Au-delà de la gloire

dans le dialogue de la Scène I entre Horace et son père, par le terme de « gloire », comme si celui-ci déterminait le cadre des actions du héros. Et si l’on se réfère au Banquet de Platon, on remarque que les termes grecs pour héros (hêrôs) et amour (êrôs) ont la même origine : l’action héroïque est donc manifestation d’une fidélité à soi, d’un amour de soi qui tend, en dépit de tout, à préserver l’honneur et la gloire du héros. D’autre part, au début de l’acte V, le Vieil Horace prononce ces deux

Les Sentiers de la Gloire, de l’histoire à l’historicité En 1957, Paths of glory (Les sentiers de la gloire) commençait une assez belle carrière d’indésirable. Aujourd’hui encore accompagné d’une légende tenace et sulfureuse, le quatrième film de Stanley Kubrick revenait sur certains épisodes de la Première guerre mondiale, et développait une vision très noire du conflit, qui lui valut autant d’admiration que d’hostilité. Le film est très caractéristique des ambiguïtés qui marquent toute création

supprimer la soif tout en variant les plaisirs. Troisièmement, il distingue les besoins ni naturels ni nécessaires, se sont des besoins de l'homme qui lui permettent l'accès au bien être physique et moral par l'imagination, tel que la richesse, la gloire ou encore l'inteligence suprême. Ce sont ce que nous appelons plus courament des désirs et non des besoins. Ces désirs peuvent être alors considérés comme des faux besoins car ils ne font que faire rêver l'individu et rien d'autre. Epicure voudrait

jetterait des pièces pour boire." Même à la fin, quand Sainte Colombe sur le point de mourir lui confie ses œuvres, Marin Marais essayant de définir la justification de la musique ne peut s'empêcher de suggérer : "Pour l'or ? Pour la gloire ?" Cette gloire, il l'a atteinte au-delà de toutes ses espérances. La leçon de musique du début du film montre la déférence des élèves et des courtisans : "Le maître a fait un signe.", "Le maître va jouer." Il en est à parler de lui-même à la troisième personne : "Marin

« choses nécessaires » (l.6). « Qui les fournit » (l.6), « la nature leur ordonne » (l.8) nous montre la personnification de la nature. La vie est commandée par elle mais ce n’est pas une contrainte. Les Cannibales pensent que « tout ce qui est au-delà est superflu » (l.8 et 9), ce qui est en dehors de l’état naturel ne correspond pas à leur société, les Cannibales ne vont pas sortir de cet espace qui est le leur, ils vont « s’en contenter » (l.17). « La nature donne à ses créatures » (l.12), Elle

d’enfants et leurs interprétation. Jacques Prevert et Jacqueline Duheme mettent en valeur le contraste entre rêve et réalité dans l’opéra de la lune (1953) livre pour enfant. Pierre Puvis De Chavannes montre sur une toile (le rêve 1883) l’Amour, la Gloire et la Richesse qui lui est apparu dans son sommeil. En quoi le rêve est-il l’expression d’un manque et comment le compense t’il ? Dans un premier temps nous verrons que l’on peut qualifier le rêve d’illusion ou encore de désillusion, enfin nous montrerons

l'Antiquité 1. Une capitale contrastée •  Rome est la plus grande ville de l'Antiquité et la plus peuplée : au IIe siècle après J.-C., elle compte un million d'habitants. Elle s'étend dans un cercle de quatre ou cinq kilomètres de diamètre, bien au-delà des collines autour desquelles elle est née. Cela n'est pas sans poser des problèmes. Afin de permettre à la ville de s'étendre de façon ordonnée, Jules César avait eu le projet de détourner le cours du Tibre, le fleuve qui longe la partie ouest de

de maux » (l.15) « Les antres du Cithéron [=grottes de montagne où Œdipe a été abandonnée enfant] en seront ébranlées » (l.14) Hybris d’Œdipe lui est reproché : orgueil démesuré qui conduit le héros à sa perte. « Tu me reproches ma gloire – Non, ta perte. » ma gloire = avoir triomphé du Sphinx. C) La forme de l’échange La stichomythie (l.20-30) : répliques courtes qui rebondissent sur un mot. Souligne le conflit. -Appelé -Appelé → Insensé -Insensé → tes parents -Mes parents → vie -Naissance et

héroïque de Horace en même temps que son crime que par une croyance occulte comme le fait Valère : Le bon destin de Rome a plus fait que son bras, Puisque ces mêmes dieux, auteurs de sa victoire Ont permis qu’aussitôt il en souillât la gloire. En fin, la Révolution de 1789 a métamorphosé la France dans un temps court et d’une manière imprévisible. Chateaubriand remarque en effet après son retour de l’exil américain que « Paris n’avait plus, en 1792, la physionomie de 1789 et de 1790

Les jésuites mettent l’accent sur le discernement, le libre arbitre que le Seigneur a donné à chacun. Obéissance au Pape Être jésuite suppose une grande rigueur. La gloire de Dieu passe avant tout et surtout avant soi-même.Dévotion totale, abandon de soi, obéissance au seigneur au-delà de la mort, « pour la plus grande gloire de Dieu » (devise jésuite). 3. L’enseignement jésuite Les principaux préceptes D’Ignace de Loyola ont été mis en œuvre dans les collèges jésuites de la capitale et de