Autoportrait En Soldat

retable d’Issenheim de Mathias Grünewald (représentant la crucifixion du christ et son horreur).Le choix du triptyque nous informe sur le sens qu’il veut donner à son œuvre. Il veut lui donner un sens religieux. Il donne un sens sacré au sacrifice des soldats pendant la première guerre mondiale. Le tableau « la guerre » a été peint par Otto Dix entre 1929 et 1932. Cette œuvre a été considérée comme dégénérée par les nazis. C’est une peinture réalisée avec la technique de la tempéra, le support est en

campagne, mais, en octobre 1915, une maladie pulmonaire et son état dépressif s'aggravent à tel point qu'il est renvoyé à l'arrière. De retour dans son atelier berlinois, il y peint deux autoportraits, - l'un en alcoolique abattu, - l'autre en soldat. [pic]  Selbstbilnis als Soldat (Autoportrait en soldat), 1915, huile sur toile, 69,2 x 61 cm Analyse de l’œuvre Le peintre occupe le premier plan, tête et poitrine, face à l’observateur. Il porte un calot bleu à fines ganses rouges. Le

Otto Dix : Autoportrait en soldat (1914) : Biographie : Le peintre allemand Otto DIX, né le 2 décembre 1891 et décédé le 25 juillet 1969, reçoit une formation classique aux Arts Déco de Dresde. Influencé par Van Gogh, Die Brücke et les futuristes, il peint de manière violente avec suivant ainsi les préceptes du mouvement expressionniste. Quand la guerre éclate, il s'engage comme volontaire dans l'artillerie de campagne allemande. L'année suivante, il reçoit une formation de mitrailleur

du matin, on voit les soldats partir au font. An centre on voit la terrible bataille. A gauche, on peut voir la nuit avec des flammes en arrière-plan. Le peintre veut faire passer l'idée du chaos et de la désolation présent sur le champ de bataille. Les couleurs utilisées sont principalement ternes comme le noir et le gris qui représentent la mort. Les couleurs plus chaudes comme le marron et le rouge représentent le sang et la boue. Le panneau de gauche montre les soldats partant au front, on ne

Autoportrait et autobiographie L’autoportrait nous amène à déborder le genre classique. Le mélange de pratiques (écritures, collages, graphies, installations d’objets fétiches, …) témoigne de la manière dont on appréhende et interprète son « réel », suivant son âge et son histoire. La thématique de l’autoportrait pose avidement la question du « Qui suis-je ». Le peintre, face à lui-même, livre au spectateur une part de lui-même. L’homme social y côtoie l’être privé. Mais comment différencier

Ces deux autoportraits s’inscrivent dans le mouvement de l’expressionnisme, mouvement artistique apparu au début du XXème siècle en Europe et plus particulièrement en Allemagne : les expressionnistes cherchent à déformer la réalité afin de créer une émotion réactionnelle forte chez le spectateur en représentant des visions angoissantes, déformantes, à travers des formes très agressives (violence des couleurs, traits acérés): l’expressionnisme est le reflet d’une conception pessimiste de la vie, suite

l’ironie. C’est un recueil amoureux placé sous le signe du cynisme. Dans ce recueil, nous retrouvons le poème « Le Crapaud », qui est un sonnet inversé en octosyllabes, Corbières joue avec les codes de la poésie. Problématique   : En quoi cet autoportrait du poète en crapaud est-il un hymne à la beauté ? Plan   : 1er mouvement – une promenade inquiétante au clair de lune : à la recherche du crapaud (strophe 1 et 2) 2ème mouvement – De la reconnaissance de l’animal à la révélation finale (strophe

1ère Guerre Mondiale (1914-1918) et à ses conséquences morales et humaines. Elle est la première guerre industrielle. L'usage de nouvelles armes très meurtrières a traumatisé les hommes et les femmes sur le front et à l'arrière. 10 millions de soldats sont morts au combat, des millions d'hommes reviennent du front mutilés ou blessés. Il s'agit pour l'artiste de peindre les angoisses de son expérience dans les tranchées. Au moment où Otto Dix peint son tableau (années 30), l'Allemagne connaît

sans air… – La lune plaque en métal clair Les découpures du vert sombre. … Un chant ; comme un écho, tout vif Enterré, là, sous le massif… – Ça se tait : Viens, c’est là, dans l’ombre… – Un crapaud ! – Pourquoi cette peur, Près de moi, ton soldat fidèle ! Vois-le, poète tondu, sans aile, Rossignol de la boue… – Horreur ! – … Il chante. – Horreur !! – Horreur pourquoi ? Vois-tu pas son œil de lumière… Non : il s’en va, froid, sous sa pierre. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

courants artistiques allemands et meurt en 1969 près du lac de Constance. Description de l’œuvre : Description : Le panneau latéral gauche représente le départ des soldats au front. Ces hommes qui sont de dos, si bien qu’on ne peut pas discerner leurs traits. Ils semblent déjà déshumanisés. Les soldats sont une masse, ils n’ont pas d’identité mais vont tous au même endroit : le front. Ils nous donnent l’impression d’entrer dans le tableau. Le panneau central représente une vision