Aveu

Tartuffe Oeuvre: -Acte 3, scène 3 -Aveu de Tartuffe pour Elmine Auteur: -Jean Baptiste Poquelin (Molière) (05/01/1622_17/02/1673) -Dramaturge, comédien -Genre comédie, comédie-ballet -Critique courante de l'hypocrisie -Tapissier valet de chambre du roi -Issu d'une riche famille bourgeoise parisienne Intro: -Pièce de 1664 interdite par l'archevèque de Paris -Le Roi autorise une version en 5 actes en 1669 montrant son refus de toute allégeance au parti dévôt -Tartuffe est une

celui d’Hippolyte à Aricie puis enfin l’aveu de Phèdre à Thésée. Après l’annonce de la mort de son époux, Phèdre rencontre Hippolyte pour l’entretenir de problèmes politiques ; malgré elle, un aveu délirant lui échappe (II, 5, vers 639-710), elle affirme son amour envers lui de manière masquée. Son aveu est involontaire, c'est une passion qui la domine et qui est plus forte que son amour maternel .Cette passion de Phèdre constitue l’intrigue principale. Elle qualifie Hippolyte de "cruel" parce qu'elle

moment d'attente au début de la scène fait monter la tension sentimentale.. II)Une scène de révélation Scène d'aveux. A)l'aveu de Dorante aveu divisé en 2... -Aveu de son amour : piège Araminte --> accepte ou refuse, pas d'alternative possible ; dit la vérité parce qu'il sait qu'elle l'aime. Périphrases pour avouer son amour --> pas d'action formelle. -aveu du stratagème : évacue sa culpabilité ; l'a reporte sur Dubois ; rétablit vérité. Tire avantage, avoue ses ruses à l'h du triomphe--> moment

d’elle-même : « Et voilà pourtant ce qui m’arrive ». C’est un constat inattendu. Elle énonce à voix haute ce qui était enfoui au plus profond d’elle-même, à savoir ce désir de céder à l’amour, de laisser s’exprimer cet aveu très inconvenant selon les critères de l’époque. C’est un aveu spontané, énoncé sans vraiment réfléchir. la didascalie « d’un ton vif et naïf » souligne que ces mots ont jailli sans qu’elle y prenne garde. Sans que l’éducation ou ce qu’elle se doit à elle-même intervienne. Elle ne

supplications d’Oenone, elle reporte deux fois la responsabilité sur elle de son aveu au vers 246 : « tu le veux, lève-toi » et au vers 264 : «  c’est toi qu’il l’a nommée. » De plus, la stichomythie des vers 246 à 265 accentue le caractère de combat mené pied à pied par Oenone pour faire céder Phèdre. C’est par le présentatif : « C’est toi qui l’as nommé » que Phèdre ponctue la joute verbale accusant ainsi Oenone de cet aveu. Les motifs de la nourrice semblent être le désir de tout savoir des secrets

et leurs réactions. Nous pouvons alors nous demander en quoi ce second aveu fait de Phèdre une héroïne tragique. Dans un premier temps, nous étudierons l’aveu audacieux de Phèdre avant d’analyser le monstre tragique incarné par Phèdre. Première partie : Phèdre avoue ses sentiments amoureux à Hippolyte dans ce passage, c’est un aveu audacieux, courageux et osé de sa part. En premier lieu, on peut qualifier cet aveu de direct. Dès le début du passage, Phèdre tutoie Hippolyte, ce qui marque

hésite une dernière fois à se '' déclarer. '' Il y a dans cette scène un double malentendu : Dorante croit que Silvia est sensible aux avances de Mario et par conséquent, insensible à son amour. Ce qu’il attend, c’est que Silvia fasse un aveu, une déclaration. Quant à Silvia, elle croit que Dorante n’est pas assez courageux et ne l’aime pas assez pour l’épouser. Ce qu’elle attends de Dorante, c’est qu’il transgresse la loi sociale par amour. Il y a aussi un double jeu de la part des personnages

ci avait prononcer juste son prénom «Malheureuse! Quel nom est sorti de ta bouche!»(206), ce qui à mis le feux au poudre. Mais avant, elle va contenir cet aveu jusqu'à ce qu'elle cède «Je t'en ai dit assez: épargne moi le reste. Je meurs, pour ne point faire un aveu si funeste»(225 à 226). Elle ne sais pas par où commencer pour faire cet aveu qui lui brise le cœur «Ciel! Que vais-je lui dire? Et par où commencer?»(248), et va débuter par lui dire ce qu'elle à fait pour éviter cet amour et pour qu'il

On peut dire qu’elle ne confesse rien. Mais c’était une action courageuse et choquante pour l’époque parce que c’était la première fois qu’une femme avait fait un tel aveu à son mari dans un roman « je vais vous faire un aveu que l’on n’a jamais fait à son mari » (166). C’était un acte où la sincérité triomphait. Mais cet aveu illustre aussi que comme épouse la princesse était égoïste et naïve en même temps. Elle n’a pas pensé aux sentiments de son mari car pour elle ce mariage est simplement un

désespoir et de manque d'assurance et est entièrement soumise à ses sentiments envers Hippolyte. "Elle est perdue dans un cauchemar"1, comme constate Roger Mathé, et c'est pourquoi elle veut mourir. ( Acte 1, scène 3: " Je meurs pour ne point faire un aveu si funeste"). Puis, l'annonce de la mort de son mari Thésée "la ressuscite"2 et nait l'espoir de pouvoir libérer ses pensées et paroles. (Acte 1, Scène 5, Œnone: "Thésée en expirant vient de rompre les nœuds. Hippolyte pour vous devient moins redoutable