Armée de libération nationale de Bolivie

conventions africaines et arabes de lutte contre le terrorisme. C’est donc en conformité avec ces cadres juridiques régionaux que les États doivent orienter leurs législations et pratiques en matière de lutte anti-terroriste. On retrouve au niveau national les mêmes problématiques que celles relevées au niveau régional : des législations aux interprétations liberticides ainsi que des dispositions dérogatoires en matière d’extradition. Par ailleurs, au motif de la lutte contre le terrorisme, certains

après les Philippines en 1898, ils prennent pied en Chine lors du «break up China» (voir La canonnière du Yang Tse de R. Wise); ils obligent le Japon à pratiquer lui aussi la «politique de la porte ouverte» en 1854 après l’intervention armée du commodore Perry (le drapeau américain hissé à cette occasion a été sorti du musée et utilisé le 2 septembre 1945 pour la capitulation du Japon). b) Le wilsonisme Les USA étaient donc neutres au regard des affaires européennes

espaces nationaux mais aussi dans celle des espaces communs, c’est à dire ceux qui échappent à la souveraineté exclusive des États : cas des « espaces internationaux » tels que : la haute mer, les fonds marins, l’espace aérien international, extra atmosphérique...Les espaces d’ « intérêt international », sous la souveraineté d’un État mais qui intéressent aussi les autres : cas des fleuves, des détroits… « domaine public international ». Cela implique une référence aux espaces nationaux. Le régime

1 HISTOIRE Questions pour comprendre le XXe siècle Marianne BOUCHERET re Sous la direction de Guillaume BOUREL Professeur en classes préparatoires au lycée Auguste Blanqui à Saint-Ouen (93) Marielle CHEVALLIER Centre national de documentation pédagogique (75) Professeur au lycée Guillaume Apollinaire à Thiais (94) Anne DESCAMPS Professeur en classes préparatoires au lycée Jean Jaurès à Reims (51) Ivan DUFRESNOY Professeur au lycée Jean-Jacques Rousseau à Sarcelles (95)

1 re HISTOIRE Questions pour comprendre le XXe siècle Sous la direction de Guillaume BOUREL Professeur en classes préparatoires au lycée Auguste Blanqui à Saint-Ouen (93) Marielle CHEVALLIER Centre national de documentation pédagogique (75) Marianne BOUCHERET Professeur au lycée Guillaume Apollinaire à Thiais (94) Anne DESCAMPS Professeur en classes préparatoires au lycée Jean Jaurès à Reims (51) Ivan DUFRESNOY Professeur au lycée Jean-Jacques Rousseau à Sarcelles (95) Jérémie FERRER-BARTOMEU

l’armée et le politique………………. p 217 1. Généralités…………………………………………….. p 219 15 2. Une nouvelle relation entre l’Armée populaire de libération et le Parti communiste chinois………………………….. p 225 3. L’armée populaire de libération dans la prise de décision politique……………………………………… p 234 4. Le Parti communiste chinois et l’Armée populaire de libération : deux voies distinctes ? ................................................. p 238 B. Evolution au niveau de la sécurité……………………………… p 242

Finances d’Argentine ; Audit citoyen de la dette du Brésil ; Ministère des Finances de Colombie ; Banque centrale de l’Équateur ; Secrétariat des Finances du Mexique ; Ministère des Finances du Pérou. 9 L’information sur l’Équateur correspond au Budget National de la République d’Équateur de 2007. Elle ne tient pas compte de l’effet de la réduction de la dette du pays à la suite des travaux de la Commission d’audit intégral de la dette publique (CAIC) en 2007-2008. Avec les économies permises par une telle

et la guerre est un instrument légitime de politique extérieure. Ces deux instruments ont connu une évolution divergente. Les relations diplomatiques ont conservé leur rôle au prix de certaines adaptations. La guerre comme instrument de politique nationale a en revanche été progressivement condamnée , quoique non entièrement éliminée. A partir d'un cadre européen , son internationalisation a été marquée par un triple phénomène d'universalisation , d'institutionnalisation et de transnationalisation

rapports entre l’Etat, la religion et la société civile 16 1.2.4 La loi de 1905 : la fin du Concordat et l’organisation de la séparation 18 1.3 Des fondements juridiques 20 1.4 Cas particuliers, les Territoires dérogeant au système éducatif national 21 1.4.1 L’Alsace-Moselle 21 1.4.2 Wallis-et-Futuna 22 1.4.3 Mayotte 23 1.4.4 Guyane 23 1.4.5 Saint-Pierre-et-Miquelon, Nouvelle-Calédonie et Polynésie 23 1.5 Les sectes 23 1.6 Les associations cultuelles 25 1.7 La laïcité

l’intégration politique et sécuritaire ne suive, en Afrique centrale, le même long et sinueux chemin que la coopération économique. 10. Organiser des campagnes de communication conjointes entre le Secrétariat général de la CEEAC et les autorités nationales à destination du grand public afin d’expliciter les rôles et fonctions de la CEEAC dans la région. 11. Réviser le Protocole du COPAX afin de le mettre en conformité avec l’Acte constitutif de l’Union africaine et d’associer plus étroitement la société