Article Lois Civiles Et Ecclésiastiques De Voltaire

Histoire du droit privé 1) De la famille médiévale a la famille des tps modernes 2) Vers une unification du droit familial fr : le mariage affaire d’état 3) Révolution politique et ordre familial 4) Code civil et droit de la famille Mariage, autorité paternelle, adoption, incapacité de la femme mariée. 11e siècle, facteurs divers, les structures familiales ont connu transformations. La famille nucléaire, ou conjugale, ou ménage va s’individualiser. Selon les lieux, les grpes

divin. Quelle que soit la mouvance philosophique, la recherche du bonheur et la volonté d’asseoir la morale sur un fondement social et non plus religieux soulèvent la question de l’individu avec le pouvoir politique. Pour Dumarsais en 1746, dans son article  Le philosophe  de l’Encyclopédie (publication dirigée par Diderot et d’Alembert, somme de toutes les connaissances humaines de l’époque et exposant toutes les critiques des philosophes)le philosophe et le prince doivent faire un usage critique de

sont athées mais pas la plupart, qui ne nient pas l'existence de Dieu et sont persuadés que Dieu est en tte chose. Cette conviction religieuse est appelée le déisme. Comme il n'a pas d'église, il y a bcp de catégories différentes. Le déisme de Voltaire par ex : pr lui, Dieu est la créateur du monde et en est le gd architecte. Pr lui , Dieu s'est retiré de la création du monde et a laissé l'homme libre de ses actions et de ses pensées. Le déisme de Rousseau est différent et emprunte bcp au christianisme

à la hiérarchie ecclésiastique. Le mot laïcité n’apparaît en français qu’après 1870. Il s’applique alors à une politique détachée de toute référence religieuse où l’État, respectueux de la liberté de conscience des citoyens, affiche pour sa part une stricte neutralité et fait du rapport à la religion une affaire exclusivement privée. On confond parfois laïcité et sécularisation. Ce terme - venu du latin saecularis, mot par lequel l’Église désignait les membres de la société civile - caractérise plutôt

GROUPEMENT DE TEXTES DU XVIIIeme SIECLE SOMMAIRE Intro : XVIIIeme SIECLE texte 1 : Article « Autorité politique » de Diderot texte 2 : « De l'esprit des lois » de Montesquieu texte 3 : « Candide » de Voltaire texte 4 : « Du contrat social » de Jean-Jacques Rousseau texte 5 :  « l'ile des esclaves » de Marivaux texte 6 : Article « traite de nègres » de Jaucourt texte 7 :  « les liaisons dangereuses » de Laclos texte 8 : « histoire du chevalier

population sont mis en place. 1 – Le Roi administrateur du Royaume En premier lieu, en définissant d'un corpus de règles régissant la transmission de la Couronne et le statut du domaine royal, les Lois Fondamentales, la Monarchie pose la distinction entre l'État et le titulaire du pouvoir. Ces Lois Fondamentales forment un corps de règle, de nature constitutionnelle, qui s'imposent au Roi. Les théoriciens de l'absolutisme reconnaissent d'ailleurs la primauté de ces règles. La première est la

aussi appelée "Dictionnaire raisonné des sciences , des arts et des métiers", promeut les idées de liberté, d'égalité et de fraternité, fondatrices de notre nation par le biais d'articles rédigés par de grands auteurs- philosophes, tels Rousseau, Voltaire ou Montesquieu, divulguant ainsi ces notions de manière implicite et habile. L'un des objectifs de cette machine du savoir est de "sabrer la théologie" afin de mener le combat contre toutes les formes de superstition et tous les obscurantismes et

dernier ressort mais peut mettre en place un Gvt populaire, aristocratique ou monarchique : le roi décide et gouverne seul où il respect ses propres lois et celles de Dieu. Le roi doit respecter les lois de nature. c. La portée de son œuvre Il a préparé l’absolutisme qui triomphe au 17ème. C’est une souveraineté limitée car il la subordonne aux lois divines et humaines. Il est le précurseur de la doctrine absolutiste sans séparation de pouvoirs. Il veut rétablir, dans un contexte de guerres de religion

citoyen pleut voter, désigner les représentants, il fait parti des souverains, il a le pouvoir de faire la loi. ● de l'autorité à la liberté ? Monarchie absolue sous l'AR → jusqu'en 1789 (en théorie). Le Roi n'est pas soumis à l’obéissance des lois et de la justice (Il est la loi et la justice!) Il y a une autorité large du roi: elle est à la fin du XVIII fortement critiquée, qualifiée de arbitraire. Autrefois considérée comme légitime, elle est désormais sujet à débat. On demande que le roi

d'Israël st dépourvus de tt pouvoir législatifs. Ils doivent connaître par coeur la loi divine. Idem à Rome, VIII_VIIème S. avt JC, le droit n'est pas encore distinct de la religion (au tps des 1ers rois). Légende: le roi Numa aurait reçu ses « lois » de la nymphe Egérie, qu'il allait écouter au bord de sa fontaine. Règles natures et origine religieuse = fas. Vieux mot = « dire » Le fas c'est ce que les dieux ont dit, ou ce qu'ils permettent. Le nefas est ce qu'ils interdisent. « faste »/ « néfaste »: