Barbara

dessinateur Reinhard Beuthin créé pour une bande-dessinée dans le magazine allemand Bild Zeitung une poupée : la Bild Lilli. Quatre ans plus tard, l'entreprise Hauser commercialise la poupée3. Lors d'un voyage en famille à Lucerne en Suisse en 1956, Barbara, la fille de Elliot et Ruth Handler, réclama à ses parents un jouet peu commun pour l'époque : une poupée mannequin du nom de Lilli. Ce jouet au regard taquin et à forte poitrine intrigua Ruth Handler, mais, ce n’est seulement qu’en observant sa fille

Le monde ne suffit pas Un beau jour de septembre, Taylor, Barbara et leurs deux enfants partirent deux semaines en vacances dans le sud de la France. Ils étaient américains et venaient de Chicago, dans l’Illinois. Ils n’aimaient pas l’Amérique pour une infinité de raisons : pour des raisons médicales ; ils voulaient s’installer en France car les frais d’hospitalisation étaient couverts par l’assurance. Puis Taylor s’éloignait aussi pour des raisons financières ; il était recherché par la mafia

au long du recueil, leur tailles variant d’une ligne (« Les paris stupides ») à quelques pages en passant par des poèmes courts (« Alicante »-6vers, « Le cancre »-17vers). On retrouve aussi des poèmes plus ou moins longs, de une ou deux pages (« Barbara ») Certains poèmes sont tendres, d'autres violents et dénonciateurs. Certains sont inspirés par l'actualité politique de l'époque, d'autres par un sentiment personnel. La taille des poèmes est donc variée mais la forme aussi. Paroles offre une très

reçu le Grand prix de littérature policière en 1980. 1) Personnage : - August Rommel Taggert (Arty) : meurtrier en série, il a tué cinq femmes à intervalles plus ou moins réguliers: Nina Peterson, Mme. Weiss, Jean Carfolli, Mme. Ambrose et Barbara Callahan. Il n’aime pas le sang. Il étrangle ses victimes avec leur écharpe ou ceinture (des femmes en difficulté sur l’autoroute). Il est certain que les femmes le désirent et dès qu’elles le repoussent, il devient violent. Il entend parler, grâce

J'ai compris. La prochaine fois, je vérifierai. L'employée : Eh bien, tant mieux ! 4.2 Au rayon photo Barbara : Bonjour, j'ai laissé un film à développer la semaine dernière Je crois que ça doit être prêt. L'employé : Euh... normalement, oui. Mais il y a eu des retards à cause d'une grève au laboratoire. Euh... je vais quand même regarder. C'est à quel nom ? Barbara : Gambert, Barbara. C'étaient des diapos. L'employé : Voyons. Mmm... Ah ! Voilà. Vous avez de la chance. Elles sont là.

homme peut se marier avec jusqu’à quatre femmes seulement s’il les traite également. Une anthropologue sociale, Barbara Harrell-Bond, a fait des recherches sur la famille et de l’état légal des femmes au Grande Bretagne et en Afrique d’ouest. Elle a fait une entretien avec Mariama Bâ qui a été publié dans « The African book publishing record.» Dans l’interview, Mariama Bâ dit à Barbara Harrell-Bond qu’elle ne pense pas que les maris puissent être fidèles sexuellement à leurs femmes. Elle dit, «

s’opèrent en Romuald, sans que ce dernier ne lui en parle, et leur attribue immédiatement une origine diabolique. Il apparait aux moments-clés du récit pour exhorter son jeune ami à lutter contre Clarimonde. C’est lui qui dénoue la situation. Barbara : Barbara est la vieille gouvernante qui s’occupe de la maison de Romuald. Les courts passages du récit où elle apparait la montrent dévouée à son maitre. Les messagers de Clarimonde : Le page noir « bizarrement vêtu » qui transmet à Romuald le nom

révolutionné les mentalités en affirmant au sein d’un monde antique pénétré par l’idée d’infériorité de la femme, l’égale dignité des deux sexes aux yeux de Dieu. ANNEXES -------------------------------------------- [ 1 ]. SICHTERMANN, Barbara. « Jeanne d’Arc », Femmes : les femmes les plus célèbres de notre histoire, Paris, Éditions La Martinière, vol. 1, p. 62-67. [ 2 ]. HANNE, Olivier. Jeanne d'Arc: le glaive et l'étendard, [s.l.], Bernard Giovanangeli Éditeur, 2007, p. 13 [ 3 ]. HANNE

Paroles, « Barbara » Barbara Rappelle-toi Barbara Il pleuvait sans cesse sur Brest ce jour-là Et tu marchais souriante Épanouie ravie ruisselante Sous la pluie Rappelle-toi Barbara Il pleuvait sans cesse sur Brest Et je t'ai croisée rue de Siam Tu souriais Et moi je souriais de même Rappelle-toi Barbara Toi que je ne connaissais pas Toi qui ne me connaissais pas Rappelle-toi Rappelle-toi quand même ce jour-là N'oublie pas Un homme sous un porche s'abritait Et il a crié ton nom Barbara Et tu as couru

d’un autre tambour. Laissons-le suivre la musique qu’il entend, quelle qu’en soit la cadence » Barbara Wersba, «  Notre petite vie cernée de rêves » Homme ou femme, noir ou blanc, bouddhiste ou catholique, hétéro ou homo, gothique ou « baba-cool » , je m’affirme et alors ? Est-ce une faute de posséder une personnalité, une façon de penser, des valeurs qui diffèrent de celles des autres ? Comme Barbara Wersba, je pense qu’il faut laisser celui ou celle suivre la musique qu’il entend, quelle qu’en