Ballade Paul Claudel

quatre saisons * Neige de Gisèle PRASSINOS * Printemps de Charles D’ORLEAN * L’été de Georges de SCUDÉRY * Chant d’automne de Charles BAUDELAIRE 4 - Les quatre éléments * Chant du vent de TALIESIN (l’air) * Pour vivre ici de Paul ELUARD (le feu). * Unité de Victor HUGO (la terre). * La source d’Edmond VANDERCAMMEN (l’eau) La Rose morte Encore une rose de Bohême Fanée à tes doigts, Sans que tu saches que l’on t’aime ; Encore une rose de Bohême Morte pour

caractéristiques du texte poétique (d’où leur dénominations) comme l’emploi des images et la recherche de sonorités ou de rythmes particuliers. Ces vers sont souvent regroupés en strophes et parfois organisés dans des poèmes à forme fixe comme le sonnet ou la ballade. Poésie 3 La poésie métrée utilise des vers définis par le nombre de leurs syllabes comme l’alexandrin français, alors que la poésie scandée joue sur la longueur des pieds (et sur leur nombre) comme dans l’hexamètre dactylique grec et latin

Baudelaire, là où il y a corruption et vice. La mort est aussi un sujet rejeté et Baudelaire n'hésite pas à nous montrer les détails morbides : « les intestins coulaient sur les cuisses » dans « Un voyage à Cythère »; comme lefait François Villon dans « Ballade des pendus » où il nous révèle des corps « desséchés et noircis » et des os qui ne sont plus que « cendre et poudre ». Sans oublier les monstres, qui représentent l'horreur, qui incarnent le dégoût et la laideur. Pour Victor Hugo « le crabe hideux

“Elégie à Pablo Neruda”, ou des “voeu[x] en révolte” selon René Char. Le “dehors” peut s’apparenter au nazisme, à la guerre, à la torture, à la cruauté du monde extérieur. La voix poétique, la “voix qui monte des fers” comme l’écrit Aragon dans “La ballade de celui qui chanta sous les supplices”, s’élève et prend à partie cette insupportable et inadmissible ignominie. C’est un cri poussé, c’est une insurrection permanente contre l’horreur, mais aussi contre “les ennuis et les vastes chagrins / qui chargent

d'Aurevilly : La Haine du Soleil (extrait de "Poussières", 1808-1889) Jean Rameau : Prière au Soleil (dans La Chanson des Etoiles, 1888) Konstantin Balmont : Soyons comme le soleil (trad. I.Astrow, dans Poésie Russe, La Découverte/Maspéro, 1983 Paul Valéry : Ébauche d'un serpent (extrait, 1921) Alfred Jarry : Du soleil, solide froid (Gestes et opinions du docteur Faustroll, pataphysicien, Fasquelle, 1911) Raymond Queneau : Le soleil (extrait de Petite Cosmogonie Portative, Gallimard, 1950)

Verlaine Paul ------------------------------------------------- Haut du formulaire Paul-Marie Verlaine. Poète français, né à Metz le 30 mars 1844, mort à Paris le 8 janvier 1896. "D’une famille originaire des Ardennes, fils d’un soldat de Napoléon devenu capitaine du génie, il vint à sept ans à Paris où il fit ses études. En 1862, il entra à la compagnie d’assurances L’Aigle, puis à l’Hôtel de ville comme expéditionnaire. Mais bientôt la vocation poétique s’éveilla en lui; il commença à fréquenter

écrivains adeptes de la folie et de la dérision. Lugné-Poe : Aurélien-François-Marie Lugné-Poë entre au Conservatoire de Paris à 19 ans, puis intègre successivement la troupe du Théâtre-Libre d'André Antoine et celle du théâtre d'Art fondé par Paul Fort en 1887. En 1886, il fonde avec Georges Bourdon, journaliste au Figaro, un groupe de comédiens amateurs qui ambitionnent de jouer des auteurs contemporains, Le Cercle des Escholiers. En mars 1893, il crée avec Camille Mauclair et Édouard Vuillard

caractéristiques du texte poétique (d’où leur dénominations) comme l’emploi des images et la recherche de sonorités ou de rythmes particuliers. Ces vers sont souvent regroupés en strophes et parfois organisés dans des poèmes à forme fixe comme le sonnet ou la ballade. La poésie métrée utilise des vers définis par le nombre de leurs syllabes comme l’alexandrin français, alors que la poésie scandée joue sur la longueur des pieds (et sur leur nombre) comme dans l’hexamètre dactylique grec et latin, ou sur la place

2.1 La poésie du XXe siècle 2 Panorama de la littérature française du XXe siècle 3 (Charmes, 1922), ou encore de la libération des thèmes nouveaux comme l'humilité du quotidien avec Francis Jammes (Les Géorgiques chrétiennes, 1912) ou Paul Fort (Ballades françaises, 1922-1951) et l'ouverture au monde Le XXe siècle est marqué par une remise en question moderne avec Émile Verhaeren (Les villes tentaculaires, progressive des genres littéraires : si la narration devient 1895 – Toute la Flandre,

ils reflètent certes tous deux un esprit « classique » propre à la NRF de l’époque, mais ils ont tous deux accompagné pour ainsi dire cette évolution : rencontre avec Verlaine, fréquentation des mardis de la rue de Rome chez Mallarmé, amitié avec Claudel, ils ont aussi assisté à la naissance du surréalisme d’un œil bienveillant. C’est donc à bon droit qu’ils peuvent nous servir de guides. Tous deux défendent la nécessité des règles et des formes traditionnelles, mais Gide semble mieux comprendre que