Article 1125 Du Code Civil

individualisé pour chaque contrat. Il prend le relai des règles de droit commun pour régir les contrats. Article 1107 du Code civil : « Les contrats, soient qu'ils aient une dénomination propre soit qu'ils n'en aient pas, sont soumis à des règles générales, qui sont l'objet du présent titre. Les règles particulières à certains contrats sont établies sous de titres relatifs à chacun d'eux ». Cet article a d'abord l'intérêt de consacrer la distinction entre droit commun des contrats et droit spéciaux des

droit des contrats en France. Visée par les articles 1108 et 1131 du Code Civil, la cause répond à la question « pourquoi est-il dû ? »2. Le contrat est conclu avec un objectif précis et un but qui représentent la volonté des différents parties. La notion de cause, objet de nombreuses contreverses doctrinales et jurisprudencielles, a pour fonction principale de contrôler l'équilibre de la convention, ainsi que sa licéité. Du fait de l'actuel Code Civil, la notion de cause peut être interprêtée manières

l’ensemble des règles qui s’appliquent aux particuliers, c’est à dire aux personnes privées : - individus, personnes physiques - groupements, personnes morales 5 branches du droit privé: droit civil, droit commercial, droit du travail, droit international privé et droit judiciaire privé. Droit civil: c’est le droit privé commun : il règle les rapports juridiques des particuliers lorsqu’il n’existe pas de règles spéciales prévues par d’autres branches du droit privé. Il a donc pour principaux

droit des contrats La cause est « une des notions les plus incertaines du droit civil »[1] en raison de la controverse qui existe à la fois sur sa définition et sur son rôle. Le rapport du groupe de travail de la Cour de cassation sur l’avant-projet de réforme du droit des obligations et de la prescription datant du 15 juin 2007 souligne d’ailleurs que l’idée de cause est perçue dès 1891 par Fuzier-Herman dans son code civil annoté comme une « complication inutile et une source de confusion ». Depuis

du consentement qui est susceptibles de donner lieu à la responsabilité civile délictuelle. La nature de la violence peut être : - physique (ex : séquestration …) : la violence peut être à degrés variables mais elle est toujours vice du consentement. - morale : elle peut accompagner une violence physique. La victime de la violence peut-être le cocontractant lui-même ou un proche. (Article 1112 du Code Civil). L’auteur de la violence peut être le cocontractant ou un tiers.

Le titre du code civil consacré à la vente comporte tout d’abord un chapitre relatif à la nature et à la forme de la vente (article 482 et suivants) puis un chapitre relatif aux personnes qui peuvent acheter et vendre (article 494 et suivants) et un chapitre sur les choses qui peuvent être vendues (article 498 et suivants). S’y ajoute depuis 1967 un chapitre qui traite de la vente d’immeubles à construire (articles 1601-1 à 1601-4). La vente doit contenir les éléments des articles 1108 et suivants

Obligation juridique (ou civile) : exécution de l’obligation sous peine de sanctions Obligation naturelle : obligation moralement contraignante mais non sanctionnable juridiquement Obligation extra-juridique : devoir social non sanctionné par le droit (répondre à une lettre) Section 3 : les sources des obligations A. Principales sources légales et réglementaires C. Actes et faits Contrat (acte)  Responsabilité contractuelle (art 1134)  Source (Responsabilité Civile)  Délit et quasi-délit

l’obligation 5 2) Critère qui tient à la force de l’obligation 6 II.Les caractères du droit des obligations 6 1)La codification 6 2)La patrimonialisation 6 3)L’internationalisation 6 III.Les sources des obligations 7 1)L’article 1370 du code civil : la Convention 7 2)Par autorité de la loi 7 3)Le fait personnel 7 PARTIE 1 : LE QUASI-CONTRAT 8 Chapitre I : Les Gestions d’Affaires 9 I.Les conditions d’existence de la gestion d’affaire 9 1)Intention de gérer les affaires d’autrui 9

loi (provenance, conséquences, déclaration, cause, polémiques) CHAPITRE 1 : LA LOI DU 23 NOVEMBRE 1998 SECTION 1 : D’OÙ VIENT CETTE LOI ? Cette loi du 23 novembre 1998 a eu pour effet d’introduire au sein du livre III du code civil, les articles 1475 à 1479, expliquant les propriétés de la cohabitation légale. Cette loi est le fruit d’une proposition de loi du 23 octobre 1995, déposée par 4 parlementaires[3], concernant le contrat de vie commune. Le but de cette loi n’était pas de

édicté par un titulaire du pouvoir réglementaire. Le règlement est une norme juridique inférieure à la loi et il existe un contrôle de la légalité des règlements. Le règlement peut être édicté par le premier ministre (article 21, alinéa 1) ou les ministres (article 21, alinéa 2 et article 22). Le président de la République doit signer les ordonnances et les décrets délibérés en conseil des ministres. Les exécutifs des collectivités territoriales et de certaines administrations déconcentrées ou spécialisées