’ÉTUDE : 1792 : la chute de la monarchie et le basculement vers une république

Antoine, 1874 ; Trois contes, 1877 ; Bouvard et Pecuchet, 1881 III Charles Bovary s'installe à Tostes après avoir reussit son doctorat, sa mere lui fait épouser une veuve de quarante-cinq ans très fortunée. Lors d'une intervention à la ferme des Bertaux, Charles rencontre Emma, fille du père Rouault, il fut alors sensible à son charme. Son épouse meurt après s'être retrouvée ruinée à cause de son notaire. Il decide d'épouser Emma lorqu'il s'est rendu compte de son amour pour la jeune fille. Après

ménagé dans une chambre pour recevoir un, des lits. Résumé: Charles est réveillé en urgence pour une intervention à la ferme des Bertaux. Le père Rouault est un paysan assez aisé qui vient de se fracturer la jambe. En le soignant, Charles rencontre la fille du père Rouault, Emma. Tout de suite sensible au charme de la jeune fille, il multiplie alors les visites aux Bertaux, jusqu’au jour où Éloïse, comprend l’objet de ses visites et lui interdit d’y retourner. Au début du printemps, la vieille épouse

styles artistiques adoptés. Graveurs et dessinateurs de renom, en effet, ont été inspirés par son univers, parmi lesquels François-Marie Queverdo, pour les premières éditions, puis au XIXe siècle Jean-Ignace Grandville, Victor Adam, le caricaturiste Bertall, dans la première moitié du XXe siècle, les illustrateurs Samivel, Benjamin Rabier, Armand Rapeño ou, plus proche de nous, Roland Sabatier.

veuve) vie conjugale = prison Chapitre 2 : Premières rencontres de Charles et d'Emma Rouault Le père s'est cassé la jambe, Charles est séduit par Emma > épouse jalouse jusqu'à sa mort (ruinée) Chapitre 3 : La demande en mariage Visites aux Bertaux. Demande en mariage pendant l'été Chapitre 4 : La noce Chapitre 5 : Prémière déception d'Emma Charles découvre le bonheur auprès d'Emma. La réalité ne correspond pas aux lectures d'Emma Chapitre 6 : L'éducation et les rêves de la jeune

matières utilisées pour peindre ou sculpter permettent de déceler l’ironie de l’auteur : « excréments » nous renseigne sur la nature de ces œuvres. « La visite aux Bertaux » Gustave Flaubert Flaubert est un auteur réaliste du XIXe siècle (deuxième moitié). Il stigmatise une attitude trop romanesque pour être viable. « La visite aux Bertaux » est extraite du chapitre 3 de Mme Bovary, publié en 1857. Ce passage de roman relate la scène de rencontre entre Charles et Emma (thème). Il commence par la description

deux couples peuvent se former, chacun reprenant sa position sociale. |Le Jeu de l’amour et du hasard | |[pic] | |illustration de Bertall | |[pic] | |Auteur |Marivaux | |Genre |Comédie

Colette publiaient ses chefs-d’œuvre sous le nom de son mari, qui s’attribuait tout le mérite et toute la gloire. Dans les environs de 1900, certaines femmes commençaient à signer leurs œuvres de leur véritable nom, comme Camille Claudel ou Hélène Bertaux. Cette dernière donna des cours de sculptures à des femmes et fonda même une association pour montrer les œuvres de ses élèves. Vivre en tant qu’artiste femme à cette époque n’était pas facile… Camille Claudel, qui était seulement considérée comme