Bentham

L’animal n’est t’il qu’une chose, s’il a des émotions ? Selon Bentham, Introduction aux principes de morale et législation « La question n’est pas peuvent-ils raisonner ni même : peuvent t’il parler ? Mais : peuvent-ils souffrir ? » D’après cette citation nous pouvons dire qu’alors l’animal n’est qu’un être sensible, qui peut donc ressentir de la douleur. Il ne faut donc pas le traiter comme une chose et donc peut posséder des droits. Selon Bentham, Introduction aux principes de morale et législation «

La valeur morale = dans l’examen des conséquences de nos actions et non dans l’INTENTION (Vs Kant) 20. Qu’est-ce qui définit le concept d’ « utilité » selon l’utilitarisme de Bentham? Utilité = le BONHEUR ou le BIEN-ÊTRE DU PLUS GRAND NOMBRE 21. Quelle est la grande différence entre l’utilitarisme de l’acte (Bentham) et l’utilitarisme de la règle (Mill)? RÉPONSE PERSONNELLE

des amis des droits de l'Homme et du Citoyen 2.4 Influence de la Révolution américaine 3 Analyse générale 4 Contenu 4.1 Préambule 4.2 Contenu des articles 4.3 Contexte de l'adoption de la Déclaration 5 Critiques 5.1 Critiques de Burke et de Bentham 5.2 Critique marxiste 5.3 Critique féministe 5.4 Droits des habitants des colonies 6 Applicabilité juridique 7 Postérité 7.1 Du point de vue juridique 7.2 Du point de vue historique 8 Voir aussi 8.1 Bibliographie 8.2 Articles connexes 8

est nécessaire dans le sens où elle est le seul moyen de promouvoir le bien commun. a) Un moyen de dissuasion : La théorie pénale de Bentham repose sur le principe de maximisation de l’utilité. Nulle pratique n’est intrinsèquement morale ou immorale, ce sont ses conséquences sur l’utilité totale qui lui donnent un statut éthique. La position de Bentham est que la peine est justifiée lorsque les bénéfices qu’elle amène outrepassent la souffrance de celui qui la subit. L’essentiel des bénéfices

se recommander de la liberté illimitée. » (L 2) ; notons dès maintenant que jusqu'en 1889 (la morale anarchiste) et même après , la liberté sera l'une de ses préoccupations privilégiées : il la mettra en relief en l'opposant à l'utilitarisme de Bentham et au libéralisme de John Stuart Mill accusant les deux théoriciens de la corrompre tout en s'en revendiquant. De la même manière, quelques lignes plus tard on peut entrevoir l'ombre de Jean-Jacques Rousseau et de son contrat social : « du libre

la loyauté de l’employé. 1.4 Application d’une théorie : L’utilitarisme de Bentham/Mill Un calcul utilitariste nous permettrade solutionner le problème. En ce qui concerne la décision, celle-ci doit être prise de sorte qu’elle pourvienne en bonheurs plus que les autres. Dénoncer sa compagnie engendrerait du malheur pour son patron celle-ci, de l’insatisfaction chez le client et un renvoi fâcheux pour l’employé. Bentham et Mill seraient d’avis à satisfaire le plus grand nombre, ce qui implique de

production. Et naturellement l’objectif de rentabilité économique a vite réjoint celui de l’utilité sociale : c’est en cela qu’ils sont conceptuellement liés. Or, dès Bentham, le contrôle des corps fut justement conçu comme un instrument parmi d’autres de l’utilitarisme social. Les deux grandes constructions intellectuelles de Bentham, non panoptique et non hydraulique des désirs, apparaissent comme les instruments d’une véritable politique du corps, par laquelle le pouvoir public agit sur les existences

à la vie. Or l’intérêt d’un être vivant consiste précisément à ne pas souffrir. Il est donc nécessaire sur un plan moral de prendre en compte la douleur animale pour qu’une égalité de considération puisse en découler. Dans la même logique que Bentham, il ne s’agit pas tant de défendre des droits que de promouvoir une certaine forme d’égalité. L’égalité de considération est une « égalité de droit » « Tous les animaux sont égaux. Ou pourquoi le principe éthique sur lequel repose l’égalité humaine

tendance à augmenter le bonheur de la société est supérieure à tout ce qui le diminue »Bentham, Principes de morale et de législation.               On retrouve dans la philosophie moderne une conception quelque peu similaire à celle d’Épicure bien que centrée, à la différence de cette dernière, sur la vie sociale. Cette conception a été développée par dans la pensée utilitariste de Bentham et Mill. Pour Bentham, le critère premier des actions humaines est leur utilité, celle-ci étant définie comme

façon, sa tendance à augmenter le bonheur de la société est supérieure à tout ce qui le diminue » Bentham, Principes de morale et de législation. On retrouve dans la philosophie moderne une conception quelque peu similaire à celle d’Épicure bien que centrée, à la différence de cette dernière, sur la vie sociale. Cette conception a été développée par dans la pensée utilitariste de Bentham et Mill. Pour Bentham, le critère premier des actions humaines est leur utilité, celle-ci étant définie comme une capacité