Arétas III

plus, importants écrivains romantiques de la langue française, il est à la fois poète lyrique avec des recueils comme Odes et Ballades (1826), Les Feuilles d'automne (1832) ou Les Contemplations (1856), mais il est aussi poète engagé contre Napoléon III dans Les Châtiments (1853) ou encore poète épique avec La Légende des siècles (1859 et 1877). Il est également un romancier du peuple qui rencontre un grand succès populaire avec Notre-Dame de Paris (1831) ou Les Misérables (1862). Au théâtre, il expose

Chapitre 3: Le second Empire (1852-1870). Ce régime a connu un étrange destin dans la mémoire historique des Français. Vilipendé par la troisième République qui lui a succédé et s'est construite largement contre son souvenir, le second Empire a longtemps gardé une image de période réactionnaire et corrompue, et l'Empereur une image de parjure (à son serment de fidélité à la République), de massacreur: double image forgée dès les années 1850-1860, en particulier par Victor Hugo et par Gambetta

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inspecteur général des monuments historiques : il voyage alors beaucoup, et les lieux par lesquels il passera lui inspireront La Vénus d'Ille (1837), Colomba (1840), Carmen (1845)... En 1853, il est nommé sénateur à vie : il devient alors proche de Napoléon III et de sa femme l'impératrice Eugénie ; aussi, il traduit Pouchkine, et un peu plus tard le coup de pistolet de Pouchkine, en 1856. C'est le début de problèmes de santé pour lui car il est asthmatique. Puis, après la chute du régime impérial en 1870

 La Revolution Français Napoléon et l'Empire   À la tête des armées françaises se trouve alors un jeune et brillant (ainsi qu’ambitieux) général corse, Napoléon Bonaparte. Ayant progressivement concentré tous les pouvoirs entre ses mains, Bonaparte se fait sacrer Empereur par le pape Pie VII en 1804. Il promulgue de nouvelles lois – entre autres, il donne le droit à tous les Français d’accéder à la propriété et d’exercer un bon métier –, mais son régime est autoritaire. Napoléon soumettra

: Les Misérables (1862). Victor Hugo (1802-1885) est déjà un auteur populaire et apprécié pour son œuvre Notre Dame de Paris (1831). Chef de file du romantisme, il prend part activement à la politique de son époque. Il dénonce le règne de Napoléon III, s’oppose à la peine de mort ou prend parti des plus démunis. Il fut condamné à l’exil pendant 18ans, période pendant laquelle il écrivit le roman engagé, Les Misérables. Ce roman décrit la misère sociale à Paris et la France provinciale du XIXème siècle

Sépulvéda ont largement échangé sur la question, on ignore s'ils se sont réellement rencontrés. En tout cas le débat a été essentiellement épistolaire. Surtout, le débat n'a pas porté sur l'humanité des indiens (cela avait déjà été tranché par le Pape Paul III), mais sur le mode d'évangélisation qu'il était nécessaire de mettre en place. L'humanité des Indiens, l'existence de leur âme donc, n'a en réalité jamais été l'objet du débat puisque sans cela, Sepúlveda n'aurait jamais parlé du devoir de les évangéliser

place marquante dans l’histoire des lettres françaises au XIXe siècle. Il est poète lyrique avec des recueils comme Odes et Ballades (1826), Les Feuilles d'automne (1831) ou Les Contemplations (1856), mais il est aussi poète engagé contre Napoléon III dans Les Châtiments (1853) ou encore poète épique avec La Légende des siècles (1859 et 1877). Il est également un romancier du peuple avec par exemple Notre-Dame de Paris (1831), et plus encore avec Les Misérables (1862). Son œuvre multiple comprend

Alphonse de Lamartine Alphonse de Lamartine, de son nom complet Alphonse Marie Louis de Prat de Lamartine, né à Mâcon le 21 octobre 1790 et mort à Paris le 28 février 1869, est un poète, romancier, dramaturge et prosateur en même temps qu'un homme politique français, l'orateur d'exception qui proclama et dirigea la Deuxième République[1]. Il est l'une des plus grandes figures du romantisme en France. Alphonse de Lamartine naît dans une famille de petite noblesse attachée au roi et à la religion

littéral – la parole à ces pauvres victimes : « Ils semblent dire à Dieu : – Petits comme nous sommes, Notre père, voyez ce que nous font les hommes. » (« Melancholia », Les Contemplations.) Dans Les Châtiments, pour dénoncer la tyrannie de Napoléon III, il fait parler l’Aigle, les Chiens, un Voleur, un Forçat (« Je suis forçat, voici la chaîne que je porte »), mais aussi l’Épée, la Mer, la Borne du chemin, la Patrie, ou encore une « Voix dans l’air » ou la Conscience (« Tout s’en va » et « Le