Barrage Contre Le Pacifique Mort De La Mère

Marguerite Duras, /Marguerite Donnadieu/ est née le 4 avril 1914 à Gia Dinh, une ville de la banlieue Nord de Saïgon. A l'âge de 5 ans la jeune Marguerite vit toujours à Saïgon lorsque son père Emile meurt, en France. Deux ans plus tard, en 1923, sa mère s'installe avec ses trois enfants dans une ville située dans le delta du Mékong. Marguerite Donnadieu passe toute son enfance au Viet-Nam. En 1932, alors qu'elle vient d'obtenir son baccalauréat, elle quitte Saïgon et vient s'installer en France pour

Hyperboles, termes superlatifs, procédés d’insistance, expression de haut degré. Caractère absolu du vocabulaire (« beauté, beau, beauté parfaite »...) b. Un portrait physique et moral Portrait moral : L’éducation est dispensée par une mère parfaite : « le bien, la vertu et le mérite étaient extraordinaires ». C’est une énumération hyperbolique qui renforce la perfection. 4 qualités : esprit, beauté, vertu et amabilité. Qualités indispensables à l’honnête femme du 17eme. Commenter

Biographie de Marguerite Duras (1914-1996) 1914 Naissance de Marguerite Donnadieu à Gia Dinh en Indochine. Son père est professeur de mathématiques, et sa mère institutrice. Marguerite a deux frères plus âgés qu’elle. 1918 Mort du père 1921 Retour en France 1922 Retour en Indochine. Elle vit à Phnom-Penh, Vinh-Long, Sadec. Sa mère achète une concession incultivable à Prey-Nop (Cambodge). 1930 Saigon. Loge à la pension Lyautey. Etudes secondaires au lycée Chasseloup-Laubat. 1932-1933

1957 sa mère meurt. Duras se sépare de son mari et débute une collaboration et une relation passionnée avec le journaliste Gérard Jarlot. L’année suivante, pour la première fois, une adaptation passe au cinéma. (« Un barrage contre le Pacifique ») En 59 Duras écrit le sénario et les dialogues d’ « Hiroshima mon amour ». Il est projeté à l’occasion du festival de Cannes et a beaucoup de succès. De 1960 à 1967 Duras fait partie du jury Médicis. Toujours politiquement active, elle se bat contre la guerre

l'œuvre romanesque de Marguerite Duras. On sait bien que sa création romanesque peut être divisée en deux périodes. La première (1943—1953) comporte cinq œuvres de facture traditionnelle: Les Impudents (1943), La Vie tranquille (1944), Un Barrage contre le Pacifique (1950), Le Marin de Gibraltar (1952), et Les Petits Chevaux de Tarquinia(1953). A partir de 1953 commence le dépouillement accompagné d'une tendance prononcée à l'ambiguïté. La seconde période, celle des recherches, est inaugurée par Le

du bois : des quais on été construits, des barrages, il y a eu l'installation de services et pour finir des maisons. Le nom de Baie Comeau vient d'Alexandre de Comeau qui était un représentant de la Baie-d'Hudson. Après 1945, une autre ville près de Baie-Comeau a été construite : Hauterive qui est considérée comme une ville jumelle créée sous l'impulsion de l'Église. Il y a ensuite eu les années Léo ou il y eu une révolution économique ; des barrages on été construits, une aluminerie, des silos

travailler dans les colonies françaises. Son  père était directeur d’école et sa mère institutrice. Marguerite et ses deux frères, Pierre et Paul, partent donc avec leurs parents pour l’Indochine. Son père meurt en 1921, la famille rentre en France et vit pendant deux ans dans le Lot-et-Garonne, dans la commune de  Pardaillan, prés de Duras. La mort de son père marque pour elle un tournant important dans sa vie. Selon elle, sa mère ne sera plus jamais la même. Nous pouvons donc supposer que son nom de plume

Marie Donnadieu. Née le 04 avril 1914 à Saïgon, à l'époque l'Indochine française, elle passera là-bas une enfance qui la marquera, entre deux parents dans l'éducation et ses deux frères. Son père mourut alors qu'elle n'avait que sept ans, et sa mère après les avoir menés dans une vie nomade, fut ruinée par une mauvaise acquisition de terrain, et contrainte à reprendre son poste d'institutrice.La jeune Marguerite passe alors son baccalauréat de philosophie pour se rendre ensuite une année en France

( 1 5 10 15 20 )M Lol, frappée d’immobilité, avait regardé s’avancer, comme lui, cette grâce abandonnée, ployante, d’oiseau mort. Elle était maigre. Elle devait l’avoir toujours été. Elle avait vêtu cette maigreur, se rappelait clairement Tatiana, d’une robe noire à double fourreau de tulle également noir, très décolletée. Elle se voulait ainsi faite et vêtue, et elle l’était à son souhait, irrévocablement. L’ossature admirable de son corps et de son visage se devinait. Telle qu’elle apparaissait

mots; ces ellipses; ces répétitions; tout cela créé de la fiction. Personnellement, je ne vois aucun autre auteur capable de faire mieux dans le genre de M. Duras. L’Amant de la Chine du Nord parut en 1991, aux éditions Gallimard, à la suite de la mort du personnage Thanh. M. Duras explique dans sa préface qu’elle avait le choix entre plusieurs titres comme « L’Amant recommencé » ou encore « L’Amour dans la rue » mais elle cibla son choix entre deux titres plus réels, « L’Amant de la Chine du Nord »