Aux yeux du monde

et tous les jours jusqu'à ce qu'on s'en lasse. Ca vous exaspère ? Tant mieux, c'est fait pour. Je suis un petit con, un sale petit con qui se la pète du haut de ses vingt-deux ans et de ses millions. Mon optique ? Emmerder le monde, vous compris. Car emmerder le monde est la solution, la panacée contre l'ennui. Enerver, emmerder, exaspérer les hypocrites, les déclassés, les intolérants, les prétentieux sans raison, les voisins, les bourgeois, les radins, les mythomanes, les incurables médiocres

I)Idéalisation du monde par le personnage a) le portrait idéalisé d'un noble b) le regard fasciné porté sur un monde nouveau c) le souci du paraître II)La triste réalité en contrepoint a) un couple mal assorti b) l'idéalisation d'Emma par Charles c)un dialogue cruel et trivial III)Le regard ironique du narrateur a) un autre point de vue sur le monde (le narrateur déconstruit cette idéalisation) b) la présentation d'une petite provinciale I) Idéalisation du monde par le personnage

Résumé du commentaire composé Commentaire composé sur le poème « O jeunes gens ! Elus ! Fleurs du monde vivant » de Victor Hugo. Cette analyse sur « O jeunes gens ! Elus ! Fleurs du monde vivant» de Victor Hugo a été rédigée par un professeur de français.  Sommaire du commentaire composé 1. Un poème lyrique 1. Le recours à la 1ère personne 2. L'emploi d'un lexique valorisant 3. Les injonctions 2. Un poème satirique 1. Les oppositions 2. Le choix du lexique 3. Le recours à des images Extrait du commentaire

n'y figurait pas, je tacherais de remercier Khalil une fois revue : Eh bien il s'appelait Rami, jolie non, hein? Il faisait da l'acrobatie et je m'émerveillais de ses mouvements spectaculaires et difficile a réaliser, enfin il émerveillait tout le monde, il était plus âgé que moi d'une seule petite année et un peu très expérimenté a mon gout, donc il savait comment............ je vous laisse le loisir de tout imaginer, après tout c'est pour sa que nous lisons: pour imaginer! Après l'été fini

je sors quelques instants… Un massage commence toujours par une sensation de vide avec soi-même, avec ses soucis, avec son présent. Le rituel commence. Elle s’est allongé sur le dos les yeux clos. J’ajuste la couverture blanche que j’ai réchauffé sur son dos. Instant propitiatoire de communion entre le monde des sens, du toucher. Le premier contact est primordial. Instaurer la confiance par le toucher. Elle tressaille un peu. Je vois bien que c’est la première fois qu’elle confie son corps

Nous traiterons donc une question simple : un roman doit-il plutôt ouvrir les yeux du lecteur sur la vie ou au contraire permettre d’échapper à la réalité ? Dans un premier temps, nous aborderons comment le roman peut permettre au lecteur de mieux comprendre le monde qui l’entoure et dans un second temps nous montrerons que le roman peut aussi être une source d’évasion. Selon certains, un roman doit plutôt ouvrir les yeux du lecteur sur la vie. Il est vrai qu’un récit nous racontant des faits fictifs

le lecteur dans un autre monde, puis nous nous intéresserons aux procédés des poètes pour intégrer le lecteur dans un cadre paradisiaque, et enfin nous verrons que la poésie idéalise seulement le quotidien. La poésie a un point de départ dans la réalité. Elle s’en sert pour mieux intégrer les lecteurs dans le récit. La poésie offre un point de vue nouveau sur le quotidien. Les poètes cherchent à idéaliser leur vie de tous les jours, comme un voyage dans un autre monde, mais toujours authentique

impossible d’enfermer la poésie dans une définition unique parce qu’elle prend trop de formes diverses. Pierre Emmanuel : « Chaque poète intègre le monde d’une façon qui n’est qu’à lui » Le poète est un artiste, il a une connaissance plus profonde du monde et des hommes. Il a une mission : dévoiler aux autres un monde extérieur mais surtout un monde intérieur. Le poète a la capacité de créer un nouvel univers en transformant la réalité et il peut s’exprimer dans un langage original. Baudelaire : « Un

ne pourrions rien connaître du monde. Voir se résume-t-il uniquement à la vue à proprement parler? Mais souvent ne sommes nous pas abusés par nos sens, en ayant la sensation que notre vue est erronée? Le savoir peut il s'appuyer sur les apparences ? Le savoir se réduit-il seulement à des expériences vécues ou des connaissances empiriques C'est donc que la vue seule ne nous permet pas de tout "savoir"? Alors, que faut-il lui adjoindre pour acquérir sur le monde qui nous entoure des connaissances

prononcer un mot, le vendeur avait déjà ficelé deux cadres. Mal à l'aise, Tchartkov cherche un tableau à acheter. Il tombe sur une toile représentant un vieillard drapé dans des vêtements de style orientale. Il la trouve très réaliste, notamment les yeux qui paraissent « vivants » (ils brillent). Il décide de l'acheter afin de l'examiner chez lui, il le négocie pour 20 Kopecks mais regrette aussitôt car il se souvient qu'il n'a pas encore payé son loyer et que le propriétaire menace d'appeler la police