Autoportrait De Jean Michel Basquiat 1986

Repères biographiques Extraits de Théâtre aujourd’hui n° 5 : Koltès, Combats avec la scène Extrait d’entretiens d’hommes de théâtre ayant travaillé avec Koltès Le début de la reconnaissance Koltès et Chéreau Extrait de la pièce Histoire des arts : Basquiat ECHOS DANS LA PRESSE (INTERNET) L’EQUIPE ARTISTIQUE Bibliographie, Filmographie, Sitographie page 8 page 10 page 10 page 13 page 14 page 15 page 16 page 16 page 19 page 22 « Un homme tente de retenir par tous les mots qu'il peut trouver un inconnu

la Victoire de l'artiste interprète masculin de l'année ? Alain Bashung Sur quelle île se trouve la montagne Pelée ? La Martinique A quel Premier ministre français doit-on la phrase "Win the yes needs the no to win against the no" ? Jean-Pierre Raffarin 2 Questions Réponses De quel animal de basse-cour dit-on qu'il cancane lorsqu'il crie ? Le canard Quel instrument de musique est surnommé : la "guitare hawaïenne" ? L'ukulélé Je suis un animal de la classe des

une église ou une basilique, l’autel est, en forme de table, la partie maîtresse et centrale d'une chapelle vouée à la prière ou du chœur où officie le prêtre (maître-autel). Autoportrait : Portrait d'un artiste peintre ou dessinateur par lui-même. Dans les arts plastiques, comme tout portrait, un autoportrait peut être ressemblant et donner à voir l'aspect extérieur de l'auteur (son apparence visible) ou au contraire donner à voir des aspects de son intimité, de son esprit, de son affect

génèrent un flou du mouvement dans lequel les Bragaglia voient une correspondance photographique artistique autonome au dynamisme des futuristes. Ex : Anton Giulio photodynamique, 1912. Bragaglia. La Gifle, Luigi Russolo. Autoportrait aux crânes. 1909-10. HST. Milan, Civica Galleria Arte moderna. Le portrait de l’artiste au regard halluciné, occupe le centre de la composition tandis que gravitent autour de sa tête, des images de crânes démultipliées. Chaque crâne est vu

Francisco, Californie Été 1995 Gabrielle a 20 ans. Elle est américaine, étudiante en troisième année à l'université de Berkeley. Cet été-là, elle porte souvent un jean clair, un chemisier blanc et un blouson de cuir cintré. Ses longs cheveux lisses et ses yeux verts pailletés d'or la font ressembler aux photos de Françoise Hardy prises par Jean-Marie Périer dans les années 1960. Cet été-là, elle partage ses journées entre la bibliothèque du campus et son activité de pompier volontaire à la caserne de

Lettres modernes Lycée Jean-Monnet, La Queue-lezYvelines Miguel Degoulet Professeur agrégé de Lettres modernes Lycée Le Mans-Sud, Le Mans Karine Foucher Professeur PLP lettres-anglais et coordonnatrice CLEMI Amiens Lycée professionnel Rimbaud, Ribécourt Litterature.indb 1 Partie MÉTHODES sous la direction de François Mouttapa Inspecteur pédagogique régional de Lettres Académie de Nantes Stéphane Jacob Professeur agrégé de Lettres modernes Lycée Jean Dautet, La Rochelle

Lettres modernes Lycée Jean-Monnet, La Queue-lezYvelines Miguel Degoulet Professeur agrégé de Lettres modernes Lycée Le Mans-Sud, Le Mans Karine Foucher Professeur PLP lettres-anglais et coordonnatrice CLEMI Amiens Lycée professionnel Rimbaud, Ribécourt Litterature.indb 1 Partie MÉTHODES sous la direction de François Mouttapa Inspecteur pédagogique régional de Lettres Académie de Nantes Stéphane Jacob Professeur agrégé de Lettres modernes Lycée Jean Dautet, La Rochelle

Francisco, Californie Été 1995 Gabrielle a 20 ans. Elle est américaine, étudiante en troisième année à l'université de Berkeley. Cet été-là, elle porte souvent un jean clair, un chemisier blanc et un blouson de cuir cintré. Ses longs cheveux lisses et ses yeux verts pailletés d'or la font ressembler aux photos de Françoise Hardy prises par Jean-Marie Périer dans les années 1960. Cet été-là, elle partage ses journées entre la bibliothèque du campus et son activité de pompier volontaire à la caserne de

de la balustrade qui surplombait l’escalier roulant. Au bas des marches, une jeune femme brune à l’allure de madone téléphonait tout en tenant la main d’un enfant emmitouflé dans une parka un peu trop grande. Elle avait des cheveux longs, portait un jean taille basse, une veste en duvet cintrée ainsi que des lunettes de soleil griffées à large monture qui, tel un masque, cachaient une partie de son visage. Jonathan agita un bras en direction de son fils qui lui rendit timidement son salut. – Envoie-moi