Baroquisme Et Classicisme

tragédie. C'est le classicisme qui va revigorer la comédie avec Corneille, puis Molière. Le classicisme va se construire sur l'honnêteté et la moyenneté à la différence, nous le verrons , du baroque. Il touchera ainsi un large public (dont les femmes) et au fur et à mesure, nous pourrons constater une inversion des tendances: la tragédie va convenir de moins en moins au public, ne coïncidant plus avec sa propre époque, public qui lui préfèrera concrètement la comédie. Le Classicisme: Illusion mimétique

acquit les goût pour les discours rhétoriques. Commence par des comédies mais triomphe avec une tragi-comédies, le Cid ( 1637). Médée a été écrit durant la première partie de sa carrière, ou il est encore sous influence baroquisme ( démesure, exubérance, aux antipodes du classicisme). Il montres des héros déchirés entre l'amour et l'honneur, la trahison et la loyauté, la tyrannie et la démocratie. Toute ses pièces sont basés sur le dilemme. Résumé de la pièce + le personnage de Médée : Médée

précède le classicisme. Alejo Carpentier rappelait toutefois en 1981 cet argument d’eugenio d’ors7, selon lequel le baroque peut être perçu de façon plus générale, non pas comme une période littéraire, mais comme une « pulsion créatrice qui revient de manière cyclique à travers l’histoire dans toutes ses manifestations artistiques ». Par ailleurs, il affirmait que l’Amérique latine est la terre d’élection du baroque parce que « toute symbiose, tout métissage, engendre un baroquisme » : Le baroquisme

goût. » A la fin du siècle, l’Histoire de la littérature française (1894) de Gustave Lanson reflète encore les réactions du goût classique devant les auteurs qu'on appellera plus tard les Baroques : entre Malherbe et les premiers « ouvriers du classicisme » (Guy de Balzac, Descartes et Chapelain), un petit chapitre groupe sous le titre ingrat d’« Attardés et égarés » tous les réfractaires au « génie raisonnable et éloquent du XVIIe siècle ». Ainsi la poésie d’Agrippa d’Aubigné n’a « ni goût

est due à la modernité du recueil, à son caractère prophétique. Or, si Baudelaire est considéré comme le premier des modernes, il est aussi le dernier des classiques. Les Fleurs du Mal, si originales soient-elles, doivent en effet beaucoup au classicisme, qui se lit d'abord dans le choix de l'alexandrin et du sonnet. Baudelaire est donc un auteur charnière, partagé entre passé et avenir ; cette ambivalence est perceptible dans l'usage qu'il fait des figures mythologiques et littéraires mais aussi

|1 | |PRÉSENTATION | Afficher cette section au format imprimable classicisme (littérature), courant esthétique regroupant l’ensemble des ouvrages qui prennent comme référence les chefs-d’œuvre de l’Antiquité gréco-latine, et qui se caractérisent notamment par un goût de la codification, esthétique ou morale, dans un contexte d’ordre et d’harmonie. Le terme a une définition esthétique

Siècle de Louis  XIV  , voit entre ces deux sommets que sont le siècle des Médicis et celui du Roi-Soleil, un creux de civilisation qu’aucune langue ne trouve utile de nommer. Cette image en creux est renforcée au XXe  siècle par tous les tenants du classicisme, et par des auteurs qui réagissent idéologiquement, ou associent le baroque à des périodes de déclin qui valent pour un pays ou une région, mais ne sont pas généralisables à l’ensemble de l’Europe: ce fut le cas pour Benedetto  Croce (1866-1952)

contemporain sont définitives. Mais la première période (1690-1715) ne retient des romans du siècle précédent que le ton et le style. Le roman de la période classique fournit des moyens d'expression à un baroque ressuscité: tout en retenant les leçons du classicisme (mise en garde contre l'emphase, exigence de vraisemblance), l'on recommence à recourir à l'exotisme et à l'aventure. Ces penchants se rencontrent avec la curiosité nouvelle pour le pittoresque social, les traits de moeurs et de caractères hardis

subjectif de l’artiste. Conclusion : L’art de la renaissance renoue avec l’Antiquité (attrait pour l’humain, imitation de la nature , recherche de l’esthétique) L’art de la Renaissance annonce déjà, par certains aspects : Le baroquisme (vie et mouvement des corps) Le classicisme (retour à l’Antiquité) Le réalisme (imitation du réel, proportions, perspectives… ) Rem : Au M-A, les œuvres sont beaucoup plus statiques et figées, et n’attribuaient que très peu d’intérêts aux corps humains, car les

Le terme baroque désigne une forme d'art, née en Italie, qui s'épanouit entre la fin de la Renaissance et le retour au classicisme. Dominant l'art et l'architecture de l'Europe au XVIIe s. et dans la première moitié du XVIIIe s., son influence se poursuit en Amérique latine jusqu'à l'aube du XIXe s. Le baroque propose un style à la fois très structuré (il joue abondamment de la symétrie) et très dynamique (il insère ses formes dans un puissant mouvement de volutes et de spirales). – ARCHITECTUREEn