Basalte

l’ouverture d’un rift continental . • 2) suivie de l’ouverture et de l’expansion d’un océan La présence de lambeaux de lithosphère océanique appelés ophiolites constitués de péridotites altérés (serpentinisées) de gabbros (feldspath et pyroxène) et de basaltes (même minéraux mais roche microlitique car refroidissement rapide) et roches sédimentaires typiquement océaniques montre que la divergence s’est poursuivie avec l’ouverture d’un océan (passage rift continental rift océanique). Cet océan a même connu

5 m1 Massif Kīlauea (Hawaï) Coordonnées 19° 22′ 16″ Nord 155° 12′ 19″ Ouest 1 Administration Pays Drapeau des États-Unis États-Unis État Hawaï Comté Hawaï Ascension Voie la plus facile Napau Crater Trail Géologie Âge ≈ 500 ans Roches Basalte Type Volcan rouge Activité Endormi Dernière éruption Inconnue Code 1302-01- Observatoire Observatoire volcanologique d'Hawaï Géolocalisation sur la carte : États-Unis (Voir situation sur carte : États-Unis) Puʻu Huluhulu (Voir situation sur

: (TP12) - Confirmation de l’évolution de l’épaisseur des sédiments qui augmente lorsqu’on séloigne de la dorsale - Construction de la carte de répartition des plus vieux sédiments en contact avec le basalte de la croûte océanique : datation des basaltes : confirmation de l’âge des basaltes augmente lorsqu’on s’éloigne de la dorsale calcul des vitesses de mouvement des plaques : confirmation des vitesses prévues à partir des données sur le paléomagnétisme et le volcanisme intra-plaque (points

profil topographique / dorsale atlantique – rift médian /1,5 2. T :litho océanique / faille Vema ou colonne – sédiments / basaltes en coussins / gabbros / péridotites /2,5 3. T : lame mince / gabbro / LPA – Feldspath plagioclase / pyroxène /2,5 4. T : (lame mince) / granite / (LPA) – Micas / Quartz / (Feldspath plagioclase) /1,5 5. T : (lame mince) / basalte / (LPA) – Olivine / pyroxène / (Feldspath plagioclase) /1,5 6. T : flux géothermique / dorsale – zones chaudes = dorsales

forme la serpentine dans les péridotites. b.​Préciser s'il existait une épaisse couche de basalte et de gabbro sur cette péridotite. Pourquoi ? Objectifs: Observer et comprendre une transformation minéralogique. Réponses attendues: a. Le refroidissement, associé à la présence d'eau, permet le franchissement de la courbe d'équilibre et donc l'apparition de serpentine. b. Si une épaisse couche de basalte et de gabbro avait été présente, alors l'eau n'aurait pas pu atteindre la péridotite: elle

sont un ensemble de roches appartenant à une portion de lithosphère océanique, charriée sur un continent lors d’un phénomène de convergence de deux plaques lithosphériques par obduction. Elles (ex : les ophiolites du Chenaillet) sont constituées de basaltes en coussins, de gabbros et de péridotites altérées (serpentines). Ces roches se sont mises en place lors de l’expansion océanique de l’océan alpin du Jurassique moyen au Crétacé. Certaines ophiolites contiennent des minéraux hydroxylés, témoins d’une

une roche particulière, composée presqu'exclusivement d'olivine, avec un peu de pyroxènes, une roche très peu abondante à la surface même de la terre, la péridotite. Cette dernière constitue principalement le manteau. L'assemblage mafique donne des basaltes ou des gabbros, des roches qui sont riches en pyroxènes et en feldspaths plagioclases calciques, avec possiblement une petite quantité d'olivine ou d'amphiboles. L'assemblage intermédiaire constitue les andésites et les diorites. Ce sont des roches

exemple le basalte - Le magma peut remonter légèrement et rester dans son lieu d'origine. C'est-à-dire que le magma arrête son ascension pour rester à l'intérieur sans atteindre la surface. On dit qu'il y a intrusion. Le refroidissement est plus lent et la roche qui se forme est appelée : plutonite exemple : le granite. Ces 2 modes de formation des roches magmatiques avec un magma de composition granitique ou basaltique expliquent dans une certaine mesure que le granite et le basalte soient de loin

vitesse réelle doit en pratique avoir peu changée. * Revenons à la représentation graphique initialement demandée. Nous mesurons la hauteur des colonnes stratigraphiques et recherchons l’âge correspondant au plus ancien dépôt, celui au contact du basalte (NB. les méthodes de datation seront vues en TS). En appliquant un produit en croix (règle de trois, ou règle de proportionnalité) à l’aide des repères d’âge dont on dispose, on détermine l’âge pour chaque colonne : p ex pour la première colonne située

définit alors : • Des anomalies positives : champ réel supérieur au champ théorique (en noir). Une anomalie positive signifie que le basalte a fossilisé un champ de même sens que le champ actuel donc l’aimantation rémanente s’ajoute au champ actuel • Des anomalies négatives : champ réel inférieur au champ théorique (en blanc). Une anomalie négative signifie que le basalte a fossilisé un champ magnétique de sens inverse de celui du champ actuel donc l’aimantation rémanente se soustrait au champ actuel