Article R610 5 Code Pénal

arret du tribunal des conflits : qui tranche les conflits de competences , ces decisions sont importantes , ex : arret Blanco du 8 fevrier 1873, cet arret a posé le ppe selon lequel le droit de l’administration ne saurait regit par les ppes du code civil , il dispose de regles speciales ( oppose au regles generales ) qui varient suivant les besoins du service et la necessite de concilier les droits de l’etat avec les droits privés , donc un droit autonome par rapport au prive . -second

humains sont un deuxième moyen essentiel. Ce sont les agents publics, le personnel qui assure les missions. Il y a en France 7 millions d’agents publics. Cela représente 20% du total des emplois en France. Dans ces 7 millions d’agents publics, il y a 5 millions de fonctionnaires c’est-à-dire de personnel qui ont accédé au statut de la fonction publique. Les deux millions restant visent des personnels qui ne sont pas fonctionnaires mais qui sont en lien avec l’administration par un contrat : ce sont

(du professeur) (2012) = reprend le cours ou Droit administratif général (Bertrand Seiller) Droit administratif général (Jacques Petit) MGDJ Examen final : Maîtrise des grands arrêts de la jurisprudence administrative. Apprendre chaque semaine les 5 arrêts. Devoir sur table : 2 sujets au choix, soit une dissertation, soit un commentaire de texte ou d'arrêt (peut être un cas pratique) Sujet de la dissertation de l'année dernière : Le droit administratif peut-il rester jurisprudentiel ? 10/09

principes de démocratie libérale émis dans la DDHC de 1789 ( égalité , liberté , fraternité ) . Il y a une disposition essentielle dans celle-ci : toute société dans laquellela garantie des droits n'est pas assuré ni la séparation des pouvoirs .... article 16 . Elle précise que seule la loi peut borner la liberté . Application de théorie de Rousseau sur contrat social . Culte de la loi et séparation des pouvoirs . Donc soumission de l'administration au droit . B/La soumission de l'administration

française de la séparation des pouvoirs » est issue d’une décision du Conseil Constitutionnel du 23 janvier 1987, Conseil de la concurrence. Considérant n°15 de la décision n° 86-224 DC du 23 janvier 1987 : Considérant que les dispositions des articles 10 et 13 de la loi des 16 et 24 août 1790 et du décret du 16 fructidor An III qui ont posé dans sa généralité le principe de séparation des autorités administratives et judiciaires n'ont pas en elles-mêmes valeur constitutionnelle ; que, néanmoins

droit administratif va se construire comme un système autonome comportant ses propres principes. 5 A. La conception française de la séparation des pouvoirs Cette conception émane de la décision ''Conseil de la Concurrence (23 Janvier 1987, Conseil Constitutionnel). La conception française de la séparation des pouvoirs est un peu particulière

– FORMATION ARE 03 11, avenue Neil Armestrong 33700 Merignac CESI B O R D E A U X ADMINISTRATEUR RESEAUX D’ENTREPRISE HISTORIQUE DES REVISIONS Version Date 1 15/04/2009 Auteur FEDULLO 2 3 4 25/03/2010 07/04/2010 14/04/2010 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 16/04/2010 17/04/2010 18/04/2010 19/04/2010 20/04/2010 25/04/2010 27/04/2010 04/05/2010 05/05/2010 05/05/2010 05/05/2010 09/05/2010 13/05/2010 18 18/05/2010 19 20 20/05/2010 22/05/2010 FEDULLO MOLLET

jurispce Question de la légitimité de la jpdce : peut-elle ê source du drt ? En France : méfiance envers le juge, constante depuis la Révolution. Jpce : le juge crée le drt, or le juge ne doit faire qu’appliquer le drt. Vestiges de cette méfiance cf art 5 C civ : interdict° des arrêts de règlemt : le juge doit statuer sur un litige, sans dégager une Rè générale lq’il en est saisi. + art 4 : « le juge qui refusera de juger sous prétexte du silence, de l’obscurité ou de l’insuffce de la loi pourra ê prsuivi

tribunal des conflits considère que la responsabilité qui peut incomber à l’Etat pour les dommages causés aux particuliers, par le fait de personnes qu’il emploi dans le service public ne peut être régit par les principes qui sont établis dans le code civil : articles 1382 à 1384, pour les rapports de particuliers à particuliers…que cette responsabilité n’est ni générale ni absolue, qu’elle a ses règles spéciales qui varient suivant les besoins du service et la nécessité de concilier les droits de l’Etat