Article Dieu Voltaire

« Les Lumières » est un terme qui désigne un mouvement culturel et philosophique qui émerge entre 1650 er 1700 sous l'impulsion de philosophes comme Spinoza, Locke, Bayle, Newton et Voltaire, avant de se développer dans toute l'Europe, et notamment en France, au XVIIIe siècle. Par extension, on a donné à cette période le nom de siècle des Lumières. Par leur engagement contre les oppressions religieuses, thomasiennes et politiques, les membres de ce mouvement, qui se voyaient comme une élite avancée

donc à ce qui est dans son état natif, c'est-à-dire qui n'a pas été modifié depuis sa naissance. Il qualifie un objet ou une substance qui n'a pas été transformé et le mot « religion » est envisagé comme ce qui concerne la relation entre l'humanité et Dieu. Certains philosophes se sont engagés dans une compréhension ou « pensée » du monde basée sur la raison. Un terme spécifique a été donnée a cette recherche, celle de « religion naturelle ». Ainsi la « religion naturelle » désigne la pensée des philosophes

religion qu’on vive, dès qu’on en suppose une, il faut bien que l’on suppose aussi que Dieu aime les hommes, puisqu’il établit une religion pour les rendre heureux ; que s’il aime les hommes, on est sûr de lui plaire en les aimant aussi, c’est-à-dire en exerçant envers eux tous les devoirs de la charité et de l’humanité, en ne violant point les lois sous lesquelles ils vivent. On est bien plus sûr par là de plaire à Dieu qu’en observant telle ou telle cérémonie ; car les cérémonies n’ont point un degré

17/11/12 1ères ES2, S1, S2 Durée : 4 heures Objet d'étude : La question de l'Homme dans les genres de l'argumentation. Corpus : Texte A. Voltaire, Aventure indienne, traduite par l’ignorant (1766) Texte B. Voltaire, article « Torture », Dictionnaire Philosophique (1769) Texte C. : René Pommeau, « Note sur L’Aventure indienne » dans Voltaire, Romans et Contes (1966) Texte A : Pythagore[1], dans son séjour aux Indes, apprit comme tout le monde sait, à l’école des gymnosophistes[2]

satisfaire, à condition qu'elles ne s'opposent pas au bonheur d'autrui. origine de toute création littéraire. 2.2. Idées et idéaux des Lumières Le fonds commun des Lumières réside dans un rejet de la métaphysique, selon laquelle la transcendance (Dieu) précède la réalité (le monde). Les termes en sont inversés : la transcendance est ce qui reste, ce qui résiste à toute analyse rationnelle, scientifique, historique. Par-delà leur diversité, les hommes des Lumières ont en commun cette attitude d'esprit

|- Frédéric II de Prusse invite Voltaire et abolit la torture, Catherine II | |montrent ouverts aux philosophes et aux réformes. |de Russie correspond avec Diderot et soutient l’Encyclopédie… | |- De nouveaux systèmes politiques voient le jour qui sont fondés sur des |- Monarchie parlementaire en Angleterre (Cf. Lettres philosophiques de | |principes de liberté et d’égalité dans nombre de domaines. |Voltaire) ou Constitution des Etats- Unis

œuvres littéraires. -Égalité : Ce mot implique l'abolition des privilèges et dénonce les fondements de la monarchie : « aucun homme n'a reçu de la nature le droit de commander » (article « autorité politique », Encyclopédie). -Fraternité : Ce mot suppose tolérance et respect de l'autre. Diderot avec La Religieuse et Voltaire avec son Traité sur la Tolérance dénoncent l'intolérance cléricale, la superstition et le fanatisme religieux. -Bonheur : Le bonheur de l'homme est au centre des réflexions des

mécanique, philosophie, sociologie, littérature), ils partagèrent néanmoins certaines idées centrales, quatre principaux philosophes vont incarner ce mouvement littéraire, notamment grâce a l’apparition de la littérature engagée voir même politique (Voltaire : L’affaire Calas) et donc l’apparition de genre littéraire nouveau. Tels que, l’Encyclopédie qui est éditée par Diderot et est considérée comme l’ouvrage majeur du XVIIIème et Le Contrat Social De Jean-Jacques Rousseau qui donnera des idées a La

Voltaire : Biographie De son vrai nom François Marie Arouet , Voltaire est né le 21 novembre 1694 à Paris. Issu d'une famille bourgeoise, son père fut notaire. Il est élevé chez les jésuites qui lui donnent une solide formation en philosophie et en rhétorique. Il prend alors le goût de la discussion, du théâtre, ainsi que de la littérature antique. Curieux, le jeune Arouet s'épanouit durant la régence, période propice à plus de libértés. Il fréquente les salons littéraires, les milieux libertins

de vivre basée sur la recherche des plaisirs et des biens matériels Perfectibilité: langage soutenu qualité de ce qui est perfectible. Déisme: Le fait de croire en l'existence d'un Dieu, sans référence à une religion. Athéisme: doctrine, attitude de ceux qui nient l'existence de Dieu. Relativisme: doctrine qui affirme que tout est relatif, que les valeurs dépendent des circonstances et sont variables. Tolérance: Fait de ne pas interdire alors qu'on le pourrait