Autoportrait En Soldat

contient un autoportrait, Otto DIX se représente en sauveur transportant dans ses bras un soldat blessé. Ce personnage de sauveur se distingue de tous les soldats représentés dans le triptyque : c'est le seul qui fait face au spectateur et qui avance (avec une grande détermination) vers le premier plan, le seul aussi qui possède la capacité de voir (et quelle intensité dans ce regard !) enfin il est également l'unique personnage de cette scène qui ne porte pas l'uniforme complet du soldat : ni casque

artistes sont inspirés par eux-mêmes. En effet, les autoportraits en peinture et en photographie l’illustre bien car le modèle utilisé est l’artiste lui-même. L’autoportait en art est le fait pour un artiste de se représenter lui-même dans différentes mises en oeuvres (seul, accompagné, en action ou immobile…etc). Norman Rockwell, célèbre illustrateur américain du XXe siècle, réalise en 1960 son oeuvre Triple autoportrait à l’occasion de la couverture du magazine américain

d’une fumée, d’un gaz ou d’un brouillard, ce qui donne un aspect inquiétant, tourmenter. Un groupe de soldats de face qui semble revenir du front. Cela donne un aspect fantomatique. Le brouillard rend le front au loin comme une zone sinistre. La forme du casque montre que se sont des soldats allemands. Cette armée humaine de dos est représentée sans visage et sans identité, de plus les soldats sont éclairés par une lumière blanche. Ils ont l’air de remonter au front avec touts leurs équipements

aussi question de souffrance. Retable : dans une église, tableau placé sur un autel et sur lequel sont représentés les épisodes de la vie du Christ et des saints. Description de l’œuvre : une humanité absente. Le panneau de gauche représente des soldats en armes se rendant sur le front. Ils tournent le dos au spectateur formant ainsi une masse sans identité. On voit en arrière plan du panneau central des maisons écroulées ou calcinées, paysage au sein duquel aucune trace de présence humaine

allemand, engagé volontaire au début du conflit de la première guerre mondiale et qui en revient révolté et pacifiste. Cette oeuvre est donc celle d'un homme qui a vécu l'horreur et l'inhumanité de la "Grande Guerre" et qui témoigne de son expérience de soldat en représentant un champ de bataille où la mort et la cruauté règnent en maîtres. Otto DIX réalise La Guerre entre 1929 et 1932 c'est à dire plus de dix ans après l'armistice, à une période où les idées nationalistes trouvent de nouveau une place

il voulait dénoncer l’horreur de la guerre. Sur le panneau de gauche : Sur le volet gauche, une roue apparait au premier plan, tandis que des soldats, au second plan, tournant le dos au spectateur partent au combat. Les lumières rougeoyantes des combats et la fumée qui s’en dégagent présentent la réalité de la guerre. Sur le panneau central :

guerre L’œuvre et l’artiste : La Guerre est une oeuvre d'Otto DIX (1891 à 1969) , peintre allemand, engagé volontaire au début du conflit de la première guerre mondiale et qui en revient révolté et pacifiste. Il témoigne de son ex périence de soldat en représentant un champ de bataille où la mort et la cruauté règnent fortement. Contexte historique : La Guerre a été peinte entre 1929 et 1932. Ce tableau est plus réaliste et encore plus sombre de qu’il y aurait auparavant pu peindre Ce tableau

s’ajoute une prédelle sous le panneau central. Le panneau de gauche représente les soldats allemands allant au front (de dos, pas de visage, avec fusils et paquetage). Au centre : la tranchée pleine de cadavres (charnier). Les chairs et la terre sont mélangés ce qui renforce l’impression d’hommes englués, se confondant avec la boue. On distingue des corps ou membres (jambes avec des pustules) Le seul être vivant est un soldat isolé avec un masque à gaz. On ne voit donc pas son visage, pas de sentiment

d'une substance comme le jaune d'oeuf également souvent utilisée pour les tableaux religieux. Le panneau de gauche, représente les soldats partant au front, on ne peut pas voir leurs visages, on ne peut pas savoir combien de soldats sont présents, ils disparaissent dans la brume. Le panneau central représente une vision d’horreur du champ de bataille. On peut voir des cadavres à peine identifiables

ombre », « sombre ». La lumière est circonscrite à la « lune », une « plaque en métal clair » et à l'œil « de lumière », difficile à apercevoir (« Vois-tu pas son œil de lumière…/ Non ») • Une promenade amoureuse qui dégénère * « Moi, ton soldat fidèle » et les tirets suggèrent un dialogue amoureux. * Une nature froide, peu romantique : la lune semble pâle, les éléments naturels semblent froids : « métal », « pierre ». * Animaux « monstrueux »: le Crapaud qui provoque la répulsion