Aragon Air Du Temps

André Cayatte (trois numéros). En août, il envoie l’un des vingt-six exemplaires d’Arsenal, publié à Nîmes, à Paul Éluard qui vient lui rendre visite à l’automne à L’Isle-sur-la-Sorgue. À la fin novembre, René Char arrive à Paris, rencontre Louis Aragon, André Breton, René Crevel, adhère au groupe surréaliste et publie en décembre Profession de foi du sujet dans le douzième numéro de La Révolution surréaliste. Le 14 février 1930, les surréalistes saccagent à Paris le bar « Maldoror », lors d’une

Ronsard. -«Éloge de l'amour» du recueil du recueil Les amours de Psyché et de Cupidon, de Jean De La Fontaine. -«Vos beaux yeux» du recueil Poésies diverses, de Pierre Corneille. -«Il n'y a pas d'amour heureux» du recueil La Diane française, de Louis Aragon. -«Sensation» du recueil Poésies, de Arthur Rimbaud. -«Es-tu brune ou blonde ?» du recueil Chansons pour elle, de Paul Verlaine. -«À deux beaux yeux» du recueil La comédie de la mort, de Théophile Gauthier. -«Se voir le plus possible» du recueil

avec moi avant que le sable du sablier ne s’écoule. Et remonte le temps à travers les arts pour y découvrir les maux qu’a fait subir le vilain Cupidon à de nombreuses personnes. Car si tu ne connais ses malheurs tu ne seras qu’une cible plus facile pour l’archer qui te transpercera de ses flèches mortelles. Car sous ses apparences l’amour est cruel et pleins de vices. Alors pour le contrer assis toi sur ton fauteuil prends ton temps est voyage avec moi. Tu découvriras Marie de France qui grâce à sa

notre querelle, Fait disputer les animaux. Pierre de MARBEUF (1596-1645) Le Classicisme La Jeune Veuve La perte d'un époux ne va point sans soupirs. On fait beaucoup de bruit, et puis on se console. Sur les ailes du Temps la tristesse s'envole ; Le Temps ramène les plaisirs. Entre la Veuve d'une année Et la veuve d'une journée La différence est grande : on ne croirait jamais Que ce fût la même personne. L'une fait fuir les gens, et l'autre a mille attraits. Aux soupirs vrais

claies ; Sous eux rampent le ver, la larve et la fourmi ; Ils s'enfoncent déjà dans la terre à demi Alphonse de Lamartine, Né à Mâcon le 21 octobre 1790 et mort à Paris le 28 février 1869, est un poète, romancier, dramaturge et prosateur en même temps qu'un homme politique français qui participa de la Révolution de février 1848 et proclama la Deuxième République. Il est l'une des grandes figures du romantisme en France. Ses poèmes : Le soir Le soir ramène le silence. Assis sur ces rochers déserts

Rhin, rencontrés par Apollinaire lors de son séjour en Allemagne en 1901, tout en faisant allusion à l’amour perdu avec Annie Playden. Le poème est axé sur un lyrisme dans un cadre exclusivement dans un cadre naturel mais également sur la fuite du temps et la souffrance. Dans un premier lieu, tout au long du texte, la présence du lyrisme est traduite par les adjectifs « joli » (v1 et v14), « dames » (v2) et « jolies »(v3) ainsi que par le substantifs « dames »(v2). De même, la disposition des

merveilleux Louis Aragon Le Chat AMOUR yeux Viens, mon beau chat, sur mon coeur amoureux;Retiens les griffes de ta patte,Et laisse moi plonger dans tes beaux yeux,Mêlés de métal et d'agate. Lorsque mes doigts caressent à loisirTa tête et ton dos élastique,Et que ma main s'enivre du plaisirDe palper ton corps électrique, Je vois ma femme en esprit. Son regard,Comme le tien, aimable bêteProfond et froid, coupe et fend comme un dard, Et des pieds jusques à la tête,Un air subtil, un dangereux

Victor Hugo (XIXème) ­ Après la bataille………………………..……….....12  José Maria de Hérédia (XIXème) ­ Les Conquerants………………….....14  Boris Vian (XXème) ­ La Java des Bombes Atomiques……………...…...16  Boris Vian (XXème) ­ L’Evadé…………………………………..…………...18  Louis Aragon (XXème) ­ L’affiche rouge…………………………………....20  Jacques Prévert (XXème) ­ La mère fait du tricot Le fils fait la guerre….22                  2  Préface : La guerre a toujours été un thème très important dans la  littérature, l’Histoire ainsi que dans la poésie

Me font rire, pleurer et rire, 
 Parler sans avoir rien à dire. Air du temps, Louis Aragon Nuage Un cheval blanc s'élève et c'est l'auberge à l'aube où s'éveillera le premier venu Vas-tu traîner toute la vie au milieu du monde À demi-mort À demi-endormi Est-ce que tu n'as pas assez des lieux communs Les gens te regardent sans rire Ils ont des yeux de verre Tu passes Tu perds ton temps Tu passes Tu comptes jusqu'à cent et tu triches pour tuer dix secondes encore Tu

Flaubert, Mémoires d’un fou (posthume, 1901), chapitre X Texte B – Gustave Flaubert, L’Éducation sentimentale (1869), première partie, chapitre I Texte C – Gustave Flaubert, L’Éducation sentimentale (1869), troisième partie, chapitre VI Texte D – Louis Aragon, Blanche ou l’oubli (1967), troisième partie, chapitre 3, « Une mèche de cheveux n’est pas une hypothèse » Page 2 sur 8 10.FRLI.ME1LR1 TEXTE A – Gustave Flaubert, Mémoires d’un fou C'est à l'âge de dix–sept ans, en 1838, que Flaubert achève