Bel Ami La Partie Carrée

quand elles sont faites. Je suis donc revenu, madame, à mon premier dessein ; et, forcé de me passer d’une expérience où je ne voyais guère à gagner pour mon instruction ni pour la vôtre, mais dont M. de Réaumur tirera sans doute un bien meilleur parti, je me suis mis à philosopher avec mes amis sur la matière importante qu’elle a pour objet. Que je serais heureux, si le récit d’un de nos entretiens pouvait me tenir lieu, auprès de vous, du spectacle que je vous avais trop légèrement promis !

qui vit l’inauguration de la tour Eiffel, cette toile évoque avec minutie et humour la vie des « grands boulevards » qui sont, depuis la monarchie de Juillet, au centre des activités de la capitale. Élève de Bonnat, Jean Béraud se fait connaître à partir de 1873 en multipliant les scènes de la vie parisienne qui font de lui un remarquable chroniqueur de son temps. Le choix de ses sujets l’apparente aux impressionnistes, mais sa technique est beaucoup plus classique. Le Paris de Béraud est essentiellement

Julie et sa curiosité. Opposants: Ricardo Patatras Sujet : Julie Adjuvants : Sophie et Xavier les meilleurs amis, la voisine, la boulangère la bande d’amies. LjcfL Résumé : L’histoire commença par une rencontre à la fête d’un ami de Julie fêtant son nouveau divorce. Sur le balcon elle rencontra Kevin qui lui posa la question dont tout le monde était en train de parler « quel est le truc le plus idiot qu’elle ait fait dans sa vie » et là Julie lui raconta toute son histoire à

et subjectif Pour finir, même le langage nous montre le côté étranger et orientale -Rica s’exprime à la première personne et s’adresse à son ami avec « tu » → confirme qu’il s’agit d’une relation amicale et correspond à un langage oriental où le tutoiement est très fréquent car un Français à cette époque utilise le vouvoiement même s’il s’adressait à un ami proche De plus, -Montesquieu s’amuse à transformer l’expression française « jurer comme un Paien » → « enrager comme un Chrétien »(l.12)

deux ans au grand salon de peinture organisé au château du Louvre. Il fait ensuite le compte-rendu et l’analyse des œuvres qu’il a découvertes, faisant partager au lecteur ses enthousiasmes et ses déceptions. « Enfin je l’ai vu, ce tableau de notre ami Greuze ; mais ce n’a pas été sans peine ; il continue d’attirer la foule. C’est un père qui vient de payer la dot de sa fille. Le sujet est pathétique, et l’on se sent gagner d’une émotion douce en le regardant. La composition m’en a paru très belle ;

car, pour se faire connaître, il faut provoquer la polémique, voire le scandale. C’est qu’à 26 ans, ce jeune homme encore inconnu qui a vécu la misère ne tient pas à demeurer dans l’ombre de ce grand débat sur l’art. Comme il l’écrit en 1865 à son ami Valabrègue, la défense des jeunes peintres et de Manet en particulier sert plusieurs objectifs : « J’ai un double but, celui de me faire connaître et d’augmenter mes ventes. » Le succès ou plutôt le scandale ne se font pas attendre et Zola, renvoyé

monde ne fut davantage enviée et crainte, admirée et honnie, plus souvent dévastée et reconstruite. Son aspect monumental et la vie de ses habitants furent rythmés par les grands règnes de l’histoire du Proche-Orient ancien. Chaque souverain puissant, ami ou ennemi, voulut la conquérir et y laisser son empreinte, pour l’embellir ou la détruire. Babylone était le cœur spirituel et intellectuel de toute la Mésopotamie, rayonnant sur le monde civilisé. Elle était le centre cosmique, le symbole de l’harmonie

monde ne fut davantage enviée et crainte, admirée et honnie, plus souvent dévastée et reconstruite. Son aspect monumental et la vie de ses habitants furent rythmés par les grands règnes de l’histoire du Proche-Orient ancien. Chaque souverain puissant, ami ou ennemi, voulut la conquérir et y laisser son empreinte, pour l’embellir ou la détruire. Babylone était le cœur spirituel et intellectuel de toute la Mésopotamie, rayonnant sur le monde civilisé. Elle était le centre cosmique, le symbole de l’harmonie

L'expression de l'amour est toujours présent dans se siècle, comme le montre le poème de Jacques Davy du Perron, écrit avant qu'il ne devienne évêque. La renaissance et la Pléiade laisse leur place au baroque au 17ème siècle ainsi qu'au classicisme à partir de la seconde moitié de ce siècle. En effet le sonnet, les fables, les stances et d'autres formes de poèmes font leur apparition. Théophile de Viau qui exprime la liberté dans ses poèmes, François Malherbe qui s'inspire de la Cour ou encore Jean

mode : Don Juan. Cette pièce eut un vif succès mais s’arrêta au bout de quinze représentations seulement. Il semblerait qu’on demanda officieusement à son auteur de la retirer à cause de son impiété. Tartuffe, Don Juan et le Misanthrope (1666) font partie de ce qu’on pourrait appeler la trilogie de l’imposture et de l’hypocrisie. Molière contourne l’interdiction portant sur Tartuffe en traitant le même thème de diverses manières : Tartuffe : hypocrisie des faux dévots ; Don Juan : hypocrisie et cynisme ;