Aragon Les Mots M Ont Pris Par La Main

Utilisation des pronoms COD : « me » Présence du pacte autobiographique : «Avant le chocolat blanc, je ne me souviens de rien : je dois me fier au témoignage de mes proches, réinterprété par mes soins. Après, mes informations sont de première main : la main même qui écrit ». CONVENTIONS GENERIQUES On peut dire que l’auteur rompt les conventions génériques du roman autobiographique. Pour qualifier un roman d’autobiographique il est nécessaire d’y trouver seulement des informations justes. Or

| | | | |- « Il n’aurait fallu… » | | | | | |Aragon | | | | | | | | |

- Singularité et intertextualité - Lyrisme personnel - Histoire littéraire et culturelle - « Ode à Cassandre » Ronsard - « Mon rêve familier » Verlaine - « A une passante » Baudelaire - « La courbe de tes yeux » Eluard - « Il n’aurait fallu… » Aragon - « La jeune veuve » La Fontaine - « Vieille chanson du jeune temps » Hugo - « Une allée du Luxembourg » Nerval Etudes transversales et/ou thématiques Représentation du poète Fonction du poète Lecture cursive : Documents

sublimée - Singularité et intertextualité - Lyrisme personnel - Histoire littéraire et culturelle - « Ode à Cassandre » Ronsard - « Mon rêve familier » Verlaine - « A une passante » Baudelaire - « La courbe de tes yeux » Eluard - « Il n’aurait fallu… » Aragon - « La jeune veuve » La Fontaine - « Vieille chanson du jeune temps » Hugo - « Une allée du Luxembourg » Nerval 1 Etudes transversales et/ou thématiques Lecture cursive : Représentation du poète Fonction du poète - Poèmes de « Spleen et Idéal

1920 5° ARP, Jean, Trousse d’un Da, 1920 – 1921 6° PICABIA, Francis, L’œil cacodylate, 1921 7° ERNST, Max, L’Éléphant des Célèbes, 1921 ii. Après avoir analysé les œuvres d’art, lis les extraits ci-dessous et fais une liste des mots-clefs et des thèmes soulevés par les dadaïstes dans ces paragraphes. a) J’écris un manifeste et je ne veux rien, je dis pourtant certaines choses et je suis par principe contre les manifestes, comme je suis contre les principes (…) je suis contre

Il passe sans grand succès quelques auditions, fait des apparitions au cabaret sous le nom de Jean Laroche, et, ne se décourageant pas, décide de se consacrer exclusivement à la musique. En 1956, il met en musique Les Yeux d'Elsa, poème de Louis Aragon dont il sera toute sa vie. C'est André Claveau, alors fort en vogue, qui interprète la chanson et apporte un début de notoriété à Jean. En 1958, il sort chez Vogue son premier 45 tours EP, qui ne rencontre guère de succès. Une jeune chanteuse, Christine

conscient ou inconscient) et le plus talentueux pour communiquer à ceux qui l'entourent des images ou des mots dictés ou entendus aux tréfonds de lui-même. Il apporte sans compter ses dons de parole et sa capacité inventive aux recherches du groupe surréa liste. Par ailleurs, élément non négligeable, il est considéré comme le surréaliste le plus identifiable à sa voix. Celle-ci a été décrite par Aragon comme captivante à tel point qu'elle neutralisait tous les sons autour de lui. Par ailleurs, André Breton

SEQUENCE Objet d’étude La poésie Problématiques Perspectives Lectures analytiques - « Ode à Cassandre » Ronsard - « Mon rêve familier » Verlaine - « A une passante » Baudelaire - « La courbe de tes yeux » Eluard - « Il n’aurait fallu… » Aragon Lectures complémentaires - « La jeune veuve » La Fontaine - « Vieille chanson du jeune temps » Hugo - « Une allée du Luxembourg » Nerval La femme, comme objet poétique: égérie et vision sublimée - Singularité et intertextualité - Lyrisme

  reje[e  pour  y  opposer  une  expression  du   sens  caché  de  l'univers  à  travers  le   symbole.  Tout  est  dans  la   correspondance,  et  rien  ne  dois  être  pris   au  premier  degré.  Le  symbolisme  est   également  marqué  par  une  percep&on   philosophique  pessimiste  et  désabusée   de  l'existence,  un  véritable  mal  du  siècle,

contemporains. Il concerne essentiellement une nouvelle définition et pratique de la signification poétique qui ne se confond plus avec la référence à un objet bien défini, mais s’entoure des voiles de l’allusion, des associations qui se nouent entre les mots. Cependant, le partage essentiel est celui qui sépare, voire oppose, les héritiers de Rimbaud à ceux de Mallarmé. Ce clivage, indéniable, a été interprété de multiples façons. On y voit aujourd’hui la source de deux courants : a) rimbaldien