Base De Segmentation Toyota

ainsi, une mise en application du cours « Stratégies d’entreprises ». OBJECTIFS SPECIFIQUES :  Découvrir les différentes stratégies possibles des entreprises ;  Comprendre le comportement concurrentiel des entreprises ;  Acquérir les notions de base et l’esprit de l’analyse stratégique ;  Acquérir les notions rattachées à la prise de décision stratégique ;  Apprendre à analyser un article de la presse économique ; CONTENU :  Etudes de cas :  Cas Google  Cas Boitier Pharma  Commentaires

CA de Wal-Mart CA des 2ières entreprises mondiales > PIB du continent africain. FTN = 90% commerce mondial. 20ières entreprises mondiales : Wal-Mart : 287,9 Mds $ (distributeurs) 2006 : Wal-Mart BP Exxon Mobil Shell General motors Daimler-Chrysler Toyota Ford General Electric Total … Entre 2002 et 2006: arrive des pétroliers: guerre en Irak, augmentation du prix du pétrole. Evolution avec la crise conjoncturelle (subprimes) et structurelle (pétrole) ? Raisons de l’internationalisation : Motivations

tout le système productif de A à Z. La rupture la plus radicale ne se produit pas en Europe. La solution s’imposant à partir des 70’s, 80’s est celle expérimentée depuis 50 ‘s chez TOYOTA qui fût conceptualisée par ISHIKAWA, mise en pratique par TAÏCHI OHNO = TOYOTISME = ohnisme (du nom de Taïchi Ohno : Le système Toyota). Le TOYOTISME = une optimisation du fordisme = application au Japon des contraintes du Fordisme. Cela induit un certain nombre de bouleversements, mais cela n’induit pas un gros changement

est apparue aux Etats-Unis sous le terme générique de reengineering. 1993 et 1994 se sont avérées être, aux Etats Unis, les années du Business Process Reengineering (BPR). Les américains ont été ainsi très actifs à remettre en cause les concepts de base de leurs organisations. Quelques années plus tard la vague atteignait l'Europe occidentale, et donc la France, où le terme de reconfiguration des entreprises a été proposé. A cette époque deux points de vue sur le BPR s’opposaient. Le point de vue

CAS BRASSERIES DUNHORT Segmentation Marketing Segmentation Stratégique Adrien Lesage Vincent Yaouanc Cédric Sautet Mercredi 30 avril 2008 ➢ Analyse de l’activité de l’entreprise Dunhort SA p. 3-10 • La bière en France p. 3 • Le marché de la bière p. 3-4 • La distribution p. 4 • Activités de

futurs, tels que la gestion par les objectifs ; est particulièrement confronté à cette turbulence de l’environnement. En effet, le contrôle de gestion n’a cessé d’être remis en cause. Il est passé de la rationalisation des opérations de production de base à une fonction tactique de pilotage afin de suivre les changements économiques auxquels sont confrontées les entreprises. Ces changements ont permis au contrôle de gestion de mettre en œuvre des outils de contrôle et de s’y appuyer sur pour mieux

globaux mais on va essayer de les distinguer :  Concept de segmentation stratégique : méthode qui se centre sur la demande globale adressée à l’organisation. On divise cette demande globale en sous ensemble homogène que l’on appelle segments. Un segment est défini par les catégories sociaux-professionnelles, par le niveau de revenu, par un ensemble d’habitude de consommation, par la localisation des consommateurs.  Segmentation stratégique : (concerne la demande) méthode qui analyse la demande

16 c) Le luxe accessible 16 B) Marketing du luxe 16 a) Le marketing intuitif (luxe inaccessible) 16 b) Le Marketing élaboré (luxe intermédiaire) 17 c) Le Marketing scientifique (luxe accessible) 18 I. LVMH 19 A) Histoire 19 B) Segmentation stratégique 20 a) Vins et Spiritueux  20 b) Mode et Maroquinerie 21 c) Parfums et Cosmétiques 21 d) Montres et Joaillerie 21 e) Distribution sélective 21 C)Les FCS (Facteurs Clés du Succès) 22 Les F.C.S liés à l’image, la notoriété et l’implantation

précise, comme la cible de la communication (sexe, âge, catégorie socioprofessionnelle, localisation géographique, etc.), l’objectif à atteindre (par exemple, augmenter la notoriété de l’annonceur, améliorer l’image, accroître les ventes), la promesse de base faite à la cible (arguments de vente), les caractéristiques du produit (caractéristiques qui justifient les arguments de vente), le ton de la publicité (explicatif, démonstratif, humoristique, etc.) et les contraintes d’ordre technique, légal, économique

pour Peugeot dynamisme, esthétique et valeur sûre. Puis le plan des produits, la base de la pyramide est celui des positionnements des modèles dans leurs sous-marchés, chaque modèle étant la concrétisation des valeurs de la marque. Enfin, le plan de l’expérientiel, du vécu, du sensoriel. Le problème est que les consommateurs regardent la pyramide d’en bas. Ils partent du réel, du tangible, de l’expérientiel. Plus la base est large, plus l’incertitude croît quant au fait que toutes ces voitures émanent