Bataille de Pydna

romain écrit vers 220 avant J.C, nommé Fabius Pictor. Sur quoi s’appuie cet historien, surtout que son œuvre a été perdue. Il écrivait plutôt pour les Grecs, écrivait Rome pour les autres. Quelles sources avait-il ? Anales religieuses, récit des batailles perdues ou non, récit de la vie quotidienne, listes des magistrats en particulier les consuls. Ce sont des fastes consulaires, ils sont faits pour une question de décompte. Tradition familiale aussi raconté, les monuments, les inscription dans Rome

Influences asiatique et hellénique. - Peinture. Caractère CHAPITRE IV De 598 à 491 av. J.-C. - Servius Tullius. - Tarquin le Superbe. - Les livres sibyllins.- Julius Brutus et Tarquin Collatin, consuls. - Valerius, vainqueur des Étrusques. - Bataille de Régille. - Les dioscures. - La République. - Gouvernement de Rome. - Lutte entre les patriciens et les plébéiens. - Dictature.- Appius Claudius et Valerius. - Les tribuns. - La loi agraire. - Spirius Cassius, victime du Sénat. - Les Fabius. -

Sardaigne, Sicile, sud de l’Espagne et le littoral nord de l’Afrique). => Rome devient la puissance dominante mais ne s’arrête pas là et entend conquérir la méditerranée orientale. - En 168 av. JC c’est la victoire de Rome sur la Macédoine à la bataille de Pydna. La Macédoine devient ainsi une province sous la direction d’un gouverneur romain. 5 - En 146 av. JV, les romains prennent Corinthe qui devient aussi une province. - En 133 av. JV, legs du royaume de Pergame qui devient là encore une province

mais il décrit la civilisation de son temps. Troisième version : Homère n’est pas fiable. Il ne fait pas combattre ses guerriers sur des chars de combat. Ceux-ci sont utilisés d’après lui pour transporter les troupes des bateaux aux champs de bataille. Autrefois on se battait avec des chars, accueillant des archers, mais de son temps Homère ne sait plus comment ça marche. Il décrit quelque chose qui, pour lui, est antérieur. Quatrième version : dans l’Iliade, il y a des combats à coups de cailloux

visible en effet que d’une classe à l’autre les effectifs doivent croître en raison directe de la décroissance des fortunes. Si telle était l’organisation de l’armée, il faudrait donc croire qu’elle était combinée en vue d’amener sur le champ de bataille des unités tactiques à effectifs infiniment variés, conclusion absurde et qui se réfute d’elle-même. On a supposé que les centuries étaient, non des unités tactiques, mais des cadres de recrutement d’où l’on tirait un nombre proportionné de soldats

secours commandée par Hasdrubal est anéantie en 207. La victoire de Rome Le jeune Scipion est élu consul en 205 et reçoit la Sicile comme province. En 204, il prend pied en Afrique aidé par le Numide Masinissa. Hannibal livre contre les Romains la bataille décisive de Zama en octobre 202. Les Puniques sont vaincus mais Carthage reste debout et Hannibal s’enfuit. En 201, un traité met fin aux hostilités ; Carthage doit livrer sa flotte et ses éléphants et accepter de ne plus faire la guerre sans l’autorisation

grande échelle une colonisation agricole et de peuplement sur des territoires relativement étendus.À plusieurs occasions, les colons grecs se sont battus contre les Phéniciens ou les Carthaginois (480 av. J.-C.: bataille de Himéra), de même que contre les Etrusques (524 av. J.-C.: bataille de Cume). Cependant, les colons grecs se sont parfois alliés à leurs adversaires contre d’autres villes grecques ou romaines. Sachez que la culture matérielle des colonies grecques fait partie du cours d’archéologie

crise agraire. Or au même moment les techniques de guerre évoluent. Les chars de combat et la lourde cavalerie aristocratique fait place à l’infanterie, qui nécessite un beaucoup plus grand nombre de guerriers (ce n'est plus les duels, mais des batailles de masse). C’est naissance de la fameuse phalange grecque composée de fantassins lourdement armés, les hoplites (les guerriers qui doivent avoir tout l'équipement) , qui combattent en groupe compact. Ceux-ci appartiennent, du fait du coût de l’équipement

mêmes obligations militaires que les eupatrides sans recevoir en contrepartie des droits politiques. Or justement le 7ème siècle a été marqué par une réforme militaire qu'on a appelé la réforme hoplitique. Désormais ce qui compte sur le champ de bataille ce n'est plus le courage individuel des citoyens ce qui compte c'est la puissance de la phalange qui constitue en réalité une masse compact d'hoplites. Ce nouvel art militaire suppose l'acquisition d'un matériel très couteux et donc les citoyens

provinciale et pérégrine n'en sont que de pâles imitations. Le titulaire du dominium est privilégié sur le plan fiscal, il n'est pas assujetti à l'impôt depuis la victoire des romains sur le roi de Macédoine en 168 avant notre ère lors de la bataille de Pydna. En 212 après J-C, l'empereur Caracalla entérine une évolution qui a déjà commencé, il donne la citoyenneté romaine à tous les hommes libres de l'empire, mais à ce moment là, la citoyenneté n'est plus assortie d'une exemption fiscale. Le