Bagne

terminer la vie d’un individu sous forme de spectacle. Ainsi, ce roman de Victor Hugo veut dénoncer la peine de mort mais plus vaguement, la violence envers les autres. Lorsque le condamné « a eu l’occasion d’assister au ferrage et au départ pour le bagne des forçats2», il découvre de ses propres yeux que ces galériens sont soumis à une grande humiliation et différentes formes de violence. Les préparatifs pour aller à Toulon terminés, l’humiliation commence avec l’enfilement des chaînes. Chacun des

Claire : Mais pourquoi es tu morte, nous avions une belle vie au coté de Madame. Claire ne m’abandonne pas, reste avec moi. Monsieur : C’est trop tard pour elle mais toi tu n’étais pas au courant pour la lettre écrite par ta sœur pour m’envoyer au bagne ? Solange : Non Monsieur je n’ai jamais ouïe dire d’une lettre destinée à vous faire emprisonner. Madame : Ne me mentez pas Solange je sais que vous avez toujours été la complice de votre sœur. Solange : Je vous aime trop pour vous trahir Madame

qui déterminera la voie qu'il prendra, Mgr. Myriel. Subitement il fut ravagé par sa conscience, on assiste à un changement de personnage radical passant de celui qui voulait se venger de cette société injuste qui lui a prit dix-neuf ans de sa vie au bagne à un homme bon et honnête qui ne veut que le bien et la justice. Jean Valjean est passé du bon côté et y restera mais ce n'est pas pour autant qu'il n'évolue plus. En effet il continue son ascension vers le bien, il cherche toujours à mener les

parisienne. P..216 (8).M. Poiret et Mlle Michonneau découvrent par un responsable de la police la véritable identité de Vautrin : c'est un forçat évadé du bagne de Toulon. Mlle Michonneau doit lui administrer contre récompense un somnifère pour vérifier s'il a bien un tatouage à l'épaule. Elle acquiert la certitude que Vautrin est le forçat évadé du bagne et le fait arrêter. Le même jour, un complice de Vautrin tue le frère de Victorine Taillefer et les pensionnaires quittent les uns après les autres la

Goriot les soucis de sa fille ce qui le rend très triste. Rastignac prend gout aux soirées mais n’y gagne plus d’argent. Au jardin M. Poirer et Mlle Michonneau rencontre un policier qui leur apprend que Mr Vautrin est un forçat qui s'est évadé du bagne de Toulon. Celui-ci tue Victorine et se fait arrêté. Le Père Goriot, qui croyait pouvoir quitter la pension avec Rastignac pour vivre auprès de sa fille Delphine, car celui-ci a loué un appartement pour sa fille et Rastignac, ainsi qu’une chambre de

jeune enfant de quelques dizaines d'années profitait de l'agitation générale de la fin du marché pour dérober quelques vivres. Cette image,l'attrista, et le renvoya quelques années en arrières. Plus particulièrement l'année où il avait été condamné au bagne pour avoir volé un misérable pain. Puis le visage de Monseigneur Bienvenu lui apparut à l'esprit. Nette, dressée dans son esprit comme un portrait minutieusement détaillé. Jean Valgean se sentit envahie d'un sentiment étrange. C'est comme si il revivait

montre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l’ombre » (l.8) et à un être vivant : « qui donne, en somme, une âme à la machine « (l.27/28) contribuent à l’éloquence du discours argumentatif, et donc à sa persuasion. La gradation : « prison (l.6) - bagne (l.9) - enfer (l.9) », est une figure de style qui favorise aussi cette manière de s’exprimer avec aisance. L’adverbe « sous » est souvent employé : « sous les meubles » (l.4), « sous les dents » (l.7) pour appuyer sur le fait que les enfants sont

elle l'envoie aux galères pour dix ans. Autrefois, elle le pendait. Plus tard, elle le marquait au fer rouge. Maintenant les mœurs sont douces ; les lois sont bonnes personnes. La casaque, le bonnet vert et la chaîne aux pieds suffisent. Dix ans de bagne, donc, à ce voleur. Cet autre est riche et vole les pauvres. C'est un gros marchand. Il a maison en ville et maison de campagne. Il va le dimanche en cabriolet ou en tapissière, avec force amis roses, gras et joyeux, s'ébattre dans son jardin de

questions sur la justice. "je suis le seul qui voie clair ici" jean valjean montre qu'à part lui, personne n'est au courant de la vérité, les juges prennent une décision sans avoir des preuves. Jean V présente également l'injustice qu'il y a au bagne "le bagne m'a changé… je suis devenu méchant". Il prétend que tous les mauvais actes qu'ils a commis n'étaient pas de sa faute, mais de celle du milieu qu'il fréquentait. Il a utilisé une ponctuation variée avec l'emploi fréquent de virgules pour marquer

et l'injustice sociale. Dans le roman, Claude Gueux est un ancien ouvrier condamné à 5 ans de prison pour avoir volé. Comme le dit Victor Hugo en personne, il résulta de ce vol trois jours de pain et de feu pour la femme et l'enfant et cinq ans de bagne pour l'homme. Personnage illettré, il gagne le respect et l'admiration des autres prisonniers par son calme et sa pondération. Sa popularité qu'il aura parmi ses codétenus finira par susciter la jalousie du directeur de l'atelier. Celui-ci va contribuer