Autoportrait Michel Leiris

Programme applicable à la rentrée 2001 Ministère de l’Éducation nationale Direction de l’Enseignement scolaire Centre national de documentation pédagogique Maquette de couverture : Catherine Villoutreix Maquette : Fabien Biglione Mise en pages: Michelle Bourgeois © CNDP, 4e trimestre 2001 ISBN : 2-240-00760-5 ISSN : 1624-5393 Imprimé sur les presses de l’Imprimerie nationale, 4e trimestre 2001 Sommaire Avertissement ......................................................................

|- Aragon, « Le Conscrit des cent villages », La Diane |Dissertation : La poésie est-elle faite pour être lue à voix haute ? | |française |Invention : Michel Leiris défend le caractère poétique de son œuvre Langage, | |- Leiris, Langage, tangage ou Ce que les mots me disent|tangage ou Ce que les mots me disent, auprès de son éditeur qui refuse de publier| |HACHETTE Annales Bac 2007 |le manuscrit dans sa collection

qui s'y inscrit horizontalement ? Ces œuvres-là évoquent aussi le choc que reçut le jeune peintre en découvrant les momies guanches de son pays, enveloppées de leurs étoffes grossières et maculées. Elles rappellent, par ailleurs, les œuvres de Michel Nedjar, présentées dans le cadre de l'exposition Absolumental. L'engagement politique n'a pas vocation à flatter l'œil du spectateur. C'est une œuvre abstraite d'une violence pathétique, mais jamais gratuite, qui rejoint dans son intensité les fureurs

que le parcours de Duras est marqué par une tension entre engagement et « désengagement », où l’écriture apparaît comme une alternative, une « voie médiane ». Sonya Florey, quant à elle, propose une lecture de Extension du domaine de la lutte, de Michel Houellebecq, un auteur que d’aucuns qualifieraient, a priori, d’engagé. Toutefois, à en croire Florey, si l’on ne reconnaît pas à cet auteur une voix engagée, c’est que, pour lui, la conception traditionnelle de l’engagement ne tient plus ; la littérature

Transactions.indbDE LA PHOTOLITTÉRATURE Jean-Pierre Montier Les articles que le lecteur trouvera ici exposés à sa sagacité sont le fruit d’un travail qui n’aurait pas tout son sens s’il ne cherchait à innover, et qui ne saurait non plus produire quelque nouveauté sans être lui-même en évolution. C’est pourquoi il faut commencer par situer ces travaux d’une part au regard de la continuité qu’ils assument avec les précédentes recherches, et d’autre part en fonction des innovations qu’ils tentent

temps et de la chronologie (en effet un autoportrait a un ordre thématique et pas chronologique). L’autobiographie présente donc la personnalité comme le résultat d’une évolution, alors que dans l’autoportrait la personnalité et présentée telle qu’elle est au moment de l’écriture. En général un autoportrait commence par un regard au miroir et c’est l’auteur qui fait une description physique de soi même. Un exemple d’autoportrait est L’âge d’homme de Leiris. On pourrait dire que l’autoportrait est

littéraires fut: est ce qu'on peut encore dire quelque chose après ça? Le Nouveau Roman naît, il détruit toutes les caractéristiques qui fondaient le roman: la narration, les personnages, cadre spatiotemporel flou. Sarraute, Robbe-Grillet, Claude Simon et Michel Butter: auteurs du Nouveau Roman. Un contexte marqué par la barbarie nazie. Ils partagent un contexte littéraire marqué par l'influence de Proust et d'autre part par la lecture des anglo-saxons: le stream of consciousness, le flux de conscience

opposé car il était très homosexue l. Même si dire qqch de ridicule => preuve de véracité. « Mettons que c’est par pénitence que je l’écris » => faux s’en balec. Michel Leiris => « De la littérature considérée comme une tauromachie» : postface de 1946 à l’Autobiographie de, L’âge d’Homme . Métaphore du peintre qui doit écrire son auatobiographie

|Alain Robbe-Grillet | |Gérard Bessette |Jean Lagrolet |Nathalie Sarraute | |Michel Butor |Claude Ollier |Claude Simon | |Jean Cayrol |Robert Pinget

| |- Aragon, « Le Conscrit des cent villages », La Diane française |Invention : Michel Leiris défend le caractère poétique de son œuvre Langage, tangage ou Ce que les mots me disent, auprès de son éditeur qui | |- Leiris, Langage, tangage ou Ce que les mots me disent |refuse de publier le manuscrit dans sa collection des « Poètes d’hier et d’aujourd’hui ». Vous rédigerez