Article Guerre Voltaire

le XVIII. * Voltaire a également écrit des pièces de théâtre, il défend la liberté. C’est un auteur engagé. * L’œuvre : * C’est un dictionnaire philosophique. * Dans le cas de Voltaire, il s’agit de présenter des définitions, qui parfois sont subjectives. L’auteur s’implique et cela prend alors un caractère encyclopédique. * La situation : * Les définitions sont classées par ordre alphabétiques. Cet extrait, est un article de dénonciation de la guerre, le but de ce texte

Groupement de textes Article « guerre », Dictionnaire philosophique, Voltaire, 1764 Plan I. Le conte classique détourné a. Le prince du conte b. Les marques de l’indétermination II. Le conte philosophique a. L’absurdité des prétentions du prince b. Un jeu de guerre enfantin III. Un apologue empreint de l’ironie voltairienne a. La guerre est criminelle b. Critique de la religion qui sert la guerre Introduction Le texte étudié est extrait de l’article « Guerre » du Dictionnaire

François-Marie Arouet nommé Voltaire est un dramaturge, moraliste, historien et philosophe illuministe e comme dicte cette courante littéraire on trouve dans ses écrits la rechercher de la vérité qui ne peut être atteinte que par l’exercice de la raison et de l’esprit critique ; et comme Dumarsais dit dans l’article Philosophe la vérité est la maîtresse des philosophes, mais dans cet amour de la vérité ils savent conserver leurs raisons. Les plus importantes œuvres de Voltaire sont : Zadig, Candide ou

Article Guerre, Voltaire I. Dénonciation de la guerre absurde et destructrice L.1 « entreprise infernale » périphrase de la G. Infernal ==> enfer ==> entreprise du diable (rapport avec la religion.) L.1, L.2 « chef des meurtriers » = roi, prince, qui dirige les armées. L.6 civils touchés par la G. Cause de la G = caprice de quelques uns (= princes de l'époque) G dénoncée par registre pathétique pour obtenir l’adhésion du lecteur par la compassion, on touche au persuader. Périphrases utilisées

En 1764, Voltaire fait paraître Le dictionnaire philosophique portatif. Dans cette œuvre l’auteur confond dictionnaire et pamphlet et s’en prend avec une incroyable violence à la Bible et à la doctrine chrétienne. Dans l’article « Guerre », Voltaire poursuit son inlassable combat contre la « boucherie héroïque » dénoncée en 1759 dans Candide. Dans ce texte, le registre polémique est très présent, le vocabulaire est très précis et permet donc de disqualifier tous les éléments ayant trait

Français : Commentaire composé sur extrait de l’Article « Guerre » du Dictionnaire Philosophique de Voltaire p.543 Le Dictionnaire philosophique de Voltaire analyse les préjugés, les mensonges politiques, les injustices, et s’efforce de remettre tout au point. Cette « critique de la société par alphabet » fera scandale à sa parution, et Voltaire, menacé de Bastille, part à l’étranger. Voltaire rédige ce petit Dictionnaire philosophique à 70 ans, pour lutter en faveur du progrès et de la tolérance

 Guerre Le merveilleux de cette entreprise infernale, c'est que chaque chef des meurtriers fait bénir ses drapeaux et invoque Dieu solennellement avant d'aller exterminer son prochain. Si un chef n'a eu que le bonheur de faire égorger deux ou trois mille hommes, il n'en remercie point Dieu ; mais lorsqu'il y en a eu environ dix mille d'exterminés par le feu et par le fer, et que, pour comble de grâce, quelque ville a été détruite de fond en comble, alors on chante à quatre parties

Lecture analytique : Guerre, VOLTAIRE Problème En quoi ce texte est-il une satire de l’engrenage de la guerre ? 1ère partie Les aspects formels du conte philosophique 1. Récit 2. Cadre spatio-temporel flou (« quelques centaines », « trois ou quatre cent ans »,…) 3. Les personnages sont volontairement flous 4. Archétypes (« le ») L’enchainement des faits 1. Gradation : 1 prince, 1 peuple, quelques mercenaires, plusieurs princes,… et de plus en plus violent 2. Le texte

Le merveilleux de cette entreprise infernale, c’est que chaque chef des meurtriers fait bénir ses drapeaux et invoque Dieu solennellement avant d’aller exterminer son prochain. Si un chef n’a eu que le bonheur de faire égorger deux ou trois mille hommes, il n’en remercie point Dieu; mais lorsqu’il y en a eu environ dix mille d’exterminés par le feu et par le fer, et que, pour comble de grâce, quelque ville a été détruite de fond en comble, alors on chante à quatre parties une chanson assez longue

Montaigne écrit en 1580-1595 durant les « Huit guerres de religion » sous lerègne d’Henri IV, un autre texte de Voltaire, un philosophe des lumières qui combattait l’esprit des gens, de 1770 intitulé Dictionnaire philosophique, article « Torture ». Pour finir, un derniertexte d’Albert Camus rédigé en 1939-1958 extrait du recueille Actuelles III, chroniques algériennes dont le contexte historique correspond à la deuxième guerre mondiale et l’après-guerre. Nous allonsnous intéresser à la cruauté que