Attentat

étape de plus. Depuis la fin des années 1960, le PNB augmente de plus de 7 % par an : c’était le « miracle économique espagnol ». Malgré cela, à partir de 1967, l’opposition à Franco est de plus en plus forte : grèves, manifestations d’étudiants, attentats d’autonomistes basques. L’Église catholique cesse d’être un appui pour le régime et se range dans l’opposition à partir de 1970. Il n’est pas rare de constater que des groupes catholiques prirent ouvertement parti pour les travailleurs dans leur

L'extrait que nous allons étudier se situe au début du chapitre deux. Un attentat vient de se produire, un grand nombre de victime est arrivé à l’hôpital pour se faire soigner. Ce passage est construit de contrastes, d'oppositions. Quels sont les effets de ces oppositions sur le lecteurs ? Nous verrons dans un premier temps l'opposition des sentiments puis dans une seconde partie l'attentat qui est évoqué entre le drame et la banalisation puis pour finir la vision à petite échelle du conflit

 I- Un ennemi insaisissable A- La traque de Ben Laden → il y a 13 ans, attentat du 11 septembre des deux tours du world trade center, engloutissant des milliers de victimes dans le béton, l'acier, et le verre → George bush , qui avait lancé l'opération « liberté immuable » en Afghanistan, quitte la présidence sans mettre la main sur le coupable de cette tragédie : Oussama Ben laden → Malgré des années de traque, Oussama Ben laden, dont la tête vaut 25 millions de dollars, reste introuvable → Barak

parce que la menace sur notre pays n’a jamais été aussi forte : depuis les attentats de Madrid et de Londres nous savons qu’elle vise tout particulièrement l’Europe. La France n’est donc pas à l’abri. Pour assurer la sécurité des Français il est devenu impératif de mieux connaître cette menace. • Ensuite parce que c’est une menace stratégique, qui vise nos intérêts sur l’ensemble de la planète, comme l’ont démontré les attentats de Karachi qui ont fait onze victimes françaises en mai 2002. • Enfin nous

luttait alors pour la chute de ce régime, fut bientôt rejointe par une mouvance révolutionnaire et indépendantiste, car l'Espagne de Franco ne laissait pas de place à la culture basque ainsi qu'à la langue qui avait presque disparu. En 1973, un attentat tue Luis Carrero Blanco, alors chef du gouvernement et successeur probable du dictateur Franco. Cette attaque eut un rôle important dans la chute du régime mis en place par Franco qui disparut en 1975. En 2009, plus de 750 militants indépendantistes

Sébastopol et Saint-Michel, l’axe est/ouest matérialisé par la rue de Rivoli, les nombreuses avenues rayonnant à partir de l’Arc de Triomphe de la place de l’Étoile... Par ailleurs, Napoléon III est encore sous le choc de l’attentat d’Orsini - premier attentat à la bombe - perpétué contre lui en 1858, alors qu’il se rendait à l’Opéra de la rue Le Peletier. L’attentat faillit réussir, notamment à cause du réseau de rues étroites enserrant le bâtiment. Cet événement marqua d’autant plus l’opinion que l’Opéra

du groupe de résistance des « Francs-tireurs et partisans – main-d'œuvre immigrée » (FTP-MOI). Composé de 23 communistes (dont 20 étrangers : espagnols, italiens, arméniens et juifs d’Europe centrale et de l’est), le réseau effectue de nombreux attentats et actes de sabotages contre l’occupant nazi. Le réseau Manouchian tient son nom de son dirigeant : Missak Manouchian. Arrêtés en novembre 1943, ses membres sont jugés lors d’un procès qui se déroule devant le tribunal militaire allemand du Grand-Paris

communiste en 1934. Pendant la guerre, il s’engage dans la Résistance. Il devient en 1943 le chef militaire des FTP-MOI de la région parisienne. Il était aussi poète.) Ce réseau est très performant et devient rapidement célèbre pour ses nombreux « attentat » contre les nazis comme l’assassinat d’Allemands et de collaborateurs, sabotage de convois allemands, assassinat de Ritter (un général allemand responsable du STO en France). Le groupe est arrêté en novembre 1944 par la police française puis remis

psychologique. En effet, les attaques sanglantes et les attentats perpétrés sur la population civile sont retransmis par les médias. Ces images choquent les populations visées mais aussi les autres populations du monde. Il suffit de prendre l’exemple du 9/11. Tout cela dans le but de perturber et de démoraliser l’ennemi pour le pousser à faire des concessions. Les insurgés utilisent beaucoup les médias. Ils se revendiquent d’avoir fait des attentats au journal télévisé et font passé leur message. La population

d'urgence est déclaré sur l'ensemble du territoire. En mars, le FIS est dissous et ses deux leaders, emprisonnés. Privé de sa victoire, le parti bascule dans la clandestinité. En juin, le président Mohamed Boudiaf est assassiné. Fin août, un violent attentat fait 9 morts et 128 blessés à l'aéroport d'Alger. Les autorités répliquent sans tarder, et font exécuter ses auteurs, islamistes. 1993 En octobre est créée une Commission du dialogue national. Les trois civils et les cinq généraux qui la composent