Autrui Est Il Un Obstacle A Ma Liberté

très diverses : Il y a d'abord la solitude volontaire et temporaire de celui qui s'isole quelques minutes, voire quelques heures mais en vivant ordinairement avec les autres Il y a ensuite la solitude toujours volontaire mais durable de l'ermite qui s'isole pour de nombreuses années Il y a la solitude involontaire de Robinson qui, à la suite d'un naufrage, se retrouve sur une île déserte pendant 20 années mais après avoir connu l'éducation que procure une existence sociale Il y a la solitude involontaire

MA REFLEXION Mes Frères, nous ne sommes plus dans le monde Profane, nous avons laissé les métaux à la porte du Temple ; élevons nos cœurs en fraternité et que nos regards se tournent vers la Lumière. Malgré ma jeune expérience d’Apprenti, ce texte, m’interpelle à plus d’un titre. D’une part, mon récent souvenir, où à l’occasion de mon initiation, un Frère me demanda de me libérer de tous mes métaux (montre-argent-bague-portable) avant d’entrer dans le Temple, je comprenais, que je devais me

i"Je n’existe que dans la mesure où j’existe pour autrui." Emmanuel Mounier (1905-1950) "L’enfer, c’est les autres" Jean-Paul Sartre (1905-1980) Par cette phrase tirée de sa pièce Huis clos, Sartre signifie que je suis prisonnier du regard des autres. L’enfer signifie que ma liberté est aliénée en ce qu’elle dépend des autres, de leurs opinions et sentiments. Je crois être libre, alors que "les autres", mon entourage, la société, m’enferment dans une image toute faite. L’enfant, déjà,

1. La liberté de penser Qu'est-ce donc que la liberté intérieure ? C'est d'abord la liberté de penser. Je suis parfaitement libre, remarquait Descartes, d'adhérer ou non à une idée. Personne ne peut me forcer à croire ou non une chose, et d'ailleurs personne ne peut même savoir ce que je pense. On peut donc me forcer à agir (par exemple à adopter les signes extérieurs d'une religion qui n'est pas la mienne, ou à abjurer publiquement mon dieu), mais non à penser telle ou telle chose. La liberté

faire obstacle ; celles qui n’en dépendent pas sont faibles, esclaves, dépendantes, sujettes à mille obstacles et à mille inconvénients, et entièrement étrangères. Souviens-toi donc que, si tu crois livres les choses qui de leur nature sont esclaves, et propres à toi celles qui dépendent d’autrui, tu rencontreras à chaque pas des obstacles, tu seras affligé, troublé, et tu te plaindras des dieux et des hommes. Au lieu que si tu crois tien ce qui t’appartient en propre, et étranger ce qui est à autrui

La conscience est-elle une source de liberté ou de contrainte La conscience est-elle une source de liberté ou de contrainte ? « Conscience, conscience… Instinct divin ! », ainsi commence l’une des pages les plus exaltées et sans doute les plus exaltantes de la littérature philosophique. Rousseau s’embrasant littéralement à l’évocation de la conscience en perçoit l’importance dans la vie de l’homme. Elle constitue effectivement le plan le plus central de la constitution d’une identité personnelle

est donc une personne, ou le « Je ». Une personne humaine capable de dire « Je » a une conscience de soi, et est également conscient d’être un acteur. L’enfant acquiert la conscience de lui-même en bas âge. La conscience est une caractéristique essentielle. Il y a la conscience morale et la conscience psychologique. Le mot conscience a deux sens : il désigne notre capacité à juger la valeur morale de nos actes. A) Qu’est-ce que la conscience ? 1) Etymologie Cum Scientia. « J’ai conscience d’être

orientent l’action. La conscience à ici une visée pratique. Conscience immédiate : percevoir = informations reçues des cinq sens => nous la partageons avec les animaux => sensibilité. Conscience réfléchie : propre le l’Homme : faculté qui exerce une activité synthétique. Synthèse = ramener une diversité sous une unité. C’est une faculté qui opère un dédoublement interne entre Je et Tu imaginaire => dialogue intérieur => pensée. La conscience opère une mise à distance entre moi et moi-même,

d'une activité gratifiante ». L'état affectif est ici le genre et agréable la différence spécifique. Si le plaisir est un état affectif, il est subjectif et éprouvé par un sujet, ce n'est pas une proprieté d plaisir a-t-il la même positivité, la même réalité que la douleur ? Epicure a par exemple une conception négative du bonheur (ataraxie), qu'il conçoit comme une absence de troubles. Si seule la douleur est positive, le plaisir serait alors simplement l'état dans lequel on ne souffre pas (ex :

interdisant dans les lieux publics toute forme de voile islamique cachant le visage, ne devrait-elle pas être interdite compte tenu les problèmes touchant a affaires de l’ordre public, a la sécurité et a la protection des personnes ? Affaires du voile islamique Signe ostentatoire religieux Risque de prosélytisme (zélé déployé pour convertir quelqu’un a sa religion) dans les milieux réputés neutres La France est un pays dit intégrationniste dans lequel l’individu est censé adopter les valeurs communes