Bataille de Poitiers

Aquitaine. Pendant ces batailles, les Francs conquièrent une partie du territoire et donc leurs Roi Clovis 1er deviennent Rois des Francs. Il se fait baptiser afin d'être reconnu par les peuples déjà catholiques et avoir une légitimité. À la mort de celui-ci, le royaume des Francs est partagé entre ses 4 fils. À partir du VIIe siècle, le pouvoir royal s'affaiblit, car les Méorvingiens n'ont plus de terres à donner à leurs guerriers. Et après la victoire de Charles Martel en 732 à Poitiers contre les musulmans

mérovingien (trop jeune, et non « fainéant »), les Pépinides. Le point de départ véritable de la puissance de ceux que l’on appellera les carolingiens est le haut fait militaire par excellence remporté par Charles Martel, maire du Palais : la victoire de Poitiers (fin de l’été 732) qui porte un coup d’arrêt définitif au déferlement des Arabes, que l’on appelle « sarrasins », sur l’Europe et leur refoulement vers la péninsule ibérique où les Arabes resteront malgré une lente « Reconquista » jusqu’en 1492 (siège

original perdu. Peut-on le dater ? 1568 ; présence des armées de Condé dans la ville pendant tout l’hiver ; le duc d’Anjou, frère du roi et chef de l’armée catholique, arrivé sous les murs de Loudun après la prise de Mirebeau, s’est retiré sans livrer bataille à cause de la rigueur de l’hiver et du verglas qui empêchait tout mouvement des hommes et des chevaux (histoire des chevaux et du puits des Leproust) ; nombreuses dégradations volontaires et involontaires causées par les soldats, notamment incendie

Gratien . Il y a une bataille en particulier qui marque les esprits : la bataille d’Andrinople qui oppose les Ostrogoths aux Wisigoths . Ce sera un désastre pour l’armée romaine et Valens meurt. Ammien Marcellin  écrit : «  et il établit qu’à peine le tiers de l’armée en réchappa  ». La bataille est à l’origine du déclin de l’empire romain d’occident. Cette bataille est révélatrice des tensions entre

l'estuaire de la Mersey (Danelaw). Le roi Alfred le Grand (871-899) parvient à les arrêter (bataille d'Edington, 878, prise de Londres, 885), mais doit leur reconnaître la domination du Danelaw (partie de l'Angleterre au Nord d'une ligne qui va de Londres à Chester). La reconquête est achevée (917-927) par son fils Édouard l'Ancien et par son petit-fils Athelstan, qui remporte ensuite en 937 une importante victoire (bataille de Brunanburh) contre les Écossais et les Danois de Dublin. Leurs successeurs doivent

Constable, . Ses promenades dans les galeries, visites dans les théâtres et l'observation de la culture anglaise en général produiront une impression durable sur lui.Entre 1827 et 1832, il abordera les thèmes historiques et peindra "La bataille de Nancy" et "La bataille de Poitiers". Il est chargé par le ministre de l'intérieur de peindre "La Mort de Charles le Téméraire", et le duc Louis-Philippe d'Orléans lui commande" Richelieu disant la messe". Le poète Lord Byron lui inspirera " la mort de Sardanapale"

l'estuaire de la Mersey (Danelaw). Le roi Alfred le Grand (871-899) parvient à les arrêter (bataille d'Edington, 878, prise de Londres, 885), mais doit leur reconnaître la domination du Danelaw (partie de l'Angleterre au Nord d'une ligne qui va de Londres à Chester). La reconquête est achevée (917-927) par son fils Édouard l'Ancien et par son petit-fils Athelstan, qui remporte ensuite en 937 une importante victoire (bataille de Brunanburh) contre les Écossais et les Danois de Dublin. Leurs successeurs doivent

Constantin Ier qui revendique le pourvoir en 306 et meurt en 337. Constantin est attiré par les religions orientale mais pas beaucoup au christianisme. Pour arriver au pouvoir il s’appuis sur la faction chrétienne. Or en 312, il remporte une grande bataille non loin de Rome face à un ennemi pour le siège de Rome à Pont Milvius. En 313, il décide de donner la liberté de culte aux chrétiens : Edit de Milan de 313. Les empereurs ne résident plus à Rome, plus souvent à Milan d’où le nom de l’Edit, on l’appelle

(« la Croix et le Croissant ») et des croyances politiques les plus profondes des musulmans. En effet, le christianisme a fait de la croix le symbole du pouvoir politique christianisé. En montrant la croix élevée dans le ciel lors de la bataille du pont Milvius, et manifestée à l’empereur Constantin, le christianisme montre un Jésus politiquement triomphant, tout à fait contraire à l’image du Jésus humble et éloigné de toute ambition politique que montrent le Coran, comme aussi les évangiles

de l’écriture. -1750 : mort d’Hammourabi, roi de Babylonie, fondateur du premier Code de lois. -1348 : Akhénaton instaure la première religion monothéiste et voue un culte à Aton. -1300 : les Hébreux fuient l’Egypte sous l’égide de Moïse. -1274 : bataille de Qadesh opposant les troupes de Ramsès II aux Hittites, ayant conduit à la conclusion du premier de traité de paix. -1220 : prise de Jéricho, les Hébreux sont en terre promise. -933 : mort du Roi Salomon. -932 : le schisme entre les royaumes d’Israël