Armement médiéval

(1963), de jeter les bases d’une période de Détente entre Soviétiques et Américains qui devait durer au moins jusqu’en 1975. Cette Détente est perceptible en de nombreux domaines. Les deux Grands amorcent un dialogue afin de limiter la course aux armements : ils deviennent en quelque sorte des “adversaires-partenaires”. C’est aussi la fin des grandes crises directes est-ouest comme en a connu la période précédente (les deux crises de Berlin, Cuba) et la multiplication d’accords et d’échanges entre

Antiquité - ( Omère ) Liée aux mythes ( orphée, appollon, dionysos ) Moyen âge - poésie conçue pour récitation orale - ( françois villon ) Poésie médiévale La chanson de geste ( célébre exploits guerriers ) Poésie lyrique ( courtiser femme aimée ) Poésie savante ( jouer avec language, la poésie est plus écrite ) 16ème siècle – poésie de cour raffinée, plus littéraire – Pleïade (ronsard, du bellay, pelletier du mans ) => s’éloiger de l’usage courant de la langue Poésie engagée : face

présent. Leur rythme chantant est défini par l'accompagnement obligatoire d'une mélodie. Les origines de la poésie lyrique peuvent être recherchées dans les chants populaires et les danses. L'influence de la culture arabe se fait sentir. La poésie médiévale atteint son sommet dans l'art des troubadours. Le Midi, où l'économie est plus développée que dans les provinces du Nord et où la vie quotidienne est moins belliqueuse, se rend plus propice à l'art qui chante l'amour et le printemps. L'influence

fin du XIVe siècle. Par contre, on ne connaît pas l’auteur de la première traduction complète de la Bible en langue vulgaire, quoique on l’avait attribué longtemps à Guiart des Moulins; plus tard, en étudiant sa vie, les spécialistes en histoire médiévale se sont rendu compte que ce ne pouvait pas être lui, mais, peut-être, comme M. Berger pense, l’Université de Paris. La traduction se présente en général en deux volumes et est accompagnée par plusieurs gloses destinées à expliquer surtout les mots

Amour Courtois: Plaisir ou Souffrance? L'homme, pendant sa existence, a toujours discuté sur l'Amour et sur sa Nature. Les questions qui ont porté l'homme à s'interroger sur la nature de ce sentiment sont liées à deux aspectes contradictoires: le plaisir et la souffrance. Nous avons analysé quatre textes contenant l'essence de l'Amour dans ses deux formes. Ces textes vont composer notre corpus. "A' la douceur de la saison nouvelle" (Guillaume IX D'Aquitaine, XII siècle) "Ce bouton qui me plaisait

solidarité des hommes.» Introduction François Villon est un poète parisien du XVe siècle. Marqué par la meurtrière peste-noire, le bas Moyen-Âge est une époque très sombre tout comme Villon l’est dans la majorité de ses poèmes. Inspiré du lyrisme médiéval, une forme de poésie propre à son époque, le Testament de François Villon est à ce jour, le recueil de poèmes le plus populaire de Villon. Son poème le plus célèbre, La Ballade des Pendus, initialement intitulée l’Épitaphe de Villon, évoque des thèmes

Intro : Définir la chanson de toile; forme plus ancienne du lyrisme, indépendante des trouvers/troubadour. Mode narratif sur courtoisie d'un point de vue féminin. D'origine populaire mais ça reste un art conscient et maitrisé. 1) la chanson a. Répétitions : La chanson est composée de nombreuses répétitions, la plus remarquable est celle de « belle Yolande » au vers 1, 5, 6, 10, 15, 20, 25 et 30. On remarque également la répétition de « ni » situé en début des vers 16, 17 et 18. Ces répétitions

Sujet Que pensez-vous de ces vers d’Alfred de Musset : « Les plus désespérés sont les chants les plus beaux, Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots. » (Nuit de mai) ? • J’analyse la forme et le fond de la citation : On remarque le parallélisme de construction du premier vers, avec la reprise du comparatif absolu « les plus », posant une équivalence entre beauté et désespoir. L’inversion de l’ordre normal des termes de la phrase met l’accent sur l’adjectif « désespéré » placé en début

mètres différents LE RECUEIL L’oeuvre poétique de Louise Labé, écrite entre 1545 et 1555, compte à peine quelques centaines de vers, répartis en trois élégies, qui s’inscrivent dans la lignée de Clément Marot, donc dans la tradition de la poésie médiévale française, et vingt-quatre sonnets, qui relèvent de l’héritage pétrarquiste, dont qui initient la poésie moderne de la Renaissance. Les élégies, conformément à la Les élégies, conformément à la tradition qui en fait des poèmes lyriques fondés

l'expression des trouvères et troubadours du Moyen Âge et de leurs successeurs qui chantent les thèmes de la reverdie et de la fine amor dans les chansons de toile, les aubes, les pastourelles, les lais, les rondeaux ou les ballades (voir Poésie médiévale française). Au milieu du XVIe siècle Pierre de Ronsard parle en l'opposant au style haut de la tragédie de sa « petite lyrique muse » qui chante « l'amour qui (le) point ». Le terme a dès lors son sens d'aujourd'hui lié à l'expression des sentiments