Benveniste La Subjectivité Dans Le Langage

 »,  Rousseau     Langage   La   réflexion   sur   le   langage   est   ancienne   mais   les   définitions   classiques   du   langage   restaient   très   générales   (faculté   d’expression   verbale   de   la   pensée…).   C’est   avec   le   Cours   de   linguistique   générale   (1916)   de   Ferdinand   de   Saussure   que   le   langage   est   défini  dans

critiques de la réception * prolongements Chapitre IV : le texte comme langage 1) critique et linguistique : un dialogue discontinu 2) principe de l’analyse formelle et structurale *Roman Jakobson et la fonction poétique du langage * La narratologie : une science du récit ? * Mikhaïl Bakhtine : dialogisme et intertextualité 3) les critiques de l énonciation * Emile Benvéniste et la critique du langage *Henri Meschonnic : critique du rythme, critique de la voix Chapitre V :

(≠critique professionnelle) met à jour des auteurs alors inconnus (cf. Malraux découvre Faulkner et D.H Lawrence). Enfin, la critique des artistes est une œuvre d’art, la reconstitution d’un style par un autre style, la métamorphose d’un langage en un autre langage. Définition de la critique artistique selon Blanchot : elle est liée à la recherche de la possibilité de l’expérience littéraire, mais cette recherche n’est pas seulement théorique, elle est le sens par lequel l’expérience littéraire se

programmées. Cependant, la parole qui n’ambitionne pas de convaincre n’en cherche pas moins à exercer une influence en orientant des façons de voir et de penser. Déjà Benveniste définissait le discours comme « toute énonciation supposant un locuteur et un auditeur, et chez le premier l’intention d’influencer l’autre en quelque manière » (Benveniste 1974 : 241-2). Cette définition, sans doute fragmentaire, a l’avantage de souligner que tout échange verbal repose sur un jeu d’influences mutuelles et sur la

de l'énoncé . Cette manière d'oscillation, caractéristique de la critique contemporaine, traduit que cette critique ne peut se tenir à un de ses présupposés essentiels: la pratique littérire illustrerait le rapport que le sujet entretient avec le langage ; la littérature serait ce discours qui choisirait d'exposer un tel rapport . Le privilège accordé à l'énonciation n'exclut pas que soit considéré, dans ce jeu littéraire, l'énoncé puisque, dans ce jeu littéraire, l'énonciation est un jeu avec l'énoncé

logue tiré du Grec logos « Discours » C’est un discours d’une personne qui qui ,en compagnie, parle seule et abondamment, sans être interrompue ou sans chercher à obtenir de réponse de ses interlocuteurs .Ainsi selon Benveniste « Le monologue est un dialogue intériorisé ,formulé en un langage intérieur entre un moi locuteur et un moi écouteur ». le soliloque désigne un monologue d’une personne qui réfléchit à haute voix. La soliloqué est un terme souvent utilisé dans la comédie dramatique lorsqu'un personnage

1992. 4.Linguistique des genres Linguistiques de l’énonciation Logique des genres littéraires Fiction et non-fiction Benveniste et les « plans d’énonciation » : « Histoire » et « Discours » Weinrich et les « attitudes de locution » : « Récit » et « Commentaire » Genette et l’architexte pragmatique des genres Genres du discours Actes de langage et genres du discours 5. Poétique des genres Stylistique des genres Pierre Larthomas et la distinction entre l’oral et l’écrit

d’un animal qu’il est un sujet, un « moi ». La notion même de sujet est alors propre à l’être humain qui se distingue des choses par sa capacité à penser mais aussi et surtout par le langage. Sous partie 1 : le moi est un sujet pensant mais aussi matériel Le moi est donc un sujet pensant doté du langage (Benveniste) Substance pensante (Descartes) . Cette « substance pensante », cette « substance dont toute l’essence ou la nature n’est que de penser », constitue un ordre de réalité spécifique

à la fois, d’appoint et incontournables dans l’analyse du discours littéraire, du discours politique, du discours religieux, du discours tout court. On parle alors d’actes de langage, dont le principal référentiel théorique est dû à Austin et à Searle. Mais au fil des analyses et des années, les théories d’actes de langage n’ont pas manqué, comme plusieurs autres théories, de montrer des points fragiles. A la suite d’autres, Kerbrat-Orecchioni notamment, on mettra en procès, par exemple, la notion

tardive du langage du point de vue du développement multimodal Pause 10h45-11h00 11h00-11h30 Jéssica Barraza Bizama Université Paris Descartes Évaluation de la communication chez l’enfant en termes d’actes de langage : stratégies multimodales d’interaction utilisées par l’enfant face à l’adulte 11h30-12h00 Angelina Vasconcelos UNICAMP Brésil et Université Paul Valéry Montpellier Ester Scarpa UNICAMP Brésil Christelle Dodane Université Paul Valéry Montpellier Acquisition du langage et négation