Beauté Physique

Etrangement, Mizoguchi, le narrateur homodiégétique du Pavillon d’Or, présente de troublantes similitudes comportementales et même physiques avec l’auteur même, telles que son goût pour la morbidité et la mort, la construction mentale d’un univers intérieur, un certain repli sur soi-même ainsi qu’une adhésion affichée au nihilisme. Par ailleurs, Mishima est attiré par de jeunes beautés, mais exclusivement mâles et, de surcroit, destinées à une mort provoquée de préférence par de sanglantes blessures.  Son

très important : par exemple, le verbe avoir est employé six fois. On remarque que cette société est fondée sur le regard car c'est une société de cour : la beauté et la richesse sont les deux choses primordiales. C'est l'apparence qui révèle les privilèges. Les valeurs sont celles du physique : · la beauté pour les femmes, · la force physique pour les hommes. b) l'intérêt de la préparation Les deux personnages principaux se sont parés : " Elle passa tout le jour des fiançailles chez elle à se parer

le signe d'un coup de foudre. Une vision enchanteresse Le narrateur est extérieur au récit, il utilise un point de vue omniscient. La focalisation privilégiée dans l'extrait est la description fine et complète de Mme Arnoux à travers son physique mais aussi sa tenue (robe ; chapeau ; ruban...). Dans les deux premiers paragraphes de cet extrait, la focalisation est portée sur Mme Arnoux qui est en train de broder sur un banc. Dans les paragraphes suivants du texte, nous notons un changement

trivialité. Les esthètes préfèrent s'adonner à la recherche du raffinement, de la beauté, de l'art. L'esthétisme, le décadentisme, voire le symbolisme, sont des recherches pour échapper à un même malaise : la fin du XIXe siècle se partage, d'une part, entre la foi dans la science et la modernité ; d'autre part, l'anxiété, le pessimisme devant des valeurs remises en cause par le matérialisme. Le culte de la beauté pour elle-même a semblé à certains une issue. Le portrait de Dorian Gray est donc

B) Ce portrait est en effet un éloge , tant il accumule les qualités chez le personnage. 1-Mlle de Chartres est définie par sa qualité la plus évidente, la beauté : beauté sert d’identité dans la première partie du texte ; récurrence du mot « beauté ». Pas de réel portrait physique, les indications restent vagues. 2-Liée à cette beauté , la séduction, plus indéfinissable encore : connotations de « pleins de gâce et de charmes » qui suggèrent une allure et un maintien répondant à un idéal de comportement

Mater ». Elle donne et reprend la vie. En se prosternant au sol, Job s'exclame : « Je sortis nu du ventre de ma mère et nu j'y retournerai » (1, 21). L’HARMONIE ENTRE LE CIEL ET LA TERRE Le ciel, ce que nous en voyons, est tout harmonie : ordre et beauté et sa contemplation nous remplit de paix, de sérénité. Il est espace et lumière, mouvement ordonné et stabilité. La communion avec l'espace du ciel nous fait prendre conscience d'un espace intérieur à notre être, espace sans limites, immobile, absolument

très important : par exemple, le verbe avoir est employé six fois. On remarque que cette société est fondée sur le regard car c'est une société de cour : la beauté et la richesse sont les deux choses primordiales. C'est l'apparence qui révèle les privilèges. Les valeurs sont celles du physique :· la beauté pour les femmes, · la force physique pour les hommes. b) l'intérêt de la préparationLes deux personnages principaux se sont parés : " Elle passa tout le jour des fiançailles chez elle à se parer

vue très important : par exemple, le verbe voir est employé six fois. On remarque que cette société est fondée sur le regard car c'est une société de cour : la beauté et la richesse sont les deux choses primordiales. C'est l'apparence qui révèle les privilèges. Les valeurs sont celles du physique : la beauté pour les femmes, la force physique pour les hommes. c) le jeu des regards Tout au long du texte, on a un jeu de regards. On a premièrement le regard de la princesse sur le duc. Elle refuse d'abord

Placé sous le signe de la vue : « il parut alors une beauté » « apparut » « attira les yeux » « admiration » l1 à 3 Importance de la vue La Cour = spectacle/grd théâtre Le ppii « on » dans « on était accoutumé à voir » l2 = focalisation externe Lecteur admet le point de vue de la Cour Pas de réelle identité = c’est la Cour = conscience publique Focalisation omnisciente car infos sur la protagoniste (physique, passé & éducation) Ce jeu des points de vue

permettant au lecteur de voir la société du XVIIème Développement : Axe 1 : Portrait hyperbolique vantant les qualités de l’héroïne - Qualification de Mlle de Chartres de « beauté à la cours » - Elle suscite de l’admiration  « attira le yeux de tout le monde » et « donna de l’admiration » - Portrait physique de l’avant-dernière phrase jusqu’à la fin : - « blancheur de son teint » - « cheveux