Autoportrait Au Passeport Juifs

Autoportrait au passeport juif (1943) Cette peinture est probablement la plus célèbre de Félix Nussbaum. Dans cet autoportrait, il donne à voire sa plus grande peur : celle d’être un jour arrêté. Elle a été peinte alors qu’il est déjà entré dans la clandestinité (depuis sa fuite de saint Cyprien en 1940) et de manière singulière la signature du tableau se trouve sur la carte d’identité. Dans ce tableau on peut apercevoir Félix Nussbaum entouré de murs gris, sous un ciel tout aussi sombre

Contexte historique. La Shoah, connue également sous le nom d’Holocauste, est l'extermination systématique par l'Allemagne nazie des Juifs européens pendant la Seconde Guerre mondiale ; ce qui représente entre cinq et six millions de victimes. Ce génocide des Juifs constituait pour les nazis « la Solution finale à la question juive ». L'extermination des Juifs durant la Seconde Guerre mondiale se distingue par son caractère industriel, bureaucratique et systématique qui la rend unique dans l'histoire

s'est représenté tout au long de sa vie, par une série impressionnante d'autoportraits, dans une pose quasi identique: de trois-quart à la manière des premiers autoportraits d'Albrecht Dürer, il fixe son regard dur sur le spectateur. La figure du regard est centrale chez cet artiste juif qui a vécu du début à la fin la persécution des juifs par le régime nazi. On peut interpréter ce regard de plusieurs manières différentes. Il y a d'abord le regard de celui qui prend à témoin. Se représentant toujours

Décembre 1940: Le couple s'inscrit sur le registre des juifs , de la ville de Bruxelles. 20 Juin 1944: Dans la nuit Félix et Felka sont arrêtés par la Wehmacht dans leurs cachette de la rue Archimède . 31 Juillet 1944: Ils sont déportés à Autchwizt ou ils meurent depuis de camp de Malines. Analyse de l'oeuvre Autoportrait au passeport juif est probablement la peinture la plus célèbre de Felix Nussbaum. Dans cet autoportrait, il donne à voir sa plus grande peur : celle d’être

s'est représenté tout au long de sa vie, par une série impressionnante d'autoportraits, dans une pose quasi identique: de trois-quarts à la manière des premiers autoportraits d'Albrecht Dürer, il fixe son regard dur sur le spectateur. La figure du regard est centrale chez cet artiste juif qui a vécu du début à la fin la persécution des juifs par le régime nazi. On peut interpréter ce regard de plusieurs manières différentes. Il y a d'abord le regard de celui qui prend à témoin. Se représentant toujours

cela, il a voulu écrire une œuvre qui exprime parfaitement cette situation. Les « différents trains » sont d’une part les trains américains (qui évoquent à Steve Reich des souvenirs d’enfance), et d’autre part les trains européens conduisant les juifs aux camps de concentration. II/Description de l’œuvre L'oeuvre se divise donc en trois parties. La première partie « Before the war » parle de l'Amérique avant lka guerre, les différents trains qui partent de Chicago à New York entre 1939

dans les années 80 /90 sont totalement en accord avec la société de son temps, celle des nouvelles technologies et du multimédia, qu’ils intègrent à ces œuvres. FAIRE LE LIEN  Ce document nous permet de comprendre une époque, celle des génocides Juifs et de Tsiganes.  Ce document nous permet de comprendre un artiste. A partir des années 80-90, Steve Reich effectue un retour vers le judaïsme en étudiant la musique et les textes bibliques. Il apprend l'hébreu à New York puis à Jérusalem. Cette période

Karl Hofer sera classé parmi les «dégénéré» et censuré. La persécution des Juifs, vue par Felix Nussbaum : Felix Nussbaum, Autoportrait avec passeport juif, 1943 Felix Nussbaum est né en 1904 à Osnabrück et  mourut en 1944 à Auschwitz. Il participa à l'exposition des artistes libres de novembre 1938, à Paris, en y exposant des aquarelles. Réfugié en Belgique (d'où le mot juif en deux langues sur son passeport), il fut arrêté le 10 mai 1940 par le police belge et interné au camp de Saint-Cyprien

ce serait la pomme car elle évoque le mal, le fruit du péché originel. C’est aussi un fruit vu comme défendu, or ce qui c’est passé n’aurait jamais du arriver, aurait du être interdit. Si ce livre était un tableau pour moi ce serait « Autoportrait avec passeport juif », de Felix Nussbaum, en 1943 car ce tableau révèle seulement par le regard et les expressions du personnage de grandes émotions tels que la peur, le désespoir, la distance... Cinq mots qui représentent le livre au mieux : Emotion

1ere personne du pluriel « nous » afin de désigner lui et les autres allemands qui admirent Hitler. A la suite de la lettre 6, Martin est complétement métamorphosé : il est désormais antisémite. Il glorifie Hitler, la race allemande et dénigre les juifs à l’aide d’un vocabulaire péjoratif (« pas assez courageux pour vous battre », « pleurniche »...).Enfin, les formules initiales et finales qui révélaient d’abord une profonde amitié, puis une dégradation, redeviennent chaleureuses mais cette fois ci