Beaucoup de bruit pour rien

visuels, verbaux, non-verbaux… C'est une interaction où chacun a son rôle à jouer. La communication fonctionne comme un orchestre. o les signes linguistiques face aux autres signes (l' "orchestre" sémiotique et médiatique) L'orchestre des signes est beaucoup plus large que le logos, il ne donne pas la prévalence au logos. IMAGE Avec tous les écrans que nous avons (gsm, tv, ordi etc.), nous sommes entrés dans un monde d'image et plus de texte. Il y a eu rupture entre la communication et les technologies

l'idée d'un être totalement étranger au monde qui l’entoure, et donc comme Victor Hugo lors de son voyage : « les yeux fixés sur mes pensées, sans rien voir au dehors » «  Sans entendre aucun bruit ». « L’ombre des anges » d’Isaac Lerutan , est un poème d’amour dans une tournure de voyage qui se répète infiniment comme une belle preuve d’amour . J’ai beaucoup aimé ces textes, ils reflètent tous l’idée de liberté et d’évasion. Poème n°1 : Heureux qui comme Ulysse, a fait un beau voyage .Extrait du

Le mystère de la pompe à essenceAuteur: Ignacio Gonzalez Vargas Cours: 5eme Dans un monde avec beaucoup des voitures, dans la route 68, une pompe à essence qui pendant le jour c’est une station très amicale qui donne un bon service, mais lorsqu’il arrive la nuit, c’est un véritable enfer, les employés s’en allaient vite et en courant, quand leur tour de garde finisse, quand les clients vont, utilisent le service et partent vite. Tous ont peur de l’endroit car pendant la nuit on dit que dans

fœtus entre la huitième semaine de grossesse et la naissance. Son cœur commence à battre à trois semaines et, à huit semaines, ses organes (sauf le cerveau) sont en place. On a longtemps cru qu'il n'entendait rien, ne voyait rien, ne sentait rien bien à l'abri dans le ventre de sa mère. Rien n'est plus faux ! Quels sens possède-t-il ? Grâce à l'échographie et à l'étude de son rythme cardiaque, il est possible de visualiser ses mouvements et repérer ses réactions à différents stimuli extérieurs

de mon existence. Je suis très vieille, sans parents, sans enfants ; je me trouve donc libre de me confesser à vous. Promettez-moi seulement de ne jamais dévoiler mon nom. J'ai été beaucoup aimée, vous le savez ; j'ai souvent aimé moi-même. J'étais fort belle ; je puis le dire aujourd'hui qu'il n'en reste rien. L'amour était pour moi la vie de l'âme, comme l'air est la vie du corps. J'eusse préféré mourir plutôt que d'exister sans tendresse, sans une pensée toujours attachée à moi. Les femmes

t'inquiète je suis là. M : Ouais... J : C'est quoi ce « ouais » tout mou ! Je sais me défendre, merci. M : Mais je rigole. J'ouvris la porte de la maison. J : Tu ne prends pas la lettre qu'il a mise ? M : Non, demain. On fait quoi ? J : Film ? Rien quand le regardant il su que c'était okey. M : Y a du coca dans le frigo et des bonbons dans les placards va les chercher. J'alla allumer la télé est cherché un film, ce soir ça sera le Transporteur 2, le film préférée de Jackson. Même si, je dois

retour au désert, et depuis le succès du théâtre de Koltès ne s’est pas démenti. Si cette première pièce  respecte le plus souvent les impératifs du théâtre classique,  en revanche elle surprend par d’autres aspects: ainsi les didascalies prennent beaucoup d’importance et constituent en elle-même une sorte de texte tout à la fois symbolique et poétique. Elles marquent l’entrée dans un monde dont le réalisme n’est qu’une apparence. De quelle manière Koltès joue-t-il avec son lecteur dans cette première

certaines choses, qui assure et affirme celles-là seules véritables, qui nie toutes les autres, qui veux et désire en connaître davantage, qui ne veux pas être trompé, qui imagine beaucoup de choses, même quelque fois en dépit que j’en aie, et qui en sens aussi beaucoup, comme par l’entremise des organes du corps ? Y a-t-il rien de tout cela qui ne soit aussi véritable qu’il est certain que je suis, et que j’existe, quand même je dormirais toujours, et que celui qui m’a donné l’être se servirait de toutes

une importance au hasard et à l’absurde. Marcel Duchamp (1987-1968), artiste normand (peintre, plasticien et homme de lettre), est appelé « le grand perturbateur » de l’art moderne. Son œuvre bouleverse radicalement l’art du XX° siècle. Il a beaucoup subit l’influence du fauvisme de Cézanne mais il trouve aussi un grand intérêt dans le cubisme. Cet artiste a montré une volonté de remettre en cause les normes artistiques en posant des questions sur la nature véritable d’une œuvre d’art. L’art

répétition du mot «cadavres», ainsi que le mélange entre le sang et la couleur de l’uniforme, devenus indissociables l’un de l’autre, insistent sur l’aspect bien réel, très concret, de la scène. D'ailleurs ce n’est pas sur une vision, mais par du«bruit» que s’ouvre l’extrait, comme si le tumulte empêchait de voir. Le vacarme, «le ronflement égal et continu produit par les coups de canon»,les «décharges» qui choquent Fabrice et lui font«mal aux oreilles»: l’abondance de précisions sur le volume sonore