Beauté Physique

portrait physique puis ensuite, un portrait moral. Le premier paragraphe est en réalité une seule phrase courte, « Ce fut comme une apparition : » l.1 qui permet d’appuyer l’importance du passage. Pour cela, Flaubert utilise le présentatif « ce fut » l.1 qui, encore une fois, vient insister et mettre en valeur l’importance cet extrait et finit la phrase par deux points, ce qui annonce une description et ce qui crée aussi un effet de rupture. Enfin, le troisième paragraphe dresse le portait physique de

traitera comment l'image idéalisée du sport influe sur les individus. 1re partie 1re SP Le sport se definit comme un ensemble d'exercices physiques pour entretenir son corps et son esprit, il se pratique individuellement ou collectivement. D'aprés Isabelle Queval, le sport se traduit par des compétitions de loisirs, de sport-santé ou d'éducation physique scolaire mais tout cela n'est pas du sport aproprement dit. Jean Giono rejoint cet avis du fais qu'il parle de « profession » du sport, étant

mondialisation impose une façon d’être et dans un effort de devenir cette  « vraie femme  », beaucoup perdent confiance en elle, parce que ce modèle, fruit de la standardisation, est impossible à atteindre. Le culte de la minceur et de l’apparence physique Dans cette abondance d'images, on remarque cependant peu de diversité. Les visages et les corps sont jeunes, très minces, la peau est généralement blanche et sans défaut. Les images des magazines féminins et de la publicité nous présentent des femmes

Les cosmétiques pour hommes I/ LE MARCHE 1. L’évolution des mœurs : le passage à la beauté masculine 1. Evolution de l’image masculine 2. La prise de conscience des besoins du corps 3. La perception de l’homme à travers les médias : support d’expansion de la néo-masculinité 2. Le marché de la cosmétologie masculine 1. Les métrosexuels : une cible qui s’impose 2. Les grandes marques de cosmétique pour homme I/ LE MARCHE Quelques chiffres à garder en tête pour commencer…

Julien Sorel est un jeune homme modeste et timide mais cultivé et ambitieux, mais étant plus particulièrement sensible « extrêmement pâle et qui venait de pleurer » (ligne 3). De plus, les deux traits dominants du portrait sont la beauté et la fragilité. La beauté du teint se remarque à la ligne 5 « le teint de ce petit garçon était si blanc », et la fragilité se retrouve à la ligne 6 « ce pouvait être une jeune fille déguisé », à la ligne 9 « pauvre créature » et à la ligne 20 « sur les joues

l’époque, le pays, la religion et une quantité d’autres facteurs. Prenons l’exemple des femmes girafes qui sont l’idéal de la beauté de certaines tribus thaïlandaises, cette vision se heurte totalement à la conception européenne du beau qui ne comprend pas de cou exceptionnellement long mais plutôt une taille fine ou un teint bronzé. Il n’y a donc pas de définition de beauté absolue et planétaire, le beau est subjectif. Nous caractériserons donc l’art comme une création humaine pouvant faire ressentir

chez toi que ça commence, dans le regard que tu portes sur toi-même, sur ton corps, ton physique, ta personnalité. Il faut que tu te trouves bien, que tu aies confiance en toi, que tu te trouves attirant(e). Même si tu n'es pas un prix de beauté, parce que trop gros(se) ou trop maigre, ou parce que tes seins sont trop volumineux ou trop menus, ou parce que tu as des oreilles en feuilles de chou : ton physique, c'est plus que la somme de toutes les parties de ton corps. C'est aussi la façon de

Définition et mise en relation des termes, en vue d’une approche du problème.) Une oeuvre d'art est un objet spécifique qui, avant même de posséder une quelconque valeur esthétique (la "beauté") se définit comme symbolique et expressif, très différent en ce sens de l'objet naturel ou de l'objet technique. La beauté, que l’on attribue notamment aux œuvres (mais pas exclusivement) fait l'objet d'un jugement dit « esthétique » qui semble - a priori - demeurer personnel, surtout si on le compare au jugement

exposé l'héroïne. I) Un portrait élogieux - sa "beauté" -> mot repris 5 fois - hyperbole : beauté parfaite + portrait exceptionnel "blancheur de son teint …" - portrait qui frappe par son abstraction avec des mots comme "beauté, grâce ou charme" - elle correspond à un fantasme, idéal, celui de tout le monde - info physique imprécise mais correspondent à un idéale féminin - surpris -> répété : réaction violentes d'admiration sa beauté attire tout les regards - portrait hyperbolique avec

32/33 * personnage conformiste : n’a pas d’avis personnel > « on dit » l.36 Fait l’éloge de l’homme : énumération de caractères mélioratifs > « un des plus honnête hommes du monde, il est bien fait, aimable de bonne mine » l.36-38 -> apparence physique ; parallélisme de construction : insiste sur l’aspect merveilleux > « de mariage plus doux, d’union plus délicieuse » l.40-41 Utilisation du proverbe « l’utile et l’agréable, tout s’y trouve » l.49 : simple et stéréotypé -> Lisette est quelqu’un